Selon Le Point, dans le cadre de l’enquête sur la publication des photos de Kate Middleton seins nus, les locaux de Closer ont reçu aujourd'hui la visite de la police pour une réquisition judiciaire et non une perquisition. Une descente de police destinée à identifier les responsables de la violation de l’intimité de Kate Middleton et du prince William.
Car en France, l’histoire est terminée. Plus personne ne pourra voir dans un journal ou sur un site internet les photos de Kate topless. A moins de mettre la main sur un vieux numéro de Closer. Hier, le magazine a été interdit par le tribunal de Nanterre de «céder, diffuser, par tous moyens, sur tout support, auprès de quiconque et de quelque manière que ce soit (…) les photographies» incriminées. Il doit en outre les restituer au couple princier.
Pour ceux qui auraient eu une conjonctivite aiguë depuis vendredi ou l’impossibilité de voir les seins de la duchesse de Cambridge, il existe un recours: s’acheter un billet d’avion et prendre la direction de l'Irlande, de l'Italie ou, à partir de demain, du Danemark. Un magazine people doit en effet y publier les photos jeudi.
Se og Hier -c'est le nom du journal- l’a annoncé sur son site internet en ajoutant qu’il y consacrerait pas moins de 16 pages. N’oublions pas que nous parlons de seins quasi-royaux, tout de même.
Pour se justifier, le rédacteur en chef Kim Henningsen a expliqué: «Nous devons satisfaire la curiosité de nos lecteurs. Par conséquent, cela a toujours une pertinence pour nous quand une duchesse et future reine d'Angleterre montre volontairement sa poitrine à un endroit visible depuis la voie publique». En revanche, il n’a pas voulu dire comment Se og Hoer s’était procuré les clichés.
Il n’est pas impossible que des magazines d’autres pays les achètent à leur tour, on parle de la Suède, de la Finlande, des Pays-Bas, de la Belgique ou encore de l’Allemagne. Mais la famille royale a averti, via son porte-parole, que «toutes les réponses proportionnées seront étudiées» afin de dissuader les journaux d’une nouvelle diffusion.
Kate et William sont actuellement sur le chemin de Londres après leur voyage dans les îles Salomon. Leur retour s’annonce rock'n roll...
Car en France, l’histoire est terminée. Plus personne ne pourra voir dans un journal ou sur un site internet les photos de Kate topless. A moins de mettre la main sur un vieux numéro de Closer. Hier, le magazine a été interdit par le tribunal de Nanterre de «céder, diffuser, par tous moyens, sur tout support, auprès de quiconque et de quelque manière que ce soit (…) les photographies» incriminées. Il doit en outre les restituer au couple princier.
Pour ceux qui auraient eu une conjonctivite aiguë depuis vendredi ou l’impossibilité de voir les seins de la duchesse de Cambridge, il existe un recours: s’acheter un billet d’avion et prendre la direction de l'Irlande, de l'Italie ou, à partir de demain, du Danemark. Un magazine people doit en effet y publier les photos jeudi.
Se og Hier -c'est le nom du journal- l’a annoncé sur son site internet en ajoutant qu’il y consacrerait pas moins de 16 pages. N’oublions pas que nous parlons de seins quasi-royaux, tout de même.
Pour se justifier, le rédacteur en chef Kim Henningsen a expliqué: «Nous devons satisfaire la curiosité de nos lecteurs. Par conséquent, cela a toujours une pertinence pour nous quand une duchesse et future reine d'Angleterre montre volontairement sa poitrine à un endroit visible depuis la voie publique». En revanche, il n’a pas voulu dire comment Se og Hoer s’était procuré les clichés.
Il n’est pas impossible que des magazines d’autres pays les achètent à leur tour, on parle de la Suède, de la Finlande, des Pays-Bas, de la Belgique ou encore de l’Allemagne. Mais la famille royale a averti, via son porte-parole, que «toutes les réponses proportionnées seront étudiées» afin de dissuader les journaux d’une nouvelle diffusion.
Kate et William sont actuellement sur le chemin de Londres après leur voyage dans les îles Salomon. Leur retour s’annonce rock'n roll...
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