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Mimie Mathy déçue et peinée d’être snobée par les maga­zines fémi­nins

Rédigé par leral.net le Jeudi 28 Avril 2016 à 10:00 | | 0 commentaire(s)|

Etre une star est norma­le­ment un bon début pour prétendre à un obte­nir un article, voir la couver­ture, d’un maga­zine. Pour­tant, selon Mimie Mathy, dans son cas cela ne suffit pas. L’ac­trice a confié sa décep­tion et son amer­tume d’être igno­rée par les maga­zines fémi­nins.


 

Comme beau­coup de stars avant elle, Mimi Mathy a vu sa vie passée au crible par Laurent Boyer. Dans l’émis­sion Ma vie en Super 8, diffu­sée hier soir sur D8, l’hé­roïne de José­phine Ange gardien s’est confiée sur son quoti­dien, ses joies et ses tracas. La comé­dienne en a profité pour faire part du snobisme dont elle est victime de la part d’une certaine presse fémi­nine et qui la peine autant qu’elle l’énerve.

 

« C’est vrai que c’est très dur, de lutter contre les jour­naux fémi­nins […]. Il y a une réti­cence quoi, constate-t-elle en préam­bule. Ce qu’il y a de très drôle, c’est que je n’ai jamais eu une couver­ture de Elle ou un papier dans Elle, alors qu’il y a eu un sondage dans Elle. Je le cite parce que je trouve que c’est un maga­zine qui est censé faire rêver, et moi je pense que je fais rêver. Je fais rêver beau­coup plus qu’un mannequin à qui personne ne peut s’iden­ti­fier, dans le côté : "Elle, elle y est arrivé, donc on va y arri­ver. " »

 

Pour prou­ver ce snobisme dont elle serait, à son sens, victime, Mimie Mathy a pour­suivi son récit : « Donc il y a un sondage dans Elle, il y a quelques années, pour élire la femme Elle. La première c’est Sœur Emma­nuelle, la deuxième c’est moi ». Des résul­tats qui avaient conduit l’heb­do­ma­daire à s’in­té­res­ser à la comé­dienne. A contre cœur selon cette dernière : « Bon, là ils ont été obli­gés de me faire un petit papier, mais c’est [elle fait mine d’avoir quelque chose de coincé dans la gorge]. »
Une mise à l’écart que Mimie Mathy attri­bue aux « préju­gés » et au fait qu’elle ne serait, selon elle, « pas repré­sen­ta­tive de la classe de ces jour­naux là », ajou­tant « c’est vrai qu’ils ont du mal ». Espé­rons que son message aura été entendu.

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