La session de formation de cette année a mis l’accent sur la vitalité et l’effectivité du droit international, en prenant en considération le caractère vulnérable des femmes et des filles qui ont besoin d’un cadre protecteur spécifique et adapté à leur statut. Plus généralement, découvre-t-on, l’organisation de cette session de formation délocalisée répond à une exigence des acteurs du domaine d’être bien outillés pour mieux faire face à leur obligation de défendre et de promouvoir les libertés et les droits fondamentaux des citoyens, ainsi que le renforcement de l’Etat de droit et de la culture démocratique en Afrique.
Ainsi, il a été révélé que les organisateurs comptent, ainsi contribuer au renforcement des structures nationales, afin qu’elles manient avec de meilleurs outils les situations, relatives à la protection des droits de l’homme. Ladite formation est fondamentalement centrée sur l’examen du droit international des droits de l’Homme au sens large avec cette année. Et, une attention particulière a été accordée aux obligations et engagements des Etats de protéger et de promouvoir les droits des femmes et des filles.
L'initiative permettra de comprendre et d’évaluer les problématiques contemporaines, relatives aux droits de la femme, d’analyser et d’apprécier la finalité des instruments juridiques internationaux, dans une perspective des femmes et des filles et de reconnaissance de leur statut de sujets de droit. « Ces cas de violences basées sur le genre et ces discriminations sont aujourd’hui, exacerbées par l’existence dans notre système juridique interne, des dispositions légales discriminatoires à l’égard des femmes », a expliqué le président du Comité sénégalais des droits de l’homme.
Sous ce registre, le Directeur régional de l’Afrique de l’Ouest de la Fondation Friedrich Naumann, Joe Holden considère que cette 11e session annuelle de formation vise non seulement, la protection des droits de la femme. Mais, relève-t-il, il permet à un diagnostic sans complaisance de la mise œuvre effective des normes d’efficacité d’action de mécanismes existants.
Ailleurs, la Ministre de la Femme, de la Famille, du Genre et de la Protection des enfants, Ndèye Saly Diop est revenue sur les avancées du Sénégal en matière de promotion des droits des femmes. D’après elle, une loi consacre une parité absolue homme et femme dans les institutions partiellement et totalement élective. Et, la femme sénégalaise prévient-elle, peut aussi donner la nationalité à ses enfants ou à son époux étranger.
Ainsi, il a été révélé que les organisateurs comptent, ainsi contribuer au renforcement des structures nationales, afin qu’elles manient avec de meilleurs outils les situations, relatives à la protection des droits de l’homme. Ladite formation est fondamentalement centrée sur l’examen du droit international des droits de l’Homme au sens large avec cette année. Et, une attention particulière a été accordée aux obligations et engagements des Etats de protéger et de promouvoir les droits des femmes et des filles.
L'initiative permettra de comprendre et d’évaluer les problématiques contemporaines, relatives aux droits de la femme, d’analyser et d’apprécier la finalité des instruments juridiques internationaux, dans une perspective des femmes et des filles et de reconnaissance de leur statut de sujets de droit. « Ces cas de violences basées sur le genre et ces discriminations sont aujourd’hui, exacerbées par l’existence dans notre système juridique interne, des dispositions légales discriminatoires à l’égard des femmes », a expliqué le président du Comité sénégalais des droits de l’homme.
Sous ce registre, le Directeur régional de l’Afrique de l’Ouest de la Fondation Friedrich Naumann, Joe Holden considère que cette 11e session annuelle de formation vise non seulement, la protection des droits de la femme. Mais, relève-t-il, il permet à un diagnostic sans complaisance de la mise œuvre effective des normes d’efficacité d’action de mécanismes existants.
Ailleurs, la Ministre de la Femme, de la Famille, du Genre et de la Protection des enfants, Ndèye Saly Diop est revenue sur les avancées du Sénégal en matière de promotion des droits des femmes. D’après elle, une loi consacre une parité absolue homme et femme dans les institutions partiellement et totalement élective. Et, la femme sénégalaise prévient-elle, peut aussi donner la nationalité à ses enfants ou à son époux étranger.