"Deux avions ne peuvent pas se croiser dans les airs, ce n'est pas possible. On est guidé quel que soit l'endroit où on se trouve", renseigne une source de EnQuête. Toutes les données analysées montrent bien, indique-t-on, que l'aéronef de Sénégalair a été bien pris en charge à son départ de Ouagadougou, puis Bamako a pris le relais avant que Dakar ne vienne pour assurer le dernier maillon de la chaîne. L'avion pouvait bien voler à l'altitude qui n'est pas la même que celle indiquée par les appareils de mesure. "A ce niveau de précision, la moindre erreur se paie cash", dit-on. Cette piste liée à l'altitude est prise très au sérieux, note le journal qui évoque les conditions dans lesquelles l'abordage entre l'aéronef et Ceiba intercontinental a eu lieu.
Toutefois, les informations recueillies par nos confrères font état d'une situation plus grave dont le ciel sous-régional aurait pu être témoin. "Il y avait 140 passagers à bord du Boeing de la Ceiba, le pilote aurait pu faire demi-tour et se poser à Dakar. Il a préféré faire prendre le risque de faire trois heures de vol et se poser en Guinée Equatoriale. On a frôlé une plus grande catastrophe parce que même les niveaux de détérioration les plus insignifiants peuvent être très dangereux", indique un des interlocuteurs du journal.
Toutefois, les informations recueillies par nos confrères font état d'une situation plus grave dont le ciel sous-régional aurait pu être témoin. "Il y avait 140 passagers à bord du Boeing de la Ceiba, le pilote aurait pu faire demi-tour et se poser à Dakar. Il a préféré faire prendre le risque de faire trois heures de vol et se poser en Guinée Equatoriale. On a frôlé une plus grande catastrophe parce que même les niveaux de détérioration les plus insignifiants peuvent être très dangereux", indique un des interlocuteurs du journal.