"Un tel procédé ne tient aucun compte du nécessaire dialogue entre les différents acteurs de la justice pour un déroulement pacifique du procès. Ceci apparaît comme une tentative de faire un procès à huis clos, loin des regards de tous ceux qui sont présents au Sénégal à l’occasion du sommet de la francophonie et de son forum économique et confirme que Karim Wade subit les rigueurs et abus d’un procès politique dont les organisateurs ne se gênent pas pour violer ses droits. Le renvoi d’autorité du jugement à la fin de l’année, après une première interruption d’une vingtaine de jours, intervient sans que la cour ne se prononce sur une demande de libération présentée par ses avocats", dénonceent-ils. Ecoutez
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