Mais ce qui semble intriguer le président de la RADDHO, c’est que le monde n’a pas trouver des alternatives à ces mutations. D’où son invite au monde de la pensée à poursuivre la réflexion ; tout en ayant la certitude que l’Afrique a « la chance unique » de s’en sortir avec sa population jeune, seul continent qui fait la croissance… « Il suffit tout de travailler son leadership », analyse-t-il.
La crise qui sévit au Mali inspire le président de la RADDHO, Alioune Tine a soulevé la question de la sécurité dans l’espace sous régionale de la Cedeao. Ainsi pour la prise en charge correcte de la question de sécurité frontalière dans notre espace sous régional, Alioune Tine suggère la création d’un Ministère de la Défense et d’un Ministère des Affaires étrangères qui travailleront en étroite collaboration avec les organisations de la société civile de défenses de droits de l’homme.
Selon Alioune Tine sur les ondes de Sud Fm, analysant les derniers rebondissements de la crise malienne, l’Afrique d’une manière générale et l’espace ouest africain en particulier doit prendre en charge sa propre sécurité, même s’il considère que « ce qui se passe actuellement au Mali n’est pas seulement une affaire des Maliens seulement, mais de toute la planète. « D’autant plus qu’il est plus facile maintenant pour des islamistes d’aller en Europe, comme il est plus facile pour islamistes afghans d’aller commettre des attentats aux Etats-Unis « , argumente-t-il, pour montrer qu’il y a plus de frontières à l’abri du phénomène du terrorisme dans le monde.
Toujours sur la situation au Mali, il ajoute que le dialogue peut se poursuivre avec un diplomate chevronné qui connaît bien l’espace sous régional ouste africain même avec l’option militaire en cours. Une occasion pour lui de déceler « les limites de la médiation Burkinabé et celle des Nations Unies. Le chargé de la mission des N.U en Afrique de l’Ouest ne comprenant rien de la sous région déclarait que l’intervention militaire ne pourrait se faire pas avant septembre 2013 et voilà les islamistes qui en ont profité pour prendre le devant ».
Abordant les remous au sein du M23, Alioune estime qu’il y a des signes prémonitoires d’un malaise politique de la mouvance présidentielle et un malaise chez les jeunes même au sein de leur formation politique respective. « Le temps semble venu pour instaurer une culture de la paix à l’Université, dans les écoles, depuis la maternelle », exige-t-il, avant d’inviter les politiques à trouver des c moyens de récupérer l’argent du contribuable et de surmonter le débat sur la traque des biens mal acquis.
Ferloo
La crise qui sévit au Mali inspire le président de la RADDHO, Alioune Tine a soulevé la question de la sécurité dans l’espace sous régionale de la Cedeao. Ainsi pour la prise en charge correcte de la question de sécurité frontalière dans notre espace sous régional, Alioune Tine suggère la création d’un Ministère de la Défense et d’un Ministère des Affaires étrangères qui travailleront en étroite collaboration avec les organisations de la société civile de défenses de droits de l’homme.
Selon Alioune Tine sur les ondes de Sud Fm, analysant les derniers rebondissements de la crise malienne, l’Afrique d’une manière générale et l’espace ouest africain en particulier doit prendre en charge sa propre sécurité, même s’il considère que « ce qui se passe actuellement au Mali n’est pas seulement une affaire des Maliens seulement, mais de toute la planète. « D’autant plus qu’il est plus facile maintenant pour des islamistes d’aller en Europe, comme il est plus facile pour islamistes afghans d’aller commettre des attentats aux Etats-Unis « , argumente-t-il, pour montrer qu’il y a plus de frontières à l’abri du phénomène du terrorisme dans le monde.
Toujours sur la situation au Mali, il ajoute que le dialogue peut se poursuivre avec un diplomate chevronné qui connaît bien l’espace sous régional ouste africain même avec l’option militaire en cours. Une occasion pour lui de déceler « les limites de la médiation Burkinabé et celle des Nations Unies. Le chargé de la mission des N.U en Afrique de l’Ouest ne comprenant rien de la sous région déclarait que l’intervention militaire ne pourrait se faire pas avant septembre 2013 et voilà les islamistes qui en ont profité pour prendre le devant ».
Abordant les remous au sein du M23, Alioune estime qu’il y a des signes prémonitoires d’un malaise politique de la mouvance présidentielle et un malaise chez les jeunes même au sein de leur formation politique respective. « Le temps semble venu pour instaurer une culture de la paix à l’Université, dans les écoles, depuis la maternelle », exige-t-il, avant d’inviter les politiques à trouver des c moyens de récupérer l’argent du contribuable et de surmonter le débat sur la traque des biens mal acquis.
Ferloo