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Abdoulaye Wade : "Si je n’ai pas franchi la barre des 50% parce que..."

Abdoulaye Wade traine encore dans sa conquête d'une réélection parce la majorité des Sénégalais n'ont pas voulu aller voter. Il s'exprimait hier en Casamance lors d'une visite suivie par l'Aps.


Rédigé par leral.net le Mardi 13 Mars 2012 à 13:18 | | 4 commentaire(s)|

Abdoulaye Wade : "Si je n’ai pas franchi la barre des 50% parce que..."
Le candidat des Fal2012 donne la pour laquelle il n'a pas gagné au premier tour . "Si je n’ai pas atteint les 50% au premier tour, c’est parce que les populations, non seulement en Casamance, mais aussi dans l’ensemble du Sénégal, étaient effrayés par la perspective que le pays connaitrait la violence’’, a-t-il expliqué.

Pour lui, l'abstention ne lui a pas été favorable. "Si je n’ai pas réussi à franchir la barre des 50%, c’est à cause de la grande abstention, parce que des gens avaient développé la psychologie de la peur en disant qu’ils allaient voir la violence’’, a répété le président sortant.

Le président sortant accuse ’’des pays étrangers’’ d’avoir entretenu cette situation. ’’Cela a été dit et développé par des pays étrangers. Cela m’a pénalisé, parce qu’il y a eu à peu près 50% de Sénégalais qui n’ont pas voté’’, a-t-il indiqué.

’’L’abstention m’a pénalisé, parce que j’ai eu plus de 34%, la première moitié. Cela veut dire que si l’autre moitié avait voté, j’aurai largement dépassé les 60%’’, a-t-il estimé.

Notant qu’’’il n’y a pas eu de violence’’, il a promis qu’’’il n’y en aura pas’’ au second tour. ’’C’est pourquoi je demande à ceux qui n’avaient pas voté de sortir et d’aller voter’’, a-t-il lancé.

’’J’ai besoin de toutes les voix, le maximum de voix pour me donner la force politique de continuer et terminer les grands projets, mais aussi d’en aborder un certains nombre d’autres’’, a-t-il poursuivi. ‘ ’’Des pays comme la France et les Etats-Unis avaient déclaré, bien avant le premier tour du scrutin, que le Sénégal serait à feu et à sang’’, a-t-il déploré avant d’ajouter : ’’c’est à cause d’eux que beaucoup de Sénégalais ne sont pas allés voter’’.

APS



1.Posté par People le 13/03/2012 15:45 | Alerter
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’’L’abstention m’a pénalisé, parce que j’ai eu plus de 34%, la première moitié. Cela veut dire que si l’autre moitié avait voté, j’aurai largement dépassé les 60%’’ .... quelle belle idiotie ou malhonnêteté.

ce vieux n'arrêtera jamais d'être un menteur, prouvons le mathématiquement :

posons l'hypothèse que tout le monde ait voté (ce qui ne s'est jamais ralisé en Sénégal) :
les 34 % sur la première moitié (pour prendre ces mots vont valoir 19 %
sur l'autre moitié si la tendance des choix est le même il aura 34 % sur les 50% qui fait encore 19% sur l'ensemble.

donc au total le nombre d'électeurs n'est pas déterminant , c'est plutôt le choix des électeurs qui compte.

En conclusion que l'on ait 54% de participation ou 100% de participation Wade aurait au maximum 34%.
car ce qu'il a omis volontairement, c'est qu'il y a une bonne partie d'électeurs favorable à l'opposition qui ont boycotté ces élections croyants aux fraudes et à l'iilégalité de sa candidature.

2.Posté par kali le 13/03/2012 17:57 | Alerter
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ay wade toi tu ne fait que mentir mame boy demal noppalou

3.Posté par Avis d'expert le 13/03/2012 19:12 | Alerter
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FILS D'UNE MBIDANE (MENAGERE) ET D'UN MENUISIER METTALLIQUE: LE CLEPTOMANE YOUSSOU NDOUR UTILISE LA POPLULATION ANALPHABETE ET TROMPE LES OCCIDENTAUX

Au-delà, j’ai toujours pensé que Youssou N’dour symbolisait l’idée que je me fais de mon pays. Il doit être possible pour chaque homme de vivre librement de son talent et de son travail. Je pense que les centaines de milliers de sénégalais qui l’ont soutenu dans ce combat l’ont fait non pas pour ce qu’il est, mais pour ce qu’il a représenté pour nous. Le self-made-man de la Médina n’était qu’un maître chanteur et un vulgaire escroc.

POUR L'ORGANISATION DU GRAND BAL DE BERCY YOUSSOU NDOUR ESCROQUE LES SENEGALAIS

Les prétendues lettres qu’il brandit pour menacer à nouveau les autorités ne font que confirmer tristement tout ce qui précède. Il accuse son entourage, mais c’est ce qui arrive quand on s’entoure d’escrocs et de repris de justice. C’est un mensonge que de prétendre, comme il le fait, qu’il perd des centaines de millions dans l’organisation du bal de Bercy. Youssou N’dour n’en est pas l’organisateur. L’évènement est organisé par Alias production, une structure française, qui loue la salle et paie un cachet au chanteur. Youssou N’dour reçoit en retour un paquet de billets. On voit bien toute la spéculation qu’il y a sur ces billets, pour pousser les clients à les acheter au prix fort, alors que la salle n’est jamais remplie.

C’est lui-même qui a fait le tour des médias occidentaux pour exprimer son refus et son opposition à la façon dont les affaires de l’Etat sont conduites.Bercy est un concert privé organisé en collaboration avec la municipalité de Paris, et pour lequel le musicien aurait demandé un soutien financier au président Wade. « Tous les projets de You ont été des échecs notoires: Joko, Dakar Loisirs Club, Jololi parti en liquidation judiciaire. L’Etat du Sénégal n’a jamais aidé un individu autant qu’il a aidé Youssou Ndour. » C’est You lui-même qui a sollicité Abdoulaye Wade pour subventionner Bercy, une manifestation à but lucratif, qui a été financée avec l’argent du contribuable. Les Sénégalais ont toujours soutenu Youssou Ndour. Il n’a pas le droit de leur faire ce coup. C’est tout simplement inadmissible.

Il continue encore de parler d’un mouvement qui n’existe même pas. Il est sans structuration, sans direction, sans récépissé, sans adresse, sans numéro de téléphone. Depuis qu’il en a fait l’annonce à Paris, il peine à dire qui en est membre. J’ai eu mal pour Cheikh Tidiane Gadio. C’est dans son salon qu’est née l’idée de «Fekke maci boolé ». Youssou N’dour rendait visite à l’ancien ministre des Affaires étrangères quand il a appris, en direct, son limogeage. C’est là que le chanteur a déclaré, pour la première fois, « lii dé mooy fékké maci boolé », avant de proposer à Gadio son soutien.

YOUSSOU NDOUR S'EST ENRICHI SUR LE DOS DES POPULATIONS DE LA MEDINA

En réalité, une grande partie de cette fortune qu’il prétend posséder provient de financements souscrits au nom des nécessiteux. Avec l’ambitieux projet Jokko, il avait promis à chaque habitant de la Médina un ordinateur. Cela fait dix ans qu’ils attendent. Il est devenu, selon les mots d’un inspecteur du trésor, un spécialiste des faillites douteuses. Il y a eu la Saprom, ensuite Xippi Inc et le label Jololi, financé par le FPE, aujourd’hui Prince Arts, tenu par son frère.

Tous ont été déclarés en faillite, abandonnant actif et le passif, alors qu’il y avait à la base des financements de plusieurs centaines de millions de francs. L’idée était de promouvoir la production locale. Mais tous les musiciens qui s’y sont aventurés l’ont amèrement regretté. Même sa musique s’est coupée de ses bases populaires pour devenir de la grosse arnaque. Il sert tantôt de la musique orientale, tantôt du reggae. Les populations qui se ruent sur les bacs pour acheter les titres de leur idole n’ont droit maintenant qu’à du réchauffé. Le « kid » de la Médina n’a plus le temps de s’inspirer.

Entendons-nous bien, ce n’est pas le musicien talentueux qui est ici en procès, encore moins le patron de presse. C’est l’homme d’affaires sans scrupule et le politicien véreux qu’il est devenu. J’ai été, comme tout le monde, choqué par son abdication et son reniement. J’ai aussi regretté sa vie dilettante, faite de sorties nocturnes et de bagarres avec des reporters photographes. Seuls les intimes savaient que le chanteur de la Médina aimait la fumette et la bibine, jusqu’à ce qu’il avoue lui-même, sans aucune raison apparente, qu’il buvait du champagne « pour fêter ». Je me suis demandé s’il avait conscience de l’impact que ce petit aveu pouvait avoir sur les millions de jeunes qui s’identifient à lui. Quel que soit ce que ses défenseurs aveuglés peuvent prétendre, quelque chose ne va pas chez cet homme.

Youssou ndour ce sont tous les artistes qui se plaignent de ses comportements qui signent chez lui et retrouvent leurs albums sur le marché le lendemain.

Je vais finir sur un dernier point, avec la promesse d’y revenir plus tard. Nous ne pouvons pas faire l’impasse sur les 1,3 millions de dollars dégagés par Benetton pour venir au secours des pauvres. Youssou N’dour a fait le tour du monde pour parler de dignité des africains. C’était un projet test, qui devait s’étendre à d’autres pays africains. A ce jour, les responsables de Benetton, qui avaient cru le chanteur sénégalais sur parole, courent après lui pour savoir quel usage a été fait de leur argent. La plupart des candidats qui avaient déposé un dossier et des frais de 10 000 francs ont perdu leur argent. Le premier directeur a démissionné et le site Internet ne marche plus. S’il utilisait cet argent à d’autres fins, ce serait une escroquerie morale insupportable.

Quand les responsables de Benetton ont accepté de financer le projet gratuitement, Youssou N’dour leur a dit qu’il l’appellerait Birima, du nom d’un Damel du Cayor. Ils lui ont demandé pourquoi. Il leur a expliqué que Birima était un homme qui tenait toujours parole !

4.Posté par Avis d''expert le 13/03/2012 19:13 | Alerter
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LE CLEPTOMANE YOUSSOU NDOUR DOIT ETRE INCARCERE POUR DETOURNEMENT DE BIENS SOCIAUX ET ESCROQUERIES: You est devenu un bandit mythomane

YOUSSOU NDOUR: MYSTERE AUTOUR DE 1,3 MILLION DE DOLLARS

Lancé en fanfare avec l’appui promotionnel et financier du groupe Benetton, le fonds de microfinance Birima, confié à Youssou Ndour, est loin du compte. Le donateur italien aurait doté le fonds d’un million de dollars, dont le chanteur n’a jamais accusé réception. Le fonds aurait également emprunté plus de 200 000 euros auprès de « micro-investisseurs » qui perdent patience…

Où est passé le million de Benetton ? C’est l’une des questions qui planent sur le fonds Birima, cette société de crédit coopératif née d’un projet du groupe italien, initiée en juin 2007 et visant à développer un fonds africain de microfinance, géré et promu par Youssou Ndour.

Séduit par le discours généreux de l’icône sénégalaise, le groupe Benetton n’avait pris aucune garantie particulière et n’avait revendiqué aucun rôle dans la gestion de ce fonds.

Séduit par le discours généreux de l’icône sénégalaise, le groupe Benetton n’avait pris aucune garantie particulière et n’avait revendiqué aucun rôle dans la gestion de ce fonds.

C’est ainsi que, dans une déclaration à l’AFP datée du 13 février 2008, la star internationale affirmait que le fonds ne disposait, au départ, que d’un capital de 200 millions FCFA (305 000 euros) et laissait entendre qu’il en était lui-même le donateur : « Je ne veux pas de dons, je n’(en) demande pas. (...) C’est une question de dignité pour les Africains », ajoutait-il. Des déclarations reçues avec étonnement chez Benetton qui, depuis sa donation, n’a plus jamais reçu de nouvelles du « griot planétaire ».
Interrogé le 30 mars 2008 par le journaliste El Hadji Gorgui Wade Ndoye, Youssou Ndour allait encore plus loin et déclarait : « J’avais un peu d’argent et je l’ai mis dans ce projet. »

Quant au rôle de la multinationale italienne, il se serait, selon lui, limité à une campagne de publicité : « Je remercie Benetton, qui m’a fait bénéficier de sa campagne mondiale. (…) Avec cette multinationale, nous bénéficions de son savoir-faire et elle aussi retire un profit. Tout le monde y gagne. »

Espoirs déçus

Dès son lancement, l’objectif de Birima était ambitieux : « A partir du Sénégal, pays choisi comme projet pilote car il compte parmi les pays les plus stables du continent, l’expérience de microcrédit élaborée par Birima s’étendra ensuite progressivement à d’autres nations africaines », lisait-on dans le dossier de presse de lancement.

Sur le blog de ces « micro-investisseurs » commencent à poindre de sérieuses manifestations d’inquiétude de la part d’épargnants qui se plaignent d’un défaut de remboursement de Birima de 91,68% !

Selon Moustapha Ndiaye, coordinateur initial de la structure coopérative, dès le départ « Birima a suscité un grand intérêt, enregistrant plus de 200 adhésions dès la première semaine. L’adhésion s’obtenait alors en fournissant une pièce d’identité, trois photos et 10 000 FCFA de frais (15,2 euros). L’objectif était d’atteindre 5000 membres en une année. » En ce qui concerne les crédits, Birima s’était fixé initialement un objectif de 500 accords de crédit sur cinq ans, pour une moyenne de 500 000 FCFA par opération.

Aujourd’hui, pour la plupart des professionnels sénégalais de la microfinance, Birima n’a pas rempli sa mission et n’a pas obtenu les résultats attendus. Pour K.C., gérant reconnu d’une structure islamique de microfinance soutenue par la Banque islamique de développement, « Birima ne connaît pas la même popularité que son auteur. Malgré les promesses, il n’y a qu’une seule agence ouverte où les éventuels clients doivent venir effectuer des versements. Le projet n’est pas populaire. J’ai moi-même essayé d’avoir des informations et on m’a rétorqué que Birima travaillera bientôt avec un réseau solidaire européen. » Pour la plupart des professionnels interrogés, Birima a disposé d’un budget initial de 200 millions de FCFA et n’est pas encore opérationnel.

Appel aux bailleurs de fonds
Un avis que ne partage pas Youssou Ndour, vedette d’un récent forum organisé à Lille intitulé « L’argent responsable : un monde plus éthique est-il possible ? » : « Ce n’est pas une banque en soi, c’est plus une mutuelle avec une démarche totalement différente. Nous avons aujourd’hui près d’un millier de clients », annonçait-il. Toutefois, l’artiste international reconnaît à mi-mot qu’il est nécessaire de « rebooster ce label Birima qui existe déjà et marche bien ». Pour cela, il en appelle aux « bailleurs de fonds qui ont l’habitude de prêter aux banques traditionnelles et qui peuvent aussi, en même temps, prendre en compte le microcrédit ». « Si nous ne trouvons pas des institutions financières, ça va être difficile, au Sénégal comme ailleurs en Afrique », reconnaît celui que Martine Aubry vient de faire citoyen d’honneur de la ville de Lille.

Un directeur désenchanté

Pour Ibrahima Thioune, ancien directeur général de Birima, qui a quitté la société il y a une année, il est clair « que l’objectif n’a pas été atteint et que le résultat est mitigé ». Pourtant, selon lui, l’absence de garantie demandée aux emprunteurs rend Birima très attractif, à juste titre puisque, statistiquement, 98% des microcrédits contractés au Sénégal sont remboursés.

M. Thioune précise qu’il ne souhaite pas communiquer les raisons de son départ de Birima, mais il semble évident qu’il déplore, a minima, le déficit d’activité de l’agence, ainsi que le retard dans l’exécution du business plan.

Il souligne également que Birima lève depuis un certain temps « de l’argent dans de nombreux pays, grâce à des réseaux solidaires comme MYC4.com », une plateforme en ligne qui invite les internautes du monde entier à « investir » par tranches de quelques euros dans des projets d’entreprises africaines de leur choix.



Défaut de remboursement

Nous nous sommes intéressés de plus près à cette plateforme, qui révèle, en effet, que Birama aurait déjà emprunté à ce jour 211 041 euros(1) à des particuliers, séduits par la notoriété et le discours de la vedette. Mais sur le blog de ces « micro-investisseurs »(2) commencent à poindre de sérieuses manifestations d’inquiétude. Les épargnants se plaignent d’un défaut de remboursement de Birima, qui atteint à ce jour 91,68% ! A ces plaintes, le directeur du fonds Birima répond que le Sénégal connaît une grave crise économique, que les petits emprunteurs ne peuvent plus rembourser et que des procédures judiciaires sont en cours pour forcer ces petites gens à honorer leurs créances(3). Nous sommes bien loin des déclarations de l’artiste : « C’est une manière pour moi de lutter contre la pauvreté (…). J’ai pensé qu’il fallait partir sur des bases qui respectent nos traditions, la parole donnée. »



Un bilan officiel hésitant

Malgré tout, pour Abdoulaye Dieng, administrateur de Birima, l’affaire se porte très bien avec un flux de 1500 à 2000 comptes ouverts, dont plus de la moitié auraient déjà bénéficié de crédits. « La clientèle est essentiellement constituée de très petits commerçants, comme les vendeuses de poisson, les marchands ambulants, les salons de coiffure et de couture, qui présentent un très bon taux de recouvrement. » Selon M. Dieng, « pour obtenir un crédit chez Birima, il faut ouvrir un compte avec un dépôt minimum de 15 000 FCFA (23 euros) et être client régulier, depuis au moins trois mois ». Les crédits inférieurs à 500 000 FCFA sont attribués par un agent de crédit. Au-delà, ils sont accordés par le comité de crédit. La période de remboursement varie entre 24 et 36 mois et le montant maximum octroyé est de 10 millions FCFA (15 000 euros). Pour l’administrateur de la société, le volume des encours de crédits octroyés, depuis le démarrage des activités, se situerait « entre 300 et 500 millions FCFA », mais il reconnaît ne pas être tout à fait certain de ces chiffres…

Quand les responsables de Benetton ont accepté de financer le projet gratuitement, Youssou N’dour leur a dit qu’il l’appellerait Birima, du nom d’un Damel du Cayor. Ils lui ont demandé pourquoi. Il leur a expliqué que Birima était un homme qui tenait toujours parole !

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