Le Sénégal compte atteindre l'émergence d'ici 2035 grâce au Plan Sénégal Émergent. Pour y arriver, la participation de tous a été recommandé par le mouvement Alternative Citoyenne Andu Nawlé de l'ancien ministre sous Abdoulaye Wade, Abdou Fall. Cette journée a permis au mouvement de passer à la loupe tous les voies et moyens à entreprendre, les défis à relever, pour arriver à un Sénégal émergent en 2035. Toutefois, la mise en oeuvre du plan Sénégal émergent demande la participation de tous. "Adhérer au Pse, c'est faire preuve de patriotisme économique", a dit M. Mbacké Niang. Venu assister à cette rencontre, le Directeur général du Bureau opération et suivi (Bos), Ibrahima Wade, soutient que : "la réussite du Pse nécessite un sursaut patriotique".
La question du financement du Pse a également été évoquée par les panélistes. D'ailleurs, renseigne Boubacar Hann, consultant-économiste-financier et membre de ce mouvement, "il est impératif de revoir le paysage financier du Sénégal dans tous ses aspects". Car, dit-il, "aujourd'hui, le contexte est tel que les Pme (Petites et moyennes entreprises) et les Petites et moyennes industries (Pmi), ont du mal à trouver un financement". C'est une problématique que certaines institutions nationales et internationales (Banque mondiale, Fongip, Bnde, etc.), mises en place par le régime actuel, ont en charge de régler", a constaté, M. Hann. Selon lui, ces structures existaient déjà et n'ont pas donné les résultats escomptés. Mais, M. Hann préconise d'analyser les causes de ces dysfonctionnements en repensant l'esprit de la micro-finance pour aider les entreprises qui n'ont pas suffisamment de moyens à pouvoir bénéficier de financement.
La question du financement du Pse a également été évoquée par les panélistes. D'ailleurs, renseigne Boubacar Hann, consultant-économiste-financier et membre de ce mouvement, "il est impératif de revoir le paysage financier du Sénégal dans tous ses aspects". Car, dit-il, "aujourd'hui, le contexte est tel que les Pme (Petites et moyennes entreprises) et les Petites et moyennes industries (Pmi), ont du mal à trouver un financement". C'est une problématique que certaines institutions nationales et internationales (Banque mondiale, Fongip, Bnde, etc.), mises en place par le régime actuel, ont en charge de régler", a constaté, M. Hann. Selon lui, ces structures existaient déjà et n'ont pas donné les résultats escomptés. Mais, M. Hann préconise d'analyser les causes de ces dysfonctionnements en repensant l'esprit de la micro-finance pour aider les entreprises qui n'ont pas suffisamment de moyens à pouvoir bénéficier de financement.