Il aurait dû fêter ses soixante et onze ans demain, mais la vie en a décidé autrement. Franck Alamo, chanteur emblématique des années yéyé, est décédé aujourd’hui dans sa maison des Yvelines.
Atteint par une sclérose latérale amyotrophique, appelée maladie de Charcot, une maladie rare provoquant des défauts de motricité pouvant aller jusqu’à la paralysie, il se sera battu jusqu’à la fin. “Je constate que je décline. Pourtant, je ne suis pas malade! Tout marche! Sauf les muscles. (…) Je lutterai jusqu'au bout, pour vivre le plus longtemps possible. Je ne veux pas me laisser aller” avait-il assuré dans Ici Paris au mois de février dernier. Fort d’un mental à toute épreuve, il s’était même rendu à Lourdes en espérant un miracle. En vain. Franck Alamo, de son vrai nom Jean-François Grandin, nous a quittés ce jour.
Il avait débuté sa carrière en tant que soliste dans les Petits Chanteurs à la Croix de Bois avant de connaître le succès dans les années 60 en adaptant en français des tubes anglo-saxons, comme le faisaient à la même époque Johnny Hallyday, Eddy Mitchell ou encore Dick Rivers. On retiendra, parmi ses hits, les mémorables reprises des Searchers Sweets for my sweet transformé en Biche Ma biche ainsi que ses reprises des Beatles, Je me bats pour gagner (A hard day's night) et Je veux prendre ta main (I want to hold your hand).
Marié deux fois, il laisse derrière lui deux enfants et deux petits-enfants. C’est vers sa famille que vont toutes nos pensées aujourd’hui.
Atteint par une sclérose latérale amyotrophique, appelée maladie de Charcot, une maladie rare provoquant des défauts de motricité pouvant aller jusqu’à la paralysie, il se sera battu jusqu’à la fin. “Je constate que je décline. Pourtant, je ne suis pas malade! Tout marche! Sauf les muscles. (…) Je lutterai jusqu'au bout, pour vivre le plus longtemps possible. Je ne veux pas me laisser aller” avait-il assuré dans Ici Paris au mois de février dernier. Fort d’un mental à toute épreuve, il s’était même rendu à Lourdes en espérant un miracle. En vain. Franck Alamo, de son vrai nom Jean-François Grandin, nous a quittés ce jour.
Il avait débuté sa carrière en tant que soliste dans les Petits Chanteurs à la Croix de Bois avant de connaître le succès dans les années 60 en adaptant en français des tubes anglo-saxons, comme le faisaient à la même époque Johnny Hallyday, Eddy Mitchell ou encore Dick Rivers. On retiendra, parmi ses hits, les mémorables reprises des Searchers Sweets for my sweet transformé en Biche Ma biche ainsi que ses reprises des Beatles, Je me bats pour gagner (A hard day's night) et Je veux prendre ta main (I want to hold your hand).
Marié deux fois, il laisse derrière lui deux enfants et deux petits-enfants. C’est vers sa famille que vont toutes nos pensées aujourd’hui.
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