Par exemple, pour le cas du litre d’huile (1.200 FCfa), l’Etat a ciblé les fûts en vrac qui, malheureusement, ne sont pratiquement plus utilisés dans les boutiques de Dakar. A cet effet, les boutiquiers s’étaient passé le mot d’ordre puisque le litre d’huile raffinée qui devait normalement coûter 1.200 FCfa était partout vendu à 1.500 FCfa voire 1600 FCfa. Soit une hausse de 300 à 400 francs par litre ! Quant à la dosette d’huile (250 ml), elle était vendue à 400 FCfa alors pourtant que son prix est officiellement plafonné à 350 FCfa.
Dès la sortie de l’article du « Témoin » quotidien, nous souffle-t-on, le directeur du Commerce intérieur, Oumar Diallo, avait rassemblé son bataillon de contrôleurs des prix pour les inviter à prendre désormais en compte, l’huile mise en bouteille qui n’est autre que du vrac reconditionné.
Des instructions salutaires dès lors que pour contourner frauduleusement l’arrêté ministériel, certains boutiquiers et grossistes véreux utilisaient les fûts en vrac de 200 litres, dont ils reconditionnaient le contenu dans des bouteilles (1 litre ou 5 litres) et le tour était joué !
Comme l’avait souligné « Le Témoin », ces micmacs plombaient les opérations des fonctionnaires du Contrôle économique chargés de veiller à l’application des dispositions de l’arrêté ministériel sur la stabilisation des prix.
Dès la sortie de l’article du « Témoin » quotidien, nous souffle-t-on, le directeur du Commerce intérieur, Oumar Diallo, avait rassemblé son bataillon de contrôleurs des prix pour les inviter à prendre désormais en compte, l’huile mise en bouteille qui n’est autre que du vrac reconditionné.
Des instructions salutaires dès lors que pour contourner frauduleusement l’arrêté ministériel, certains boutiquiers et grossistes véreux utilisaient les fûts en vrac de 200 litres, dont ils reconditionnaient le contenu dans des bouteilles (1 litre ou 5 litres) et le tour était joué !
Comme l’avait souligné « Le Témoin », ces micmacs plombaient les opérations des fonctionnaires du Contrôle économique chargés de veiller à l’application des dispositions de l’arrêté ministériel sur la stabilisation des prix.