« Nous sommes favorables à tout dispositif qui assure la stabilité et une bonne intégration régionale. Ce sont deux conditions importantes pour toute monnaie », a-t-il dit dans l’émission "Objection" de Sud Fm, ce dimanche.
« Dans cette zone, il existe déjà le franc et ce n'est pas un hasard si précisément cette zone de l'Afrique se porte bien. Parce que le franc Cfa apporte de la stabilité », a-t-il ajouté.
Toutefois, soutient-il, « c'est un sujet qui relève des autorités africaines. La France n'a aucun pouvoir de contrôle sur ces zones."
Se prononçant sur les réserves de change du franc CFA versées au Trésor français, il souligne : « il ne s'agit pas de céder les réserves. Il faut signaler que c'est des réserves rémunérées. La France paie pour ces réserves et c'est à des taux supérieurs au taux du marché et ce sont la contrepartie de la convertibilité ».
« Dans cette zone, il existe déjà le franc et ce n'est pas un hasard si précisément cette zone de l'Afrique se porte bien. Parce que le franc Cfa apporte de la stabilité », a-t-il ajouté.
Toutefois, soutient-il, « c'est un sujet qui relève des autorités africaines. La France n'a aucun pouvoir de contrôle sur ces zones."
Se prononçant sur les réserves de change du franc CFA versées au Trésor français, il souligne : « il ne s'agit pas de céder les réserves. Il faut signaler que c'est des réserves rémunérées. La France paie pour ces réserves et c'est à des taux supérieurs au taux du marché et ce sont la contrepartie de la convertibilité ».