Cet homme de 48 ans devait être hospitalisé en urgence à Toulouse en raison d'une insuffisance respiratoire, a expliqué Michel Oliva, maire de ce bourg du sud du département, confirmant une information du quotidien La Dépêche du Midi.
"Je ne suis pas sorti de cette pièce depuis plus de deux ans (...) mais mon état de santé s'est dégradé avec les grosses chaleurs de l'été. Mon médecin m'a dit que j'avais une chance sur deux de mourir", a expliqué le malade au journal. Selon le maire, "le médecin a convaincu son patient et tout a été organisé dans la journée de mardi pour que cela se passe bien".
Un maçon requis par la mairie a d'abord cassé l'encadrement de fenêtre en façade et a élargi l'orifice, puis une vingtaine de pompiers de Cazères et du groupe d'intervention en milieu périlleux (GIMP) sont intervenus pour extraire cet homme qui ne peut plus marcher.
Les pompiers l'ont transféré dans une nacelle utilisée pour les secours en altitude, qui a ensuite descendu le patient vers un véhicule adapté à son transfert vers l'hôpital.
Le patient tente désormais de trouver un logement mieux adapté à son handicap. "C'est très difficile d'obtenir un logement en rez-de-chaussée adapté à mon handicap. Mais désormais, vivre ici, ce n'est plus possible".
"Je ne suis pas sorti de cette pièce depuis plus de deux ans (...) mais mon état de santé s'est dégradé avec les grosses chaleurs de l'été. Mon médecin m'a dit que j'avais une chance sur deux de mourir", a expliqué le malade au journal. Selon le maire, "le médecin a convaincu son patient et tout a été organisé dans la journée de mardi pour que cela se passe bien".
Un maçon requis par la mairie a d'abord cassé l'encadrement de fenêtre en façade et a élargi l'orifice, puis une vingtaine de pompiers de Cazères et du groupe d'intervention en milieu périlleux (GIMP) sont intervenus pour extraire cet homme qui ne peut plus marcher.
Les pompiers l'ont transféré dans une nacelle utilisée pour les secours en altitude, qui a ensuite descendu le patient vers un véhicule adapté à son transfert vers l'hôpital.
Le patient tente désormais de trouver un logement mieux adapté à son handicap. "C'est très difficile d'obtenir un logement en rez-de-chaussée adapté à mon handicap. Mais désormais, vivre ici, ce n'est plus possible".
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