Le Procureur, d’après des sources citées par Le Quotidien, a estimé que les faits dont est accusé l’enseignant ne souffrent d’aucune contestation. Une position qui s’aligne sur celle des avocats de la partie civile qui ont indiqué que les faits sont constants. Puisque non seulement l’élève S.F.M.F a reconnu a reconnu les faits depuis le premier jour, mais aussi n’avait pas de la peine à identifier son bourreau. Suffisant alors pour ces avocats de réclamer au prévenu à titre de dommages et intérêts la somme de 1 million de francs CFA. Alors que la défense plaide pour la relaxe au bénéfice du doute. Cette affaire est mise en délibération au 5 mars 2013.
L’élève supposé victime de M. Bâ, âgé de 13ans, qui est en classe de 6ème, soutient dans le procès-verbal de l’enquête préliminaire que son bourreau a abusé de lui en utilisant un bâton. Après cet acte, selon lui, l’enseignant lui a demandé de dire à ses éventuels interlocuteurs que quelqu’un qui était encagoulé, a abusé de lui. L’enfant finit par avouer sous menace de sa maman, surprise de voir son fils couché…
L’élève supposé victime de M. Bâ, âgé de 13ans, qui est en classe de 6ème, soutient dans le procès-verbal de l’enquête préliminaire que son bourreau a abusé de lui en utilisant un bâton. Après cet acte, selon lui, l’enseignant lui a demandé de dire à ses éventuels interlocuteurs que quelqu’un qui était encagoulé, a abusé de lui. L’enfant finit par avouer sous menace de sa maman, surprise de voir son fils couché…
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