“Je ne peux pas le faire parce que je trouve cette pratique assez bizarre. Je n’ai même pas ce courage, je préfère qu’on le fasse à ma place. Pendant la fête de Tabaski, je loue les services d’une personne pour égorger mon mouton. Je ne sais pas si c’est le sang qui me fait peur ou autre chose. Une fois dans le passé, j’ai essayé, mais on ne m’y prendra plus. Ce fut une très pénible expérience. Je vous assure que je n’ai pas pu terminer mon oeuvre, tellement que ça me paraissait curieux et insensé”. J’ai abandonné le bélier sur place parce qu’il m’était impossible de continuer”.
Abdoulaye FALL
Abdoulaye FALL