Le Wanep poursuit ses activités de monitoring électoral, à travers sa cellule de veille sur les violences en période électorale. Selon les acteurs, des brutalités commencent à s’intensifier dans les quartiers de Pikine, de Médina, de Guédiawaye, de Mbour, de Dagana.
« Les heurts qui se sont produits avec les violences, n’augurent pas d'une campagne électorale apaisée », a déclaré le coordinateur du Wanep, Alfred Gomis. Et de poursuivre : « ces affrontements ont essentiellement eu pour victimes, tant les auteurs que les militants des partis politiques impliqués dans la compétition ».
Face à cette situation, le Wanep lance un appel au calme et à la sérénité. « Le scrutin du 23 janvier ne pourra être frappé des sceaux de la crédibilité et de la transparence, que si les conditions d’une campagne répondant aux normes et standards internationaux, sont réunies », a souligné le Wanep.
Il a en outre, interpellé les partis et coalitions de partis sur l’impérieuse nécessité de poursuivre la campagne dans le respect de la liberté de manifestation, de mobilisation et d’expression des adversaires politiques. Toutefois, le Wanep s’est félicité de l’existence d’autres initiatives dont l’objectif est d’œuvrer à la réalisation d’un processus électoral apaisé.
« Nous marquons notre disponibilité à joindre toute plateforme qui œuvre dans le même sens », ont souligné les acteurs du Wanep Sénégal. Et d’attester: « le Wanep rappelle la fragilité de la situation sécuritaire de la sous-région, du fait de nombreux défis sécuritaires qui y ont cours. Les violences électorales ne doivent pas s’y ajouter, car pouvant être des opportunités d’aggravation d’une situation sécuritaire qui l’est déjà assez ».
Pour rappel, le monitoring des élections selon le Wanep, a pour objectif de contribuer à la réalisation d’un processus électoral «crédible» et «apaisé» au Sénégal, par la mise en place d’un groupe national de réponse face aux violences.
Sud Quotidien
« Les heurts qui se sont produits avec les violences, n’augurent pas d'une campagne électorale apaisée », a déclaré le coordinateur du Wanep, Alfred Gomis. Et de poursuivre : « ces affrontements ont essentiellement eu pour victimes, tant les auteurs que les militants des partis politiques impliqués dans la compétition ».
Face à cette situation, le Wanep lance un appel au calme et à la sérénité. « Le scrutin du 23 janvier ne pourra être frappé des sceaux de la crédibilité et de la transparence, que si les conditions d’une campagne répondant aux normes et standards internationaux, sont réunies », a souligné le Wanep.
Il a en outre, interpellé les partis et coalitions de partis sur l’impérieuse nécessité de poursuivre la campagne dans le respect de la liberté de manifestation, de mobilisation et d’expression des adversaires politiques. Toutefois, le Wanep s’est félicité de l’existence d’autres initiatives dont l’objectif est d’œuvrer à la réalisation d’un processus électoral apaisé.
« Nous marquons notre disponibilité à joindre toute plateforme qui œuvre dans le même sens », ont souligné les acteurs du Wanep Sénégal. Et d’attester: « le Wanep rappelle la fragilité de la situation sécuritaire de la sous-région, du fait de nombreux défis sécuritaires qui y ont cours. Les violences électorales ne doivent pas s’y ajouter, car pouvant être des opportunités d’aggravation d’une situation sécuritaire qui l’est déjà assez ».
Pour rappel, le monitoring des élections selon le Wanep, a pour objectif de contribuer à la réalisation d’un processus électoral «crédible» et «apaisé» au Sénégal, par la mise en place d’un groupe national de réponse face aux violences.
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