« La mesure de la ponction sur le budget 2011-2012 ne peut être considérée comme une raison pour évoquer une crise économique d’autant plus que Trade Point emploie un effectif moindre avec de maigres salaires. Aujourd’hui, l’Administrateur général conscient de ces limites objectives et au vent de changement et de transparence décrété par les nouvelles autorités n’a trouvé rien de mieux que de faire acte d’allégeance au nouveau ministre de tutelle qu’il tente de manipuler par activisme débordant pour régler ses fonction. Le Trade Point Sénégal est reconnu d’utilité publique depuis 1999. Ces fonds doivent être gérés avec la plus grande transparence pour l’atteinte des objectifs qu’elle s’est fixée. Hélas, le Trade Point Sénégal n’est plus que l’ombre de lui-même. Aucun programme en cours, aucun projet en cours de réalisation. Les fonds qui lui sont alloués par le biais de la subvention ne servent qu’à enrichir une bande de proches de l’administrateur général qui considère cette fondation comme sa propriété", ont-ils déclaré avant d'ajouter qu'il est de leur devoir "de porter cette situation à l'attention des autorités." Une plainte a été déposée pour licenciement abusif.
Joint au téléphone l'administrateur de la boite a donné sa version. « Je considère que j’ai respecté toute la procédure édictée par le code du travail. Nous traversons une situation économique difficile et je leur en ai donné la preuve. Le budget alloué à notre structure a baissé de près de 45%. Les licenciés ont reçu toutes les indemnités et nous pouvons fournir les preuves de cela. Nous leur avons également fait savoir qu'ils seront réintégrés si jamais les autorités leur ré-allouait l'argent ponctionné sur le budget. Nous étions dans l'obligation de prendre cette décision. Il y a toujours des employés syndiqués dans l'organisation en dehors des délégués de personnel et qui ne sont pas concernés par le licenciement pour motif économique compte tenu de leur aptitude professionnelle. Les autres affabulations de leur déclaration relèvent purement et simplement de la volonté gratuite de nuire mes collaborateurs et mon organisation et d'utiliser la presse à des fins personnelles. Je me réserve le droit d'ester en justice contre ces attaques si les personnes à leur origine les assument entièrement et informe que cette affaire est pendante devant les tribunaux compétents à leur initiative. Le Trade Point exécutera toute décision qui leur sera favorable au terme de la procédure contentieuse", dit Mor Talla Diouck.
Joint au téléphone l'administrateur de la boite a donné sa version. « Je considère que j’ai respecté toute la procédure édictée par le code du travail. Nous traversons une situation économique difficile et je leur en ai donné la preuve. Le budget alloué à notre structure a baissé de près de 45%. Les licenciés ont reçu toutes les indemnités et nous pouvons fournir les preuves de cela. Nous leur avons également fait savoir qu'ils seront réintégrés si jamais les autorités leur ré-allouait l'argent ponctionné sur le budget. Nous étions dans l'obligation de prendre cette décision. Il y a toujours des employés syndiqués dans l'organisation en dehors des délégués de personnel et qui ne sont pas concernés par le licenciement pour motif économique compte tenu de leur aptitude professionnelle. Les autres affabulations de leur déclaration relèvent purement et simplement de la volonté gratuite de nuire mes collaborateurs et mon organisation et d'utiliser la presse à des fins personnelles. Je me réserve le droit d'ester en justice contre ces attaques si les personnes à leur origine les assument entièrement et informe que cette affaire est pendante devant les tribunaux compétents à leur initiative. Le Trade Point exécutera toute décision qui leur sera favorable au terme de la procédure contentieuse", dit Mor Talla Diouck.