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An I du régime Macky Sall: Une bouteille à moitié pleine… ou à moitié vide !

Le 03 avril prochain, cela fera une année que le président Macky Sall aura pris les commandes de notre pays. Car, si
le peuple souverain l’a plébiscité à la tête de notre pays le 25 mars 2012, ce n’est que le 03 avril qu’il a prêté serment comme président de la République. Quant à son gouvernement, dirigé par le Premier ministre, M. Abdoul Mbaye, il a été formé le lendemain. Comme on a pu s’en rendre compte, cet anniversaire a donné lieu à beaucoup de bruit, beaucoup de fureur, beaucoup de controverse. Entre contempteurs et nihilistes pour qui rien n’a été fait au cours des 12 mois écoulés, d’une part, et supporters et thuriféraires du nouveau pouvoir qui estiment que son bilan est plus que positif, de l’autre, la vérité se situe sans doute quelque part au milieu. Comme nous l’écrivions dans ces mêmes colonnes la semaine dernière, le bilan de la première année d’exercice du quatrième président de la République est en demi-teinte, chèvre-chou ou mi-figue, mi raisin. Autrement dit, selon le bord de l’échiquier politique où l’on se situe, on verra une bouteille à moitié vide ou une bouteille à moitié pleine. Si on se veut objectif, on conviendra cependant qu’il y a eu beaucoup de réalisations positives à porter à l’actif du président Macky Sall même si, dans le même temps, les facteurs négatifs, les échecs et les insuffisances abondent. Dans tous les cas, il est évident que la voie de la prospérité promise aux électeurs sénégalais à travers le programme « Yoonu yokkuté » n’est pas encore au coin de la rue, pour parodier l’ancien président américain Abraham Lincoln ! Au contraire, les désillusions et les insatisfactions sont grandes à la veille de cet anniversaire du début effectif du mandat du successeur du président Abdoulaye Wade.


Rédigé par leral.net le Vendredi 5 Avril 2013 à 19:00 | | 4 commentaire(s)|

An I du régime Macky Sall: Une bouteille à moitié pleine… ou à moitié vide !
Sans prétendre à l’exhaustivité dans un commentaire forcément limité par la surface rédactionnelle disponible, on peut mettre au chapitre des bons points du nouveau président, le fait d’avoir évité la faillite de l’Etat. En effet, alors que Wade, tel un Cassandre, prédisait la cessation de paiement au bout de trois à quatre mois après son éventuel congédiement par le bon peuple, le président Macky Sall a réussi la performance non seulement de payer les salaires des fonctionnaires, mais encore il l’a fait à temps, sans qu’aucun retard n’ait été enregistré. Or, la stabilité fragile du Sénégal repose avant tout sur le paiement des salaires des fonctionnaires, parmi lesquels des milliers de militaires, de policiers et de gendarmes ! Des gens qu’il serait dangereux de priver de soldes.

Dieu merci, la faillite annoncée n’a pas été au rendez-vous. Mieux, notre pays a honoré toutes ses échéances de dettes et à temps là aussi. Wade ayant laissé les finances publiques dans un état calamiteux, on mesure la performance. Plus remarquable : malgré les problèmes de trésorerie, l’Etat est parvenu à dégager plus de 30 milliards de francs pour venir en appui au monde rural à travers des distributions d’intrants mais aussi en distribution de vivres de soudure. C’est d’ailleurs dans le monde rural que le président de la République a marqué ses points les plus décisifs. En effet, en plus de cet effort financier particulièrement important consenti en faveur des Sénégalais des campagnes, le Président a porté le prix au producteur de l’arachide (195 francs le kilo !) à un niveau jamais atteint depuis que notre pays est indépendant.

Plus impressionnant encore : les paysans se sont même payé le luxe de faire la fine bouche devant ce prix pourtant sans précédent puisqu’ils ont boudé les points de vente des huiliers pour écouler directement leur production auprèsd’opérateurs agissant pour le compte d’acheteurs chinois et, dans une moindre mesure, indiens. Ils ont donc pu vendre leurs graines à 225 voire 250 francs le kilogramme. Résultat : jamais les paysans n’ont eu un tel pouvoir d’achat que durant le dernier hivernage, le premier sous l’ère Macky Sall. Et bien que le budget 2012 ait été largement entamé au moment de son accession aux affaires, le président Macky Sall a pu cahin-caha, et tant bien que mal, faire face aux engagements de l’Etat quitte à recourir massivement à des emprunts sur le marché financier régional. Des emprunts qui ont tous été couronnés de succès, les sommes demandées ayant été sursouscrites à chaque fois.

Une seule fois, mais c’était au tout début, le gouvernement n’avait pas pu boucler le financement souhaité. Plus exactement, il avait refusé de s’endetter aux conditions imposées par les prêteurs. Depuis lors, ces derniers ont revu leurs prétentions à la baisse pour tenir compte des critères fixés par l’Etat soucieux de reprofiler sa dette.

En amorçant le dialogue avec les syndicats d’enseignants et en sauvant l’année scolaire que tout le monde pensait irrémédiablement perdue, le nouveau gouvernement a aussi marqué un bon point. De même, en engageant des concertations sérieuses avec l’Unacois, il avait tenu la promesse majeure de campagne électorale du candidat Macky Sall, à savoir la baisse des prix des denrées de première nécessité. De nouveaux prix, en retrait par rapport aux précédents, ont été annoncés publiquement… mais n’ont malheureusement jamais été appliqués par des commerçants adeptes de la spéculation. Malheureusement, plutôt que de faire intervenir les forces de l’ordre pour jeter en prison quelques spéculateurs, ne serait-ce que pour l’exemple, le gouvernement s’est montré inexplicablement passif.

Au chapitre des autres actes positifs du gouvernement, il y a le redéploiement diplomatique du Sénégal, le président de la République s’étant attelé dès son arrivée à renouer avec nos voisins… avec lesquels Wade s’était fâché ! Plus généralement, on a assisté à un retour de la diplomatie sénégalaise au premier rang du continent. En Afrique où le Sénégal s’est réconcilié avec tout le monde désormais. Sur le plan international, le point d’orgue de ce retour en grâce de notre pays c’est, bien évidemment, l’audience que le président des Etats-Unis, Barack Obama, accorde ce jeudi au président de la République, M.Macky Sall.

Une audience derrière laquelle Wade a couru pendant 12 ans, sous Bush puis Obama ! Notre pays a aussi eu l’honneur d’accueillir la première visite sur le continent du nouveau président français, M. François Hollande. Sans compter les chefs d’Etat qui se succèdent dans notre pays, des Premiers ministres canadien et vietnamien aux présidents de Turquie, du Liban et surtout, surtout, au Roi du Maroc, Sa Majesté Mohamed VI. Sur un autre plan, le gouvernement a réussi globalement à gérer le problème de l’électricité même s’il y a eu de temps à autre des coupures d’électricité qui, soyons honnêtes, n’ont rien à voir avec les délestages cauchemardesques que notre pays a connus avant la mise en œuvre du Plan Takkal sous l’ancien régime.

En effet, même si nos compatriotes sont rouspéteurs en diable, force est de reconnaître, tout de même, que l’alimentation des ménages et des entreprises en électricité s’est beaucoup améliorée. Enfin, beaucoup d’efforts ont été faits dans le sens de réduire le train de vie de l’Etat même si les Sénégalais sont restés sur leur faim s’agissant de la réduction promise de la taille du gouvernement, de la cure d’amaigrissement des représentations diplomatiques et la fermeture annoncée en grande pompe de beaucoup d’agences « budgétivores ». A l’arrivée, là, la montagne a accouché d’une souris. Surtout que, supprimé au nom de la nécessité de venir en soutien aux victimes des inondations, le défunt Sénat a été ressuscité sous une autre appellation !

Quand les audits et… l’austérité plombent l’économie

Paradoxalement, si le nouveau pouvoir a réussi à éviter le crash économique, ses plus mauvaises performances se situent pourtant sur ce front. Un an après l’arrivée au pouvoir du leader de l’Alliance Pour la République (APR), l’économie sénégalaise est en panne. Le candidat Macky Sall avait promis de créer 500.000 emplois durant son magistère, avant de réviser cet objectif à 300.000 mais, pour l’heure, ce sont plutôt les fermetures d’entreprises qui sont à l’ordre du jour ! Avec, tout de même, 5500 emplois créés dans la Fonction publique, ce qui est toujours bon à prendre. Dans le domaine industriel, les fermetures d’entreprises se succèdent, les carnets de commandes sont vides et le matraquage fiscal est impitoyable ! De ce point de vue, la Socas et les parfumeries sont les entreprises les plus emblématiques de ces fermetures à la chaîne tandis que partout ailleurs on assiste à une sérieuse réduction d’activités.

Dans le domaine des Pme, Pmi et Tpe, c’est la Bérézina et les patrons peinent à payer les salaires de leurs employés. Quant à créer de nouveaux emplois, ils n’y songent tout simplement pas ! Tous souhaitent pouvoir dégraisser leurs effectifs mais ne peuvent le faire du fait des contraintes du Code du travail et de la toute-puissance des syndicats. La faute à un ajustement structurel qui ne dit pas son nom, à un Premier ministre et à un ministre des Finances qui, banquiers privés, cherchent à réduire les déficits et à serrer les vis plutôt qu’à relancer la machine économique ! Selon d’éminents économistes avec qui nous avons discuté ces derniers temps, la principale erreur du gouvernement a consisté, via son ministre de l’Economie et des Finances, à prendre l’engagement devant le FMI de ramener le déficit public à 4 % ! Résultat : ce corset enserre le gouvernement et l’empêche de prendre la moindre initiative de nature à faire repartir l’économie.

D’après les mêmes, la seule voie de salut, c’était delaisser filer quelque peu les déficits comme le ministre des Finances de Wade, l’excellent grand argentier Abdoulaye Diop l’a fait tout au long de ces 10 dernières années. Surtout que le taux d’endettement du Sénégal est encore très bas après l’effacement de son ardoise à la suite de l’atteinte de l’Initiative Ppte (pays pauvres très endettés). De ce point de vue, l’ancien Premier ministre M. Idrissa Seck a doublement raison. Premièrement : le Sénégal peut recourir massivement à l’emprunt pour financer son économie sans que cela mette fondamentalement en péril les fondements de son économie. Pourvu que cet argent emprunté soit investi dans des secteurs productifs. Deuxièmement : les banquiers privés ne font pas l’affaire.

Sur ce dernier point, le maire de Thiès ne fait que nous rejoindre puisque, dès notre premier numéro suivant la nomination des sieurs Abdoul Mbaye et Amadou Kane, à la Primature et au ministère de l’Economie et des Finances respectivement (Témoin n° 1079 du 16 avril 2012), nous avions écrit noir sur blanc que le Président avait eu tout faux. Et alors que presque tout le monde applaudissait ces choix et ne tarissait pas d’éloges sur ces banquiers redresseurs d’entreprises, gestionnaires rigoureux, etc., nous n’avions pas craint de ramer à contre-courant, de jeter un cheveu dans la soupe et de perturber la belle harmonie ambiante. A l’époque, d’aucuns nous avaient même reproché de ne même pas avoir laissé au nouveau président le temps de s’installer pour le critiquer. Nous avions répondu que nous préférions prendre date et marquer nos objections dès le début plutôt que d’attendre un an après pour dire : nous le savions ! (Voir d’ailleurs en page 2 l’éditorial que nous avions publié alors).

D’une manière générale, le nouveau président de la République a échoué dans le choix des hommes de son entourage mais aussi dans celui de ceux qu’il a propulsés à la tête de nos sociétés nationales. Sans compter, bien sûr, ses ministres dont le moins que l’on puisse dire est que la plupart d’entre eux ne sont pas des lumières. Sans risque de se tromper, on peut dire que l’incompétence est au pouvoir sous Macky Sall. Plutôt que de mettre les hommes qu’il faut aux places qu’il faut, de recourir aux appels à candidatures pour pourvoir aux postes de direction, le Président puise dans le vivier de l’APR ou des partis alliés de Benno Bokk Yaakar. Un vivier qui ne regorge pas que de compétences, malheureusement !

On peut aussi reprocher au nouveau président son absence de ligne claire, disons de vision, ses décisions ayant l’air d’être prises au coup par coup, au pif, voire sous le coup de l’émotion. Souvent, de bonnes décisions sont prises aussitôt suivies de reniements ou de rétropédalages (comme dans l’affaire de l’interdiction de la mendicité des talibés) et l’opinion ne sait pas exactement vers quels rivages le locataire du palais de l’avenue Léopold Sédar Senghor veut conduire notre pays. Il y a aussi l’extrême politisation du pays, le président étant plus préoccupé par… sa réélection en 2017, qui passe par la massification de son parti et la victoire aux élections locales de 2014, que par l’amélioration des conditions de vie immédiates de ses compatriotes. Du moins, c’est l’impression qu’il donne.

Par dessus tout, la chasse aux sorcières de la traque des biens dits mal acquis plombe l’activité économique. Depuis la réactivation de la Cour de répression de l’Enrichissement illicite, tous ceux qui ont de l’argent ont peur et se gardent bien de le sortir. Les investisseurs potentiels attendent de voir comment tout cela va se terminer. L’argent n’aimant pas le bruit, l’économie sénégalaise est au plus bas et les numéraires ne circulent plus si bien que nos compatriotes ne se sont jamais autant appauvris. La classe moyenne s’est, dans sa majorité, effondrée. Encore une fois, seule la paysannerie a tiré son épingle du jeu du fait d’un bon hivernage et des excellents prix au producteur payés par les acheteurs asiatiques. Du fait aussi de la bonne politique agricole mise en place par le nouveau pouvoir et des importants financements qu’il a consentis pour ce secteur qui polarise 70 % des Sénégalais. Il convient donc de ne pas généraliser. Pour le reste, c’est la dèche totale.

Revenons sur la traque des biens mal acquis pour dire que, un an après son déclenchement, elle n’a pas donné grand’ chose en termes de récupération des avoirs de la nation détournés par les dignitaires de l’ancien régime. Là, aussi, malgré le bruit, les gesticulations et les imprécations, le Trésor public n’a encore rien reçu comme avoirs récupérés. Ou alors, ça se saurait ! Pour le moment, en tout cas, les dégâts collatéraux de cette opération « mains propres » à la sénégalaise sont plus importants que ses gains. Si bien que de plus en plus de voix s’élèvent pour demander, sinon l’abandon pur et simple de cette traque, du moins un appui sur la pédale douce afin de se recentrer sur l’essentiel.

Soyons justes : le président Macky Sall n’est pas le seul à se trouver dans la tempête. Arrivé au pouvoir deux mois après lui, son homologue français Nicolas Sarkozy bat des records d’impopularité et est au plus bas dans les sondages. Il a échoué à tenir sa principale promesse de campagne qui était de réduire le chômage de ses compatriotes. En Europe, les gouvernements sont balayés les uns après les autres du fait de la crise économique mondiale et des pays du Vieux continent, membres de l’Union Européenne comme la Grèce, l’Espagne, le Portugal, l’Irlande et maintenant Chypre, luttent pour ne pas être déclarés en faillite. Le monde vit la crise économique la plus grave depuis celle de 1929 et aucune thérapie efficace n’a encore été trouvée pour y remédier. Dans ces conditions, évidemment, la marge de manœuvre du président de la République est très limitée.

Il reste qu’il lui faudra passer par pertes et profits sa première année au pouvoir, faire comme s’il venait d’être élu, considérer 2013 comme l’an 0 de son pouvoir et reprendre les choses en main. Il lui reste trois ans avant le début de la campagne électorale pour la présidentielle de 2017 et en 36 mois, on peut faire beaucoup de choses. En particulier, il lui faut lancer de grands chantiers d’infrastructures, des projets structurants pour l’économie et non des réalisations de prestige comme ce centre de conférences qu’il envisage de construire à Diamniadio pour les besoins du sommet de la Francophonie ! Il lui faudra aussi aller trouver l’argent là où il se trouve : en Chine, en Inde, au Qatar, en Malaisie, pourquoi pas en Iran et en Russie et cesser ses allers et retours en France qui ne lui servent à rien. Il doit taire ses discours sur l’argent propre et aller trouver les sous là où ils se trouvent. Il lui faudra enfin remettre les compétences au pouvoir, se consacrer le moins possible à la politique politicienne et plus à l’amélioration du bien-être des Sénégalais. Bref, le président de la République devra enfin mettre en œuvre les ruptures qu’il nous a promises et qui, pour l’instant au moins, restent à l’état de chimères !

Mamadou Oumar NDIAYE
« Le Témoin » N° 1119 –Hebdomadaire Sénégalais (Avril 2013)







1.Posté par grandé le 05/04/2013 18:17 | Alerter
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je dirai a 75% car il a hérité d'un pays vraiment difficile a géré mais nak yala bakhna tout ira bien inchalla

2.Posté par thio le 05/04/2013 18:58 | Alerter
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Gros porc ;tu es vraiment un menteur" création de 5000 emplois dans la fonction publique"ou sont ses fonctionnaires qu'on attend toujours ,si vous voulez savoir la vérité la bouteille est toujours vide faux culs

3.Posté par mackysall le 05/04/2013 19:39 | Alerter
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POUR L'INTERET DES SENEGALAIS JE DEMANDE AU PRESIDENT MACKY SALL D'ENVOYER DES GENDARMES A MBACKE CHEZ L'ACTUEL MAIRE DE CETTE VILLE UNE FOIS ARRIVEE JE VOUS CONSEIL D'ENLEVER LES CAREAUX DU SALLE DE BAIN PERSONNELLE DE iBA GUEYE ET CREUSER , VOUS TROUVEREZ DES MALLETTES REMPLIS DE BILLETS . IBA A DEJA DONNER SUR CET ARGENT 500MILIONS A LATIF KOULIBALY PUR UNE MEDIATION CAR AU MOMENT DE FAIT LATIF ETAIT UN SIMPLE JOURNALISTE ET MEMBRE DE LA SOCIETE CIVILE ,ON EST EN OCTOBRE 2012 IBA DIRECTEUR DE LA CAISSE SECURITE SOCIALE A l EPOQUE A JOUE UN GRAND COMPLICE AVEC RASINE SY PRESIDENT CONSEIL D ADMINISTRATION DE LA CSS EN DISANT QU'IL A ACHETé des terrains a mbao d'une valeure de 10miliards de francs pour le personnel de la caisse ce ki est faux car ces terrains ont été offret gratuitement à la CSS. latif koulibali etait au courant de tout ca et il avait manecé son ami Iba de l'ouvrir a la presse mais iba a jouer la médiation en lui offrant 500 milions sur cette somme.vraiment vous allez pas me croire mais c'est la vérité pauvres senegalais

4.Posté par Le sage le 06/04/2013 10:21 | Alerter
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Ce 6 avril est l'anniversaire du deces de Abdou latif gueye. Je dois partager avec mes compatriotes que ce Latif gueye avait des dons surnaturels qu'il a revele a certaines personnes. Sa vie etait marque par certaines coincidences troublantes. Certains chiffres revenaient regulierement dans sa vie. Des dates coincidaient etrangerement au cours de sa vie. Il en a parle a tres peu de gens. Sa vie etait parsemee de mysteres qu'il a eu a beaucoup de difficultes a expliquer. Latif, ta vie a ete mysterieuse...on ne sait pas vraiment qui tu as ete..ce sont les mysteres de la vie et de la creation divine. Que Dieu l'accueille a son plus haut paradis. Amine

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