D’après Birahime Seck, sans même entrer dans les questions de priorité ou pas, «il y a un besoin d’être informé de la façon la plus exhaustive possible sur les montants qui sont injectés pour l’achat de cet avion».
«C’est pourquoi beaucoup s’offusquent du fait que plusieurs marchés ne se passent plus dans les règles de l’art. Cela ne peut plus étonner. Quand on a à la tête de l’organe de régulation, un directeur qui n’est pas légal, la régulation et le contrôle des marchés ne peuvent se faire de manière orthodoxe», a-t-il déploré.
D’après « Le Quotidien », M. Seck dénonce également le fait que l’Armp est maintenant logée au niveau de la présidence de la République, avec la suppression du poste de Premier ministre. Pour lui, il n’y a aucun doute, «c’est la raison pour laquelle les tares qu’on a connues dans les années 80 sur le système des marchés publics, ce sont les mêmes qu’on est en train de revivre».
«C’est pourquoi beaucoup s’offusquent du fait que plusieurs marchés ne se passent plus dans les règles de l’art. Cela ne peut plus étonner. Quand on a à la tête de l’organe de régulation, un directeur qui n’est pas légal, la régulation et le contrôle des marchés ne peuvent se faire de manière orthodoxe», a-t-il déploré.
D’après « Le Quotidien », M. Seck dénonce également le fait que l’Armp est maintenant logée au niveau de la présidence de la République, avec la suppression du poste de Premier ministre. Pour lui, il n’y a aucun doute, «c’est la raison pour laquelle les tares qu’on a connues dans les années 80 sur le système des marchés publics, ce sont les mêmes qu’on est en train de revivre».