Les leaders de Benno Siggil Senegaal (Bss) ont fait face à la presse, hier, au siège de l’Afp. Les camarades de Moustapha Niasse ont soutenu, d'après Le Populaire, que le pouvoir n’était pas impliqué dans les événements qui se sont produits à l’Assemblée nationale tel qu’il a été dit par le Pds. "Vous savez, la Bible ou le Coran de l’Assemblée nationale, c’est le Règlement intérieur qui, en la matière, a eu à éliminer certains et à confirmer d’autres. De quoi s’agit-il ? D’une modification pour une constitution. On ne peut pas constituer quelque chose qui existe déjà", explique Zator Mbaye.
A l'en croire, "le groupe parlementaire des libéraux et démocrates existait déjà. Si aujourd’hui il y a une quelconque modification, il appartient à Fada, c’est-à-dire au président du groupe et à lui seul de les faire savoir au président de l’Assemblée". Et dans ce cas, précise M. Mbaye, « le président (de l'Hémicycle) ne pourrait, en aucune manière, recevoir une quelconque autre lettre d’un quelconque autre parlementaire de ce même groupe, c’est pour cela que la lettre de M. Oumar Sarr a été déclarée irrecevable sous l’emprise de l’article 22 ».
A l'en croire, "le groupe parlementaire des libéraux et démocrates existait déjà. Si aujourd’hui il y a une quelconque modification, il appartient à Fada, c’est-à-dire au président du groupe et à lui seul de les faire savoir au président de l’Assemblée". Et dans ce cas, précise M. Mbaye, « le président (de l'Hémicycle) ne pourrait, en aucune manière, recevoir une quelconque autre lettre d’un quelconque autre parlementaire de ce même groupe, c’est pour cela que la lettre de M. Oumar Sarr a été déclarée irrecevable sous l’emprise de l’article 22 ».