L’affaire de trafic présumé de drogue dans la police a porté un sacré coup au groupe Takeïfa, composé de cinq artistes nés d’un même père, le commissaire Keïta, l'un de ses protagonistes. Selon Jack Keïta, lead vocal du groupe, « cette mauvaise passe que traversait » leur papa à l’époque, leur a « fermés énormément de portes ».
«Des opportunités, nous sont passées sous le nez. Aujourd’hui, s’il n’y avait pas eu ce problème, nous aurions dépassé ce stade de notre carrière. Parfois, il nous arrivait de monter des projets et de solliciter des sponsors, mais c’était peine perdue», confie-t-il, à L’Observateur.
Jack Keïta s’exprimait hier, en marge d’une séance d’écoute de leur nouvel album, «Gass-Giss ».
«Des opportunités, nous sont passées sous le nez. Aujourd’hui, s’il n’y avait pas eu ce problème, nous aurions dépassé ce stade de notre carrière. Parfois, il nous arrivait de monter des projets et de solliciter des sponsors, mais c’était peine perdue», confie-t-il, à L’Observateur.
Jack Keïta s’exprimait hier, en marge d’une séance d’écoute de leur nouvel album, «Gass-Giss ».