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ACCROCHES A LEURS FAUTEUILS : Sock, Alioune Tine et Alioune Sarr, les barrons de leurs mandats.

Mademba Sock (Syndicaliste) Alioune Tine (Militant des droits humains) et le docteur Alioune Sarr (Président du CNG de lutte) sont des personnalités Sénégalaises qui ont ceci en commun, ils sont accrochés à leurs fauteuils et ne veulent en aucun cas quitter les responsabilités qu’ils occupent depuis très longtemps. L’alternance est un mot étranger à leur vocabulaire, ils se comportent comme des rois. Siweul vous les présente.


Rédigé par leral.net le Lundi 29 Avril 2013 à 23:05 | | 3 commentaire(s)|

ACCROCHES A LEURS FAUTEUILS : Sock, Alioune Tine et Alioune Sarr, les barrons de leurs mandats.
Mademba Sock.

Ce syndicaliste a été rendu célèbre par la grève mémorable du SUTELEC qui avait privé, Dakar d’électricité pendant trois jours. Il fut emprisonné pour cet affront au régime d’Abdou Diouf. Mademba Sock va ensuite descendre dans l’arène politique pour se présenter à l’élection présidentielle de 2000 avec Maitre El Hadji Diouf, comme Directeur de Campagne. Le S.G de l’UNSAS qui est la deuxième centrale syndicale du pays est actuellement PCA de l’ASER et membre du Conseil Economique, Social et Environnemental. A la retraite à la SENELEC, il refuse de quitter la tête du syndicat(SUTELEC), il ne convoque plus les instances régulière de l’UNSAS, c’est comme si cette centrale est sa chose, un patrimoine familial alors qu’il n’en est rien.

Alioune TINE

C’est un grand militant des droits humains, il a été de tous les combats pour le respect de la dignité humaine. Les tenants du pouvoir sont très souvent en conflit avec lui, parce qu’il est toujours du coté des opprimés. La tâche noire qui affecte son exceptionnel parcours, c’est qu’il ne veut pas quitter la tête de la RADDHO, même s’il doit tripatouiller les textes. Tout ce qu’il a reproché à Abdoulaye Wade pour s’opposer à son troisième mandat, il l’a fait à la RADDHO.

Docteur Alioune SARR.

Quand il est arrivé à la tête du Comité de Gestion de la Lutte au Sénégal, c’est l’anarchie qui régnait en maitre dans ce secteur. Le Docteur a donc soigné la lutte, mais n’a pas voulu laisser le malade rentrer chez lui. Alioune Sarr dirige la lutte depuis plus de 20 ans. Si c’était par élection qu’il s’était hissé à la tête de cette structure, on aurait compris, mais c’est par cooptation par les soins du Ministre des Sports.

Doudou COULIBALY http://siweul.com/

( Les News )


1.Posté par justice pour tous le 30/04/2013 01:30 | Alerter
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État de droit, gouvernance vertueuse, transparence, etc. à l’épreuve des faits.
« Une civilisation qui ruse avec ses principes est une civilisation moribonde. »

Un recteur qui ignorait royalement l'autonomie des structures et les lois du Sénégal, avec une gestion hors norme tant décriée par les syndicats et des citoyens de tous bords se retrouve nommé Ministre de l'Enseignement Supérieur de la Recherche, sans autre forme de procès. Les faits avérés qui lui sont reprochés sont d'une telle gravité qu'il ne doit certainement son "salut" (c'est temporaire, car un jour chacun rendra des comptes, ces anciens amis du PDS ne diront pas le contraire) que grâce la transhumance du PDS à l'ARP à la 25ème heure. Les "amis" avant la patrie.

« Problème de management (mal gouvernance, corruption, népotisme, dépenses de prestige, non respect des lois et des règlements, etc.) avec la complicité active ou passive de la communauté universitaire (avantages indus, intimidations, etc.), des autorités étatiques qui, jusqu’à présent, feignent de ne rien savoir (n’ont-ils pas les moyens de savoir ce qui se passe ?) pour éviter la confrontation avec ceux (les amis politiques !) qui sont nommés à la tête de ses structures et qui agissent parfois comme des monarques en gérant la chose publique à leur guise. 
En effet quand les dirigeants (nommés par les autorités) gèrent la chose publique en dehors des normes établies sans être inquiétés le moindre du monde (pour ne pas dire promus à des stations plus juteuses), les syndicats demanderont des chosent hors normes et c’est le début du CHAOS.

Il est temps de restaurer l’État de droit (et donc des devoirs) ; il est indispensable, avant toute promotion, d’étudier sérieusement la gestion présente et passée du pressenti. »

Sauvons nos universités publiques du naufrage.(leral.net 9 oct. 2012 de Citoyen)

2.Posté par BATHIE le 30/04/2013 09:46 | Alerter
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SOCK lui il n'est pas sérieux cumul de poste et tout.

3.Posté par phil le 30/04/2013 12:03 | Alerter
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Il est temps que nos députés s'ils sont vraiment des députés du peuple comme ils s'en défendent, votent une loi contre le cumul de fonctions et surtout contre ces vieillards qui occupent des postes au détriment de la jeunesse.
Le cas de Iba Der Thiam est pathétique. Voilà un monsieur qui ne pense qu'à sa poche mais pas à la politique de l'emploi des jeunes. Et c'est un des gens qui ont tout eu mais qui ne pensent pas du tout à céder la place à la jeune compétence.
Quand il a été appelé pour prendre la place de Souleymane Ndéné Ndiaye, si vraiment il était responsable et pensait aux jeunes compétences, il allait laisser sa place. Seulement dans la pratique, tout le monde constate que c'est des gens qui ne vivent que l'hypocrisie.
Par conséquent, il est temps que la jeunesse en général et les jeunes compétences en particulier boutent tout ce qui est vieux dehors comme on l'a fait avec l'ancien pouvoir en menant le combat par la mobilisation des masses populaires à chaque événement majeur.

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