Alessandra Sublet raconte son baby blues

Il y a un mois, Alessandra Sublet racontait que l’arrivée de sa petite Charlie avait provoqué « un véritable tsunami » dans sa vie. « J’ai plané pendant cinq heures. Je me répétais : “C’est dingue, c’est dingue !” C’est comme si je sautais en parachute, mais en cent fois plus fort », confiait-elle alors à Paris Match. Ce que la présentatrice de C à vous n’avait pas avoué à l’époque c’est que tout ne s’est pas passé aussi bien qu’elle l’a laissé croire. « J’ai eu des moments de grande solitude cet été. J’ai beaucoup pleuré, et j’ai même honteusement rêvé que mon mec disparaissait avec ma fille le temps d’un week-end pour pouvoir souffler », a-t-elle avoué à Elle.
Inquiète par ce ressenti qui ne correspondait en rien à tout ce que l’on dit autour de la grossesse, elle a appelé son gynécologue « pour savoir si tout cela était normal ». « Il m’a rassurée en me disant que j’étais comme toutes les mères. On lit partout que grossesse et bébé riment avec plénitude, mais on ne raconte ni la fatigue, ni les coups de blues. » Aujourd’hui, Alessandra va mieux et mesure même la chance qui est la sienne. « Je me mets à la place de toutes [les mères] qui partent à 7 heures du matin et rentrent tard le soir en ayant laissé leur bébé à la crèche. Il faut reconnaître que je suis privilégiée », a-t-elle reconnu. Mais comme toutes les mamans, elle a ses angoisses : « J’appréhende le jour où il arrivera quelque chose pendant l’émission, car je n’aurai aucun moyen d’intervenir. » Alessandra n’a d’autre choix que celui d’apprendre à faire confiance.