Aminata Touré
Le 5ème symposium annuel sur la gouvernance, la paix et la sécurité en Afrique a été ouvert ce matin à Dakar. Gorée Institute regroupe d’imminents intervenants. Un moment de partage entre intellectuel, chercheurs, acteurs et société civile. Parmi eux l’envoyée spéciale du président de la République, Aminata Touré.
Elle en a profité de cette tribune pour inciter à la culture de la paix dans toute l’Afrique. ‘’il y a beaucoup de conflits en Afrique, certains ont tendance à les oublier. Quand on fait le listing, on a à peu prês 14 conflits, variant de haute intensité. Et certains conflits sont quasiment oubliés, alors qu'ils ont un impact sur les populations’’.
Cependant, l’ex Première ministre du Sénégal reconnait la chance du Sénégal de bénéficier d’une stabilité, mais, insiste-t-elle ‘’ il faut continuer à approfondir et cultiver cette paix".
C’est à ce sens que la question de sécurité transcende les force de sécurité en allant, au delà, pour une culture de la paix. Ce qui implique les curricula au niveau de l’éducation, faire intervenir des acteurs de la société comme les chefs religieux. Que la tolérance religieuse soit cultivée aussi, puisque selon M. Touré, ‘’des conflits à caractère religieux existe avec comme exemple le Nigéria et le Soudan. Ainsi, elle suggère à Gorée Institute ‘’ de réfléchir sur des stratégies à proposer pour accompagner les Etats qui les mettront en œuvre".
Face à la résurgence de la violence, il faut, à la lumière des événements, qui se déroulent et qu’on ne considère pas que c’est un 'acquis définitif, le fait que le Sénégal soit un pays de paix et calme.’’
Khary DIENE, Leral.net
Elle en a profité de cette tribune pour inciter à la culture de la paix dans toute l’Afrique. ‘’il y a beaucoup de conflits en Afrique, certains ont tendance à les oublier. Quand on fait le listing, on a à peu prês 14 conflits, variant de haute intensité. Et certains conflits sont quasiment oubliés, alors qu'ils ont un impact sur les populations’’.
Cependant, l’ex Première ministre du Sénégal reconnait la chance du Sénégal de bénéficier d’une stabilité, mais, insiste-t-elle ‘’ il faut continuer à approfondir et cultiver cette paix".
C’est à ce sens que la question de sécurité transcende les force de sécurité en allant, au delà, pour une culture de la paix. Ce qui implique les curricula au niveau de l’éducation, faire intervenir des acteurs de la société comme les chefs religieux. Que la tolérance religieuse soit cultivée aussi, puisque selon M. Touré, ‘’des conflits à caractère religieux existe avec comme exemple le Nigéria et le Soudan. Ainsi, elle suggère à Gorée Institute ‘’ de réfléchir sur des stratégies à proposer pour accompagner les Etats qui les mettront en œuvre".
Face à la résurgence de la violence, il faut, à la lumière des événements, qui se déroulent et qu’on ne considère pas que c’est un 'acquis définitif, le fait que le Sénégal soit un pays de paix et calme.’’
Khary DIENE, Leral.net
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