Récemment, le commissaire Cheikhouna Keita a été arrêté sous l’accusation de diffusion de fausses nouvelles. Cet incident est révélateur d’une tendance inquiétante à réprimer les voix dissidentes et à restreindre la liberté de la presse. L’arrestation de M. Keïta, un acteur clé dans le domaine de la sécurité civile, de la préservation des droits humains et de la justice au Sénégal, semble s’inscrire dans une campagne plus large visant à étouffer toute forme de critique contre le régime en place.
Les autorités sénégalaises semblent utiliser les accusations de diffusion de fausses nouvelles comme un prétexte pour museler les journalistes, les activistes et les citoyens qui expriment des opinions contraires au gouvernement. En 6 mois d’exercice, ce régime a déjà menacé, intimidé ou fait arrêter des syndicalistes, des religieux, des activistes, des journalistes et aujourd’hui, des hommes de tenue, car ils ont porté une voix discordante. Cette situation menace gravement la liberté d’expression et la démocratie dans le pays.
Nous vous exhortons à examiner de près ces développements et à faire pression sur le gouvernement sénégalais, pour qu’il respecte les normes internationales en matière de droits humains. Le Sénégal, qui a longtemps été perçu comme un bastion de stabilité en Afrique de l’Ouest, semble aujourd’hui compromettre ses valeurs fondamentales de liberté et de justice.
Nous vous remercions par avance pour l’attention que vous porterez à cette question cruciale. Votre intervention pourrait jouer un rôle clé dans la protection des droits humains et dans la préservation des libertés fondamentales au Sénégal.
Nous restons à votre disposition pour toute information complémentaire et vous prions d’agréer, Mesdames, Messieurs, l’expression de nos salutations distinguées.
*Force/;Dolel Askan Wi*
Amadou Moustapha Gaye – Secrétaire politique
Les autorités sénégalaises semblent utiliser les accusations de diffusion de fausses nouvelles comme un prétexte pour museler les journalistes, les activistes et les citoyens qui expriment des opinions contraires au gouvernement. En 6 mois d’exercice, ce régime a déjà menacé, intimidé ou fait arrêter des syndicalistes, des religieux, des activistes, des journalistes et aujourd’hui, des hommes de tenue, car ils ont porté une voix discordante. Cette situation menace gravement la liberté d’expression et la démocratie dans le pays.
Nous vous exhortons à examiner de près ces développements et à faire pression sur le gouvernement sénégalais, pour qu’il respecte les normes internationales en matière de droits humains. Le Sénégal, qui a longtemps été perçu comme un bastion de stabilité en Afrique de l’Ouest, semble aujourd’hui compromettre ses valeurs fondamentales de liberté et de justice.
Nous vous remercions par avance pour l’attention que vous porterez à cette question cruciale. Votre intervention pourrait jouer un rôle clé dans la protection des droits humains et dans la préservation des libertés fondamentales au Sénégal.
Nous restons à votre disposition pour toute information complémentaire et vous prions d’agréer, Mesdames, Messieurs, l’expression de nos salutations distinguées.
*Force/;Dolel Askan Wi*
Amadou Moustapha Gaye – Secrétaire politique