Lors de cette rencontre, ils ont reconnu devant le chef de l’Etat que les faits poursuivis n’avaient aucun rapport avec l’exercice de leur fonction et regrettent les propos de Me El hadji Amadou Sall à l’origine des poursuites pénales. Ils ont demandé au chef de l’Etat d’être indulgent. Cette demande formulée a donné satisfaction, car, Macky Sall a promis d’examiner avec la ministre de la Justice, Garde des Sceaux pour donner une suite favorable dans les limites des pouvoirs qu’ils détiennent de leurs relations avec le ministère public, autour des poursuites de manière générale.
Me El hadji Amadou Sall avait été poursuivi pour offense au chef de l’Etat pour l’avoir accusé de faire du mysticisme dans la convocation de Karim Wade par la Brigade de recherches de la gendarmerie. S’offusquant de la décision de justice qui accuse Me El hadji Amadou Sall d’offenser le président de la République, la Ligue Sénégalaise des Droits Humains (Lsdh), la Rencontre africaine pour la défense de droits de l’homme (Raddho) et Amnesty international section Sénégal (Ai/Sénégal) se sont joints au Pds pour alerter l’opinion sur le danger que pourrait représenter pour notre démocratie, un usage systématique des dispositions des articles 80 et 254 du Code pénal, relatifs respectivement aux délits d’offense au chef de l’Etat et actes et manœuvres de nature à compromettre la sécurité publique.
Me El hadji Amadou Sall avait été poursuivi pour offense au chef de l’Etat pour l’avoir accusé de faire du mysticisme dans la convocation de Karim Wade par la Brigade de recherches de la gendarmerie. S’offusquant de la décision de justice qui accuse Me El hadji Amadou Sall d’offenser le président de la République, la Ligue Sénégalaise des Droits Humains (Lsdh), la Rencontre africaine pour la défense de droits de l’homme (Raddho) et Amnesty international section Sénégal (Ai/Sénégal) se sont joints au Pds pour alerter l’opinion sur le danger que pourrait représenter pour notre démocratie, un usage systématique des dispositions des articles 80 et 254 du Code pénal, relatifs respectivement aux délits d’offense au chef de l’Etat et actes et manœuvres de nature à compromettre la sécurité publique.