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Zoom sur les affiches d’Aziz Production : Ces adversaires en puissance ou en « décadence »

Aziz Production a ficelé des affiches alléchantes. Et pour cause ! Tous les adversaires se valent ou presque. Sauf que les uns viennent en puissance et les autres avec d’atouts que leurs adversaires


Rédigé par leral.net le Mardi 13 Novembre 2012 à 18:51 | | 3 commentaire(s)|

Zoom sur les affiches d’Aziz Production : Ces adversaires en puissance ou en « décadence »
Malick Niang était en passe d’assurer la relève dans l’écurie Ndakarou que son (ancien ?) mentor dirige. Le jeune espoir a déjà habitué ses fans à des prestations qui lui présagent une brillante carrière. Il a une bonne rallonge et une technique de frappe extraordinaire. Beaucoup de ses combats se sont soldés par des ko. Jusque-là l’ami de Yékini Junior n’engrange que des succès, faciles en plus. La seule de ces victoires où il a éprouvé des difficultés avant de gagner date de la saison dernière. C’était contre Khadim Ndiaye 2 qui l’avait ceinturé et mis dans une position qui a donné la trouille à ses nombreux supporters. Mais, au finish, le jeune lutteur de l’écurie Ndakarou s’en est sorti. Cette saison, il devra faire preuve de plus de technicité. En effet, il a combat avec un lutteur un peu plus expérimenté que lui : le pensionnaire de l’écurie Double Less, un fin technicien nommé Sa Thiès. Le combat est signé Aziz Ndiaye qui est en train d’effacer les craintes des amateurs sur les risques d’une saison fade avec l’arrestation de Luc Nikolaï. En effet, Sa Thiès ne s’est pas encore révélé comme un grand boxeur, vu le déroulement de chacun de ses neuf combats, tous gagnés. Mais Sa Thiès, comme son frère Balla Gaye, enchaine différentes clefs au cours de ses combats. C’est est un redoutable combattant qui comme son adversaire, est donné comme un futur champion des arènes. Pour que l’un passe par l’autre, pour suivre une série de succès, il lui faudra déployer plus de technique, de frappes et une grande concentration. Une affaire entre espoirs…

Ama Baldé : passer Amanekh pour se refaire une santé

Après Ness de l’écurie Lansar, c’est Gouye Gui de l’écurie Mor Fadam qui lui a fait subir un second cinglant revers. C’était l’année dernière. Pour cette saison, le fils de Falaye Baldé tombe sur Amanekh son premier combat. Son adversaire qui misait plus sur Zoss- au lendemain de sa victoire sur Lac Rose de l’écurie Fass -pour redescendre dans l’arène, n’a pas tardé à s’engager. Autant dire qu’Ama Baldé a un potentiel adversaire, coriace, de la trempe de Gouy Gui. Sans compter que ses deux défaites ont montré ses failles techniques et ses faiblesses psychologique. Pour se remettre sur le chemin du succès, il ne doit pas douter devant un adversaire confiant parce que sorti d’une victoire. Surtout qu’Amanekh de l’écurie Lëbou Gui voudra aussi profiter de cette mauvaise passe du frère de Jules Baldé. La présentation de cette affiche, aujourd’hui, à la place du Souvenir va édifier un peu les amateurs.

Papa Sow-Baye Mandione : 50/50 ?

Les amateurs réclamaient ce choc et Aziz production l’a monté. Papa Sow va enfin sortir de Fass, pour faire face à Baye Mandione. Marchera-t-il sur les pas de son chef de file Gris Bordeaux, qui avaient criblé de coups de poing le lutteur de l’écurie Gueum Sa bop en 2011 ? La confrontation édifiera les amateurs le 03 mars prochain. Une chose est sûre, le Puma de Fass est plus technique que son adversaire. Et il va revenir le mental au top car il revient d’une victoire aux dépens de Zoss. Baye Mandione, par contre entame cette saison psychologiquement affaibli par une défaite contre la tête de file de l’écurie Fass. Mais, il sera animé par un esprit revanchard contre Fass. Les deux lutteurs seront présentés au public par le promoteur.

L'Office



1.Posté par Toobalist le 13/11/2012 19:26 | Alerter
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2.Posté par ama le 13/11/2012 20:26 | Alerter
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Madiambal DiagneSur le divan
Madiambal Diagne
Freud, aggrave son cas
Un patron de presse bien particulier
« Je suis le seul patron de presse qui dit d’où il tient sa fortune ». Dixit Madiambal Diagne dans le magazine Icône N°62 de
(Freud nègre) Janvier 2011. Fortune, a-t-il dit ? Le commun des Sénégalais sait que le secteur de la presse est tellement sinistré que ceux qui s’y démènent ne voient même pas
la queue du diable pour le tirer. Et quand M. Madiambal parle de fortune, c’est qu’il y a quel part quelque chose qui ne tourne pas rond.
Mais d’abord, qui est Madiambal ?
Laissons l’intéressé se présenter lui – même ! « C’est tout simple. Je m’appelle Madiambal Diagne et je n’ai pas fait de formation en journalisme. J’ai commencé ma vie active comme greffier. J’étais diplômé du Centre de Formation et de Perfectionnement Administratif (CFPA). Option gestion judiciaire. J’ai dû arrêter mes études pour intégrer la fonction publique comme greffier. Il s’est trouvé, par la suite, que la situation de fonctionnaire de la justice comme greffier ne me convenait pas, parce que je ne gagnais pas suffisamment ma vie.
C’est ainsi que j’ai commencé à travailler comme pigiste à Walfadjiri. Je l’ai fait pendant neuf ans. Je signais sous le pseudonyme de Moussa Sarr que tout le monde connaissait. Et, j’ai fini par prendre goût à la chose » (cf Icône magazine N°62 du mois de Janvier 2011).
Freud : (Séance I)
« Donc le patient Madiambal est entré par effraction dans le métier du journalisme. N’ayant pas fait de formation autre que sur le tas, il ne saurait appréhender les dérapages qui peuvent affecter le métier. Il foulera toujours au pied les principes sacrés de l’éthique et de la déontologie qui régissent le journalisme.
Ce sera difficile de l’apprivoiser et de l’amener à se rectifier. La solution, c’est de l’extirper de ce métier très noble ».
Madiambal et le fric
« Moi je n’ai pas de complexe de dire que des Américains sont derrière moi et m’appuient. En 2006, j’ai bénéficié d’un appui très conséquent d’une ONG Américaine qui s’appelle Média Développement Loan Fund. Ils m’ont identifié comme quelqu’un qui a du courage et qui prend des initiatives dans un environnement économique difficile pour la presse. En ce qui concerne l’affaire de corruption qui m’opposait au ministre Thierno Lô, je crois que ce dernier a certainement eu un comportement indélicat. J’ai voulu qu’on m’éclaire dans cette situation – là. Je me suis ouvert au chef de L’Etat sénégalais (Pdt Wade NDLR), en lui disant : « si jamais vous avez donné de l’argent à Thierno Lô pour moi, considérez que je ne le lui ai pas demandé et qu’il ne m’a rien donné. Wade nous a convoqués avec des témoins estimant qu’il a bien remis de l’argent à Thierno Lô pour moi. Si j’avais reçu de l’argent, admettez que je n’allais pas l’étaler sur la place publique. C’est moi qui ai choisi la commission de lutte contre la corruption pour enquêter sur cette affaire. Si j’avais quelque chose à me reprocher, je pense que je ne l’aurais pas fait ». (cf Icône magazine N°62 de Janvier 2011).
Freud : (Séance II)
« Madiambal donc est connu comme un journaliste « ripoux » ( pourri), qui ne recule jamais devant la corruption, sinon comment le Pdt Wade, bien renseigné par les services de renseignements et par ses réseaux personnels, aurait eu l’outrecuidance de lui envoyer de l’argent, par l’entremise du Ministre Thierno Lô, pour le « convaincre » de refréner son ardeur et de « collaborer ». Il n’y a pas de fumée sans feu. Et au Sénégal on sait qui est qui et qui fait quoi.
Madiambal n’a qu’à s’expliquer sur son voyage récent à Monaco. Qui l’avait invité, qui a payé son billet et son séjour ? Tiens Monaco ! Le fief de qui vous savez : Mimran et Diagna Ndiaye alias « De Gaulle ». Qui plus est, Madiambal, le patron de presse le plus étriqué de sa génération, était bien en place lors de la soirée de gala des Mimran le samedi 11 novembre dernier où il fallait débloquer 3 millions de franc Cfa pour y assister. Il faudra qu’il explique à quel titre il y était.
Un Témoin, anonyme, l’avait surpris il y a quelques années au bar Djileppzi du Méridien de l’époque, en train de « magouiller » avec un certain conseiller du président Wade, un jour d’un match de l’équipe nationale de France. Ce conseiller (H. B.), rappelons le, avait trompé Wade et avait demandé publiquement pardon. En effet, il avait fait croire au père de Karim (dont il était ami et proche) qu’Idrissa Seck serait en forte régression à Thiès (Elections Locales 2009).
Constat : Le patient est au stade terminal, il est rongé dangereusement par le virus du « bakchich». Tant que ses narines poreuses flaireront l’odeur du fric, il n’abdiquera pas. Devant le dieu Argent il perd son âme, son sang froid et sa dignité. Diagnostic final : irrécupérable ! ».

Wahab Sylla,
Le Cyclope

Post-scriptum : Dans le Quotidien du lundi 12 novembre, Madiambal Diagne a déclaré dans sa chronique du Lundi, ceci : « En psychanalyse, la catharsis est un phénomène de libération à caractère émotionnel résultant de l’extériorisation d’affects refoulés dans le subconscient . Le Sénégal en a bien besoin dans sa perspective de refondation d’un système de « gouvernance vertueuse ». Moralité : lui aussi en a besoin plus que les autres. Et nous l’avons pris au mot en l’installant sur le divan.

3.Posté par FocusActu le 13/11/2012 21:05 | Alerter
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