Début septembre, Mireille Mathieu, avait créé la polémique à la suite d’une interview accordée à la chaîne de télévision russe TV Tsentr.
La chanteuse aux 220 millions de disques vendus avait déclaré que les jeunes femmes du groupe de punk rock Pussy Riot avaient commis un "sacrilège" en organisant une action anti-Poutine dans une cathédrale.
Problème, l’interprète de Mille Colombes avait dans la foulée publié un communiqué dans lequel elle affirmait que "l'interview sur la chaîne russe n'avait pas été diffusée dans son intégralité", précisant que le passage où elle sollicitait "l'indulgence" pour les Pussy Riot avait été supprimé.
La polémique avait cependant été relayée par Yann Barthès et Laurent Ruquier dans leurs émissions respectives.
Et d’être ainsi tournée en dérision n’a pas du tout été du goût de la chanteuse.
Me André Schmidt a donc déposé des assignations pour "dénigrement"', "diffamation" et "propos mensongers" contre les maisons de productions des deux émissions. Le Petit Journal a par ailleurs été contraint d’offrir un droit de réponse après que Yann Barthès a affirmé que Mireille Mathieu "enfonçait" les Pussy Riot dans une interview à la chaîne russe TV Tsentr.
"Mireille Mathieu a été profondément blessée par le dénigrement mis en scène par Le Petit Journal et On n'est pas couché", a rapporté un proche de la chanteuse à l'AFP.
La chanteuse aux 220 millions de disques vendus avait déclaré que les jeunes femmes du groupe de punk rock Pussy Riot avaient commis un "sacrilège" en organisant une action anti-Poutine dans une cathédrale.
Problème, l’interprète de Mille Colombes avait dans la foulée publié un communiqué dans lequel elle affirmait que "l'interview sur la chaîne russe n'avait pas été diffusée dans son intégralité", précisant que le passage où elle sollicitait "l'indulgence" pour les Pussy Riot avait été supprimé.
La polémique avait cependant été relayée par Yann Barthès et Laurent Ruquier dans leurs émissions respectives.
Et d’être ainsi tournée en dérision n’a pas du tout été du goût de la chanteuse.
Me André Schmidt a donc déposé des assignations pour "dénigrement"', "diffamation" et "propos mensongers" contre les maisons de productions des deux émissions. Le Petit Journal a par ailleurs été contraint d’offrir un droit de réponse après que Yann Barthès a affirmé que Mireille Mathieu "enfonçait" les Pussy Riot dans une interview à la chaîne russe TV Tsentr.
"Mireille Mathieu a été profondément blessée par le dénigrement mis en scène par Le Petit Journal et On n'est pas couché", a rapporté un proche de la chanteuse à l'AFP.
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