Les populations de Guédiawaye n’ont plus la vie sucrée. Si l’on en croit le président du Cvag, il est difficile de mettre la main sur le sucre. « Cette denrée est introuvable », précise-t-il. Selon M. Niang, les quartiers Sahm Notaire, Ndiarème Limamoulaye, Wakhinane Nimzatt et Médina Gounass n’ont plus accès à cette denrée. « Les boutiquiers refusent même d’acheter le sucre chez les grossistes », renseigne Assane Niang.
Dans les jours passés, l’Etat avait annoncé la baisse des prix de quelques denrées de première consommation. « Il n’y a aucune réduction à Guédiawaye », tonne M. Niang. « Je ne sais pas pourquoi quand il y a augmentation, les commerçants augment. Et s’il y a baisse des prix, les boutiquiers refusent d’appliquer la mesure ? », s’interroge le président du Cvag. Les populations demandent à l’Etat et à l’Unacois des éclairages par rapport à cette confusion.
Le Cvag compte tenir un point de presse le dimanche 27 février pour aborder toutes les questions qui secouent leur localité : « le manque de considération des autorités étatiques par rapport à Guédiawaye », la ronde des politiciens, les délestages, la pénurie de sucre, etc.
Thiedo
Dans les jours passés, l’Etat avait annoncé la baisse des prix de quelques denrées de première consommation. « Il n’y a aucune réduction à Guédiawaye », tonne M. Niang. « Je ne sais pas pourquoi quand il y a augmentation, les commerçants augment. Et s’il y a baisse des prix, les boutiquiers refusent d’appliquer la mesure ? », s’interroge le président du Cvag. Les populations demandent à l’Etat et à l’Unacois des éclairages par rapport à cette confusion.
Le Cvag compte tenir un point de presse le dimanche 27 février pour aborder toutes les questions qui secouent leur localité : « le manque de considération des autorités étatiques par rapport à Guédiawaye », la ronde des politiciens, les délestages, la pénurie de sucre, etc.
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