Depuis qu’elle a quitté les prairies orange de Rewmi pour rejoindre le camp marron-beige, la notaire Nafissatou Diop se démène comme un diable, pour ne pas dire qu’elle s’active comme mille femmes rien que pour faire réélire le président Macky Sall. Son attachement au président Sall l’aura même conduit à accorder plus de considération à l’épouse de celui-ci, madame la Première Dame qu’à des membres du gouvernement. Prompte à défendre Marème Faye Sall, elle s’en est vivement prise, récemment, à une partie de la presse qui s’était émue de l’organisation d’une soirée folklorique par cette dernière au Palais.
«C'est avec un quelque ahurissement que j'ai lu dans la presse de la semaine dernière une contribution qui s'émeut d'une prétendue bamboula de la Première Dame au Palais, simplement parce que Marième Faye Sall y avait organisé une soirée de gala, avec comme convives des Sénégalaises et des étrangères amies avec qui elle partage surtout la téranga Sénégalaise. Pour corser l'addition, l'auteur de l'article est même allé jusqu'à requérir des séquences historiques susceptibles à ses yeux de réveiller nos capacités d'indignation, en soulignant que par le passé, un journal de la place (Info7) avait eu à barrer sa Une avec ce titre: "Le Peuple a faim, la République danse", après une soirée de gala organisée sur les lieux par l'ancienne Première Dame du Sénégal.
Dans quel contexte sommes-nous? Les contextes sont différents et la personnalité de la Première Dame est tout autre. Que cachent donc ces propos faussement sybillins? Difficile de le savoir devant tant de hargne » confiait-elle déjà dans un texte adressé à Leral le 13 février dernier, où elle affirmait que « quand on ne peut pas atteindre Macky on vise Marème Faye Sall».
Récemment encore, lorsque la ministre conseillère Amsatou Sidibé s’est mise à critiquer la démarche du gouvernement, elle avait comme sursauté et apporté une réponse cinglante à cette dernière : « Sa sortie est inédite et sa démarche cavalière. C’est un dénigrement public et non un conseil comme elle le soutient. A défaut de voir le Président, elle aurait dû lui adresser une missive pour lui formuler sa pensée et non utiliser ces méthodes qui sonnent comme : "retenez moi ou je fais un malheur" …».
Que ceux qui veulent barrer la route à Macky Sall se le tiennent pour dit, ils auront en face d’elle la nouvelle égérie de l’Apr, même si celle-ci éprouve encore du mal à se faire une place dans ce parti présidentiel om l’on ne semble pas trop apprécier les militants «de la dernière heure».
«C'est avec un quelque ahurissement que j'ai lu dans la presse de la semaine dernière une contribution qui s'émeut d'une prétendue bamboula de la Première Dame au Palais, simplement parce que Marième Faye Sall y avait organisé une soirée de gala, avec comme convives des Sénégalaises et des étrangères amies avec qui elle partage surtout la téranga Sénégalaise. Pour corser l'addition, l'auteur de l'article est même allé jusqu'à requérir des séquences historiques susceptibles à ses yeux de réveiller nos capacités d'indignation, en soulignant que par le passé, un journal de la place (Info7) avait eu à barrer sa Une avec ce titre: "Le Peuple a faim, la République danse", après une soirée de gala organisée sur les lieux par l'ancienne Première Dame du Sénégal.
Dans quel contexte sommes-nous? Les contextes sont différents et la personnalité de la Première Dame est tout autre. Que cachent donc ces propos faussement sybillins? Difficile de le savoir devant tant de hargne » confiait-elle déjà dans un texte adressé à Leral le 13 février dernier, où elle affirmait que « quand on ne peut pas atteindre Macky on vise Marème Faye Sall».
Récemment encore, lorsque la ministre conseillère Amsatou Sidibé s’est mise à critiquer la démarche du gouvernement, elle avait comme sursauté et apporté une réponse cinglante à cette dernière : « Sa sortie est inédite et sa démarche cavalière. C’est un dénigrement public et non un conseil comme elle le soutient. A défaut de voir le Président, elle aurait dû lui adresser une missive pour lui formuler sa pensée et non utiliser ces méthodes qui sonnent comme : "retenez moi ou je fais un malheur" …».
Que ceux qui veulent barrer la route à Macky Sall se le tiennent pour dit, ils auront en face d’elle la nouvelle égérie de l’Apr, même si celle-ci éprouve encore du mal à se faire une place dans ce parti présidentiel om l’on ne semble pas trop apprécier les militants «de la dernière heure».
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