En face, le ministre récuse le FNR par le fait que l’entité n’a pas d’existence juridique. « D’abord, justifie-t-il, interrogé par Iradio. Nous avons reçu un courrier du FNR qui envoie des experts de partis, pour disent-ils, contrôler la tenue du fichier général des élections.
C’est un courrier que nous avons reçu et auquel j’ai répondu le 14 novembre dernier, pour leur dire que j’aurai bien aimé les recevoir mais malheureusement, l’entité au nom de laquelle le front m’a saisi, n’a pas d’existence juridique. »
C’est pourquoi, tranche-t-il, « j’ai demandé aux partis politiques parce que ce sont ces partis politiques qui sont clairement cités dans le Code électoral ou les coalitions dans le cadre d’une élection, s’ils veulent aujourd’hui être reçus pour ce sujet, de désigner des représentants. Une fois qu’ils désigneront leurs représentants, nous pourrons organiser les visites qu’ils veulent pour accéder au fichier électoral ».
Même si, souligne-t-il, ce fichier est « fiable à pratiquement 98% », évoquant les résultats de l’audit externe, financé par l’Union européenne (UE), suite aux concertations, ouvertes en novembre 2017.
C’est un courrier que nous avons reçu et auquel j’ai répondu le 14 novembre dernier, pour leur dire que j’aurai bien aimé les recevoir mais malheureusement, l’entité au nom de laquelle le front m’a saisi, n’a pas d’existence juridique. »
C’est pourquoi, tranche-t-il, « j’ai demandé aux partis politiques parce que ce sont ces partis politiques qui sont clairement cités dans le Code électoral ou les coalitions dans le cadre d’une élection, s’ils veulent aujourd’hui être reçus pour ce sujet, de désigner des représentants. Une fois qu’ils désigneront leurs représentants, nous pourrons organiser les visites qu’ils veulent pour accéder au fichier électoral ».
Même si, souligne-t-il, ce fichier est « fiable à pratiquement 98% », évoquant les résultats de l’audit externe, financé par l’Union européenne (UE), suite aux concertations, ouvertes en novembre 2017.