Daouda Thiam est dans tous ses états. Notre ami et confrère a déposé hier une plainte auprès du procureur de la République contre X. Après huit ans passés dans les salles de classes, l’instituteur devenu journaliste est monté au créneau pour exiger toute la lumière sur son salaire d’enseignant qui continuait à être versé et perçu à son insu depuis 2005, année de son recrutement dans la Fonction publique.
Volontaire de l’éducation, puis contractuel en service à Linguère, le natif de Mélakh, village situé à dix kilomètres de la commune de Dahra Djolof, avait tourné le dos à l’enseignement élémentaire, en 2003, suite à son admission au concours d’entrée au Centre d’Etudes des Sciences et Techniques de l’Information (CESTI). En 2005, le ministère de l’Education lui enjoint de prendre service pour percevoir le rappel de son salaire de la Fonction publique estimé à plus d’un million de francs. Ayant opté pour le journalisme, il n’a pas donné suite à cette injonction.
Or depuis lors et cela pendant cinq, son salaire est versé à la fin de chaque mois au Trésor public avant d’être encaissé (par qui ?) au grand détriment du contribuable sénégalais. Et le plus étonnant dans tout cela, Daouda Thiam n’a jamais été radié de la Fonction publique. Stupéfait devant une telle découverte et pour éviter que son image en pâtisse, le directeur de publication de Actusen.com a porté l’affaire en justice et se dit prêt à tout faire pour que l’auteur de ce détournement et ses complices soient démasqués et que toute la lumière soit faite sur cette affaire.
Volontaire de l’éducation, puis contractuel en service à Linguère, le natif de Mélakh, village situé à dix kilomètres de la commune de Dahra Djolof, avait tourné le dos à l’enseignement élémentaire, en 2003, suite à son admission au concours d’entrée au Centre d’Etudes des Sciences et Techniques de l’Information (CESTI). En 2005, le ministère de l’Education lui enjoint de prendre service pour percevoir le rappel de son salaire de la Fonction publique estimé à plus d’un million de francs. Ayant opté pour le journalisme, il n’a pas donné suite à cette injonction.
Or depuis lors et cela pendant cinq, son salaire est versé à la fin de chaque mois au Trésor public avant d’être encaissé (par qui ?) au grand détriment du contribuable sénégalais. Et le plus étonnant dans tout cela, Daouda Thiam n’a jamais été radié de la Fonction publique. Stupéfait devant une telle découverte et pour éviter que son image en pâtisse, le directeur de publication de Actusen.com a porté l’affaire en justice et se dit prêt à tout faire pour que l’auteur de ce détournement et ses complices soient démasqués et que toute la lumière soit faite sur cette affaire.
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