Il faut arrêter cette obstination idéologique libérale qui a plongé notre pays durant plus d'une décennie d'ajustement structurel, dans une grave panne de croissance et de développement fulgurant de la pauvreté et du chômage.
Aujourd'hui, avec le PSE, nous commençons à sortir du trou.
Ne nous laissons donc pas faire !
Les Syndicats des travailleurs de l’Entreprise et les Centrales syndicales auxquels ils sont affiliés, le Conseil national de concertation des Ruraux, (CNCR) et tous ceux qui se réclament de la souveraineté nationale sur nos entreprises stratégiques, qu’ils soient de gauche, libéral ou juste de la société civile, au pouvoir ou dans l’opposition, sont interpellés pour s’y opposer et exiger que l’Etat, les Syndicats concernés et le CNCR se concertent , pour conserver ce fleuron de notre industrie agroalimentaire, indispensable au développement et à la modernisation de la filière arachidière.
Il faut barrer la route à ce nouveau diktat du FMI par un vaste rassemblement des forces vives de la Nation pour que la SONACOS.SA reste une entreprise nationale, relevant de la propriété de l’Etat, des Travailleurs de l’entreprise et du CNCR.
Pour initier ce vaste rassemblement, les Syndicats de l'Entreprise et leurs Centrales syndicales, et le CNCR sont interpellés au premier chef.
Personne à leur place ne peut sauver leur outil de travail, et leur restituer la place qui leur revient dans l'émergence économique et le développement social de notre pays.
Ce danger qui plane sur leur outil de travail et sur l'économie nationale, est un défi qu'ils devront impérativement, relever avec l'appui des forces vives de la Nation, acquises à la restauration de la souveraineté nationale de notre peuple sur ses entreprises stratégiques.
La SONACOS. SA a suffisamment de patrimoine foncier qui peut servir à la sortir des difficultés héritées de sa première privatisation dictée par le même FMI, sans être de nouveau aliénée au profit du capital étranger, qui n'a donné nulle part la preuve de son efficacité et de efficience dans les entreprises privatisées en leur faveur.
Le FMI ne fait que récidiver après l'échec retentissant la première privatisation qu'il avait imposée.
Pour se convaincre de cette nécessité, je vous donne en partage cet article tiré du site Nettali.SN.
Le voici.
Nettali.sn – Le processus de reprivatisation de la Société nationale de commercialisation des oléagineux (SONACOS) vient d’être lancé à travers un appel d’offres international par le Conseil d’administration de cette société qui s’est réunie hier mercredi 20 septembre, et non ce jeudi 21 septembre comme annoncé par la presse.
C’est compte tenu des difficultés financières que rencontre SONACOS avec l’Etat du Sénégal qui parvient difficilement à renflouer les caisses de celle-ci, que le Fonds monétaire international (FMI) exige qu’elle soit privatisée.
SONACOS devenue SUNEOR avant que l’Etat ne la reprenne, avait connu une première privatisation et était tombée entre les mains du Franco-Libano-Sénégalais Abbas Jaber.
Une privatisation qui avait connu un échec, tant Abbas Jaber ne parvenait pas à respecter tous ses engagements.
SUNEOR au bord de la banqueroute, c’est en catastrophe que l’Etat du Sénégal l’a reprise des mains d’Abbas Jaber sous la forte pression des travailleurs de la boîte.
De sources dignes de foi recoupées par Nettali.sn, il ressort que deux géants de l’industrie agro-alimentaire se sont d’ores et déjà manifestés pour la reprise de SONACOS, avant même que soit lancé l’appel d’offres international.
Il s’agit du groupe singapourien Wilmar présent un peu partout dans le monde, notamment en Afrique et du Français Avril, ancien LESIEUR et qui avait déjà repris au Sénégal, l’ex-société NOVASEN de Kaolack.
Le groupe Avril s’était déjà signalé en 2015, lorsque, Abbas Jaber avait voulu lui céder les activités à l’époque de SUNEOR de Ziguinchor et de Kaolack.
Il avait fallu une vive opposition des travailleurs qui exigeaient dans ce cas, que les autres activités de SUNEOR de Dakar, Diourbel et Louga soient concernées par la transaction.
Ibrahima Sène
PIT/SENEGAL
La rédaction de leral.net
Aujourd'hui, avec le PSE, nous commençons à sortir du trou.
Ne nous laissons donc pas faire !
Les Syndicats des travailleurs de l’Entreprise et les Centrales syndicales auxquels ils sont affiliés, le Conseil national de concertation des Ruraux, (CNCR) et tous ceux qui se réclament de la souveraineté nationale sur nos entreprises stratégiques, qu’ils soient de gauche, libéral ou juste de la société civile, au pouvoir ou dans l’opposition, sont interpellés pour s’y opposer et exiger que l’Etat, les Syndicats concernés et le CNCR se concertent , pour conserver ce fleuron de notre industrie agroalimentaire, indispensable au développement et à la modernisation de la filière arachidière.
Il faut barrer la route à ce nouveau diktat du FMI par un vaste rassemblement des forces vives de la Nation pour que la SONACOS.SA reste une entreprise nationale, relevant de la propriété de l’Etat, des Travailleurs de l’entreprise et du CNCR.
Pour initier ce vaste rassemblement, les Syndicats de l'Entreprise et leurs Centrales syndicales, et le CNCR sont interpellés au premier chef.
Personne à leur place ne peut sauver leur outil de travail, et leur restituer la place qui leur revient dans l'émergence économique et le développement social de notre pays.
Ce danger qui plane sur leur outil de travail et sur l'économie nationale, est un défi qu'ils devront impérativement, relever avec l'appui des forces vives de la Nation, acquises à la restauration de la souveraineté nationale de notre peuple sur ses entreprises stratégiques.
La SONACOS. SA a suffisamment de patrimoine foncier qui peut servir à la sortir des difficultés héritées de sa première privatisation dictée par le même FMI, sans être de nouveau aliénée au profit du capital étranger, qui n'a donné nulle part la preuve de son efficacité et de efficience dans les entreprises privatisées en leur faveur.
Le FMI ne fait que récidiver après l'échec retentissant la première privatisation qu'il avait imposée.
Pour se convaincre de cette nécessité, je vous donne en partage cet article tiré du site Nettali.SN.
Le voici.
Nettali.sn – Le processus de reprivatisation de la Société nationale de commercialisation des oléagineux (SONACOS) vient d’être lancé à travers un appel d’offres international par le Conseil d’administration de cette société qui s’est réunie hier mercredi 20 septembre, et non ce jeudi 21 septembre comme annoncé par la presse.
C’est compte tenu des difficultés financières que rencontre SONACOS avec l’Etat du Sénégal qui parvient difficilement à renflouer les caisses de celle-ci, que le Fonds monétaire international (FMI) exige qu’elle soit privatisée.
SONACOS devenue SUNEOR avant que l’Etat ne la reprenne, avait connu une première privatisation et était tombée entre les mains du Franco-Libano-Sénégalais Abbas Jaber.
Une privatisation qui avait connu un échec, tant Abbas Jaber ne parvenait pas à respecter tous ses engagements.
SUNEOR au bord de la banqueroute, c’est en catastrophe que l’Etat du Sénégal l’a reprise des mains d’Abbas Jaber sous la forte pression des travailleurs de la boîte.
De sources dignes de foi recoupées par Nettali.sn, il ressort que deux géants de l’industrie agro-alimentaire se sont d’ores et déjà manifestés pour la reprise de SONACOS, avant même que soit lancé l’appel d’offres international.
Il s’agit du groupe singapourien Wilmar présent un peu partout dans le monde, notamment en Afrique et du Français Avril, ancien LESIEUR et qui avait déjà repris au Sénégal, l’ex-société NOVASEN de Kaolack.
Le groupe Avril s’était déjà signalé en 2015, lorsque, Abbas Jaber avait voulu lui céder les activités à l’époque de SUNEOR de Ziguinchor et de Kaolack.
Il avait fallu une vive opposition des travailleurs qui exigeaient dans ce cas, que les autres activités de SUNEOR de Dakar, Diourbel et Louga soient concernées par la transaction.
Ibrahima Sène
PIT/SENEGAL
La rédaction de leral.net