Le match du 31 octobre dernier contre l’Olympique de Marseille en coupe de la Ligue était-il un mirage ? En parvenant à s’imposer contre l’ennemi provençal sans Zlatan Ibrahimovic (2-0), le Paris Saint-Germain semblait avoir envoyé un signal fort à ses adversaires : oui il sait gagner sans sa star suédoise. Trois semaines plus tard, le constat n’est pas vraiment le même. Depuis son expulsion contre Saint-Étienne, Ibra a assisté, impuissant (il était suspendu deux matches), aux couacs à répétition de ses partenaires en championnat (2 défaites, 1 nul).
Arme offensive numéro du club de la capitale, le Scandinave avait pu entretemps se défouler sur le Dinamo Zagreb en offrant pas moins de quatre passes décisives. Alors, depuis que le mot crise a été prononcé par Carlo Ancelotti himself, le retour du sauveur Zlatan sevré de matches avec Paris depuis le 6 novembre enchante tout le monde. « Ouf, Ibra est là » (L’Équipe), « Zlatan, réveille-les enfin ! » (Le Parisien) titre la presse sportive et parisienne.
« Un nul suffit, mais on va jouer pour gagner, c’est l’esprit de tous nos matches. (…) Le moment n’est pas facile après nos deux défaites à la maison où l’équipe n’a pas montré une bonne attitude. Mais il est facile de sortir d’une telle période en faisant un bon match. » Motivé, le coach Ancelotti espère bien réaliser un gros coup sur la pelouse d’une équipe que son PSG avait battu 4-1 au Parc. Et pour ce faire, l’Italien compte bien sur l’impact technique, mais surtout moral de son nº 18 qui a pour mission de réveiller une formation minée par la suffisance et l’absence de collectif.
« On doit davantage travailler tactiquement. Bien sûr, la responsabilité d’une défaite comme celle contre Rennes revient à l’entraîneur. Je l’assume entièrement. Mais j’attends aussi des joueurs qu’ils prennent des responsabilités pour faire quelque chose de différent. J’ai confiance dans leur caractère et leur professionnalisme pour y parvenir. » Le message sera-t-il entendu ? Réponse ce soir à partir de 20h45.
Matthieu Margueritte
Arme offensive numéro du club de la capitale, le Scandinave avait pu entretemps se défouler sur le Dinamo Zagreb en offrant pas moins de quatre passes décisives. Alors, depuis que le mot crise a été prononcé par Carlo Ancelotti himself, le retour du sauveur Zlatan sevré de matches avec Paris depuis le 6 novembre enchante tout le monde. « Ouf, Ibra est là » (L’Équipe), « Zlatan, réveille-les enfin ! » (Le Parisien) titre la presse sportive et parisienne.
« Un nul suffit, mais on va jouer pour gagner, c’est l’esprit de tous nos matches. (…) Le moment n’est pas facile après nos deux défaites à la maison où l’équipe n’a pas montré une bonne attitude. Mais il est facile de sortir d’une telle période en faisant un bon match. » Motivé, le coach Ancelotti espère bien réaliser un gros coup sur la pelouse d’une équipe que son PSG avait battu 4-1 au Parc. Et pour ce faire, l’Italien compte bien sur l’impact technique, mais surtout moral de son nº 18 qui a pour mission de réveiller une formation minée par la suffisance et l’absence de collectif.
« On doit davantage travailler tactiquement. Bien sûr, la responsabilité d’une défaite comme celle contre Rennes revient à l’entraîneur. Je l’assume entièrement. Mais j’attends aussi des joueurs qu’ils prennent des responsabilités pour faire quelque chose de différent. J’ai confiance dans leur caractère et leur professionnalisme pour y parvenir. » Le message sera-t-il entendu ? Réponse ce soir à partir de 20h45.
Matthieu Margueritte
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