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Zidane se fait une nouvelle fois insulter par l’un de ses joueurs. Sa réaction surprend ! Vidéo


Rédigé par leral.net le Mercredi 17 Mai 2017 à 23:01 | | 0 commentaire(s)|

Cela fait seulement un an et 5 mois que Zinedine Zidane est entraîneur au haut niveau. Mais, c’est presque devenu une routine aussi au sein de l’effectif merengue que l’entraîneur du Real Madrid se fasse insulter par ses joueurs et qu’aucune sanction n’est prise contre les fautifs. Et ces cas deviennent de plus en plus récurrents.

On se rappelle qu’il y a deux mois, quand Cristiano Ronaldo avait tenu des propos amers envers Zidane: « Pourquoi moi ? Va te faire foutre » lors de sa sortie de terrain contre Bilbao (2-1). « Ce n’est rien, il peut être remplacé parfois« , avait assuré Zidane devant les journalistes. On notera également que « CR7 » a refusé de céder sa place en fin de prolongation lors du quart de finale retour contre le Bayern en C1…
 
Après ce fut au tour de James Rodriguez d’insulter la mère de Zizou, pour avoir été remplacé aussi.

Pour ce nouveau scénario révélé par la presse espagnole, il s’agit d’Alvaro Morata qui s’est à son tour insurgé contre son remplacement. Mais il peut être heureux car Zidane ne fustige jamais un joueur en particulier.

Mieux, il ne sanctionne pas les coups de sang ! Alvaro Morata peut s’estimer heureux de ce traitement, deux jours après sa sortie de terrain particulièrement irrespectueuse lors du succès devant Séville (4-1). L’attaquant espagnol n’a pas serré la main de son coach et a lancé un « fils de p…, je chie dans ta p… de mère » avant de regagner le banc.

« Morata n’était pas en colère contre moi, mais contre quelque chose d’autre. Cela peut arriver. Nous en avons parlé et c’est du passé« , a ainsi réagi Zinedine Zidane pour mettre fin à la polémique.

Il faut souligner que l’ancienne star des Bleus n’est pas forcément un génie tactique, même s’il s’inspire des nombreux entraîneurs qu’il a connus durant sa carrière de joueur. Il est surtout un grand leader, qui gère parfaitement un vestiaire des Merengues rempli de forts caractères.

afrk.mag


la rédaction