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Accusé de déstabiliser le Mfdc : Boucar Diouf, "ex-Monsieur Casamance" dans le viseur des rebelles

Dans un article publié le 2 octobre dernier, par le site d’informations lejournaldupays.com, « journal casamançais indépendant et libre », et intitulé : « Casamance : l’Anrac, un nid d’espions du Sénégal pour le démantèlement du Mfdc », il est, en partie, écrit que : « Boucar Diouf (employé de l’Anrac) se targue d’avoir réduit les effectifs du Mfdc de Diakaye et de Kassolol et d’avoir extrait Niantang du maquis ».


Rédigé par leral.net le Lundi 7 Octobre 2013 à 13:14 | | 4 commentaire(s)|

Accusé de déstabiliser le Mfdc : Boucar Diouf, "ex-Monsieur Casamance" dans le viseur des rebelles
Selon le journal Le Quotidien, l’auteur de l’article qui cite ses sources, indique que « Boucar Diouf a réclamé 340 millions de francs Cfa pour, dit-il, « casser du Mfdc! ». L’Anrac, qui a pour mission principale de « favoriser le retour de la paix, de coordonner et d’harmoniser toutes les interventions, de reconstruire et/ou de réhabiliter les infrastructures sociales de base abîmées du fait du conflit en Casamance », aurait également une autre mission « d’espionnage et de démobilisation des maquisards du Mfdc », ajoute le texte.

Au lendemain de cet article, c’est un communiqué de presse du Mfdc, co-signé par Daniel Diatta, Abdou Elinkine Diatta et Louis Tendeng, qui vient mettre de l’eau dans le moulin du site casamançais. Dans ledit document, il est fait état du rôle de « taupe » que jouerait Boucar Diouf pour « disloquer l’Anrac et torpiller le processus de paix en Casamance ». « Nous rappelons à son Excellence M. le président de la République, Macky Sall, que l’institut Anrac a été créé à la suite d’accords négociés entre l’Etat du Sénégal et le Mfdc. Nous détenons bel et bien les clauses. Le Mouvement des forces démocratiques de Casamance (Mfdc) ne veut plus de Monsieur Boucar Diouf dans l’institut Anrac, mais encore plus jamais Boucar Diouf dans le processus de paix en Casamance », lit-on encore dans le document.

Joint par téléphone, Boucar Diouf dit préférer ne pas se prononcer sur les accusations portées contre lui. Etant un fonctionnaire de l’Etat, il estime être gêné par son obligation de réserve qui fait qu’il ne peut pas s’épancher dans les médias.

Avec Le Quotidien



1.Posté par eim le 07/10/2013 23:57 | Alerter
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ils se fatiguent.ces rebelles n'obtiendront l'indépendance de cette partie sud du senegal.

2.Posté par feuz le 08/10/2013 09:06 (depuis mobile) | Alerter
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pour moi le president doit prendre cé propre resposabilité car lé casanmancais sont dans la peur misére tromatisé par le rebel ceu ki nai pa normal

3.Posté par diinnoo le 08/10/2013 10:15 | Alerter
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dou deugue dou yone la casamance reste une partie du sénégal kil s'entretue c leur bléme

4.Posté par pierre le 08/10/2013 11:43 | Alerter
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C'est qui ce Boucar Diouf , Il y en beaucoup au senegal et cela preter a interpretation .

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