Le "Citoyen Vigilant" avec le soutien de "Y en a marre" a mis en place, selon le journal, une vaste campagne de sensibilisation dénommée "Buleen ñu yokk mar" (n'aggravez pas notre soif), pour soutenir les agriculteurs et les populations des villages impactés.
Interpellé dans cette affaire, Dangote Cement Sénégal n'a pas tardé à répondre. Il soutient, dans un communiqué parcouru par nos confrères, avoir "scrupuleusement respecté la réglementation sénégalaise à travers les exigences et contraintes du code de l'environnement régi par la loi n°2001-01 du 12 avril 2001 ; les exigences et contraintes des normes de rejets sur la pollution atmosphérique (NS 05- 062-Octobre 2003) et des eaux usées (NS 05-061-Juillet 2001) ; les exigences et contraintes du code de l'eau régi par la loi 81-13 du 4 mars 1981". Pour éviter de puiser dans le réseau (déjà limité) d'adduction d'eau potable de la SDE (Société des Eaux), Dangote Cement Sénégal a réalisé "quatre forages en limitant le débit d'exploitation à 80m3/h et en exigeant une déclaration à la DGPRE des prévisions de pompage et du bilan d'exploitation au début et à la fin de chaque année, comme l'exige la loi sénégalaise".
Interpellé dans cette affaire, Dangote Cement Sénégal n'a pas tardé à répondre. Il soutient, dans un communiqué parcouru par nos confrères, avoir "scrupuleusement respecté la réglementation sénégalaise à travers les exigences et contraintes du code de l'environnement régi par la loi n°2001-01 du 12 avril 2001 ; les exigences et contraintes des normes de rejets sur la pollution atmosphérique (NS 05- 062-Octobre 2003) et des eaux usées (NS 05-061-Juillet 2001) ; les exigences et contraintes du code de l'eau régi par la loi 81-13 du 4 mars 1981". Pour éviter de puiser dans le réseau (déjà limité) d'adduction d'eau potable de la SDE (Société des Eaux), Dangote Cement Sénégal a réalisé "quatre forages en limitant le débit d'exploitation à 80m3/h et en exigeant une déclaration à la DGPRE des prévisions de pompage et du bilan d'exploitation au début et à la fin de chaque année, comme l'exige la loi sénégalaise".