Et d’ailleurs tous les spécimens d’hommes fossile sont trouvés en Afrique à l’exclusion de tous autres continents .En passant par les deux variétés d’ australopithèque : ( australopithèque robustus, l’australopithèque gracile ), l’homo habilis, l’homo erectus ,l’homme de Neandertal qui est l’ancien homo faber, et l’homo sapiens- sapiens (l’homme deux fois sages) correspondant à l’homme, né en Afrique, il y a 120 milles ans .
« Cet humanité est née sous l’Equateur sur la latitude du Kenya, c’est-à-dire sous une latitude le où flux de radiation ultra –violet est tel que tout organisme humain né de cette latitude est nécessairement pigmenté et noir. Il n’aurait pas été possible à la première humanité de survivre, si elle n’était pas pigmenté. La nature ne créant rien au hasard, donc la pigmentation à une fonction protectrice de l’organisme et protège l’organisme contre les radiations ultra-violet qui auraient détruit complètement toutes les cellules de l’organisme », démontre l’anthropologue.
L’homo sapiens-sapiens qui s’est développée en Afrique de 120 mille ans, à moins 40 mille ans est sortie du continent par deux voies : D’abord par l’isthme Suez et c’est d’ailleurs pour cela qu’on trouve des spécimens en Palestine mais qui sont plus récents que le spécimen Africain. « Je connais ceux qui font ces fouilles dans cette région, en particulier le professeur Vander mer .Mais lorsqu’on sert la chronologie de près, on voit que tous les spécimens trouvés en Palestine sont plus récent que le spécimen Africain .C’était la voie de sortie de l’homme africain, non pas seulement de l’homo sapiens-sapiens mais aussi des spécimens fossiles qui n’ont pas survécu », en atteste le professeur Cheikh Anta Diop lors d’une conférence en 1974.
L’autre voie de sortie c’est le détroit de Gibraltar, c’est par là que les hommes sont passés, ils ont laissé des traces, de la peinture rupestre dans les grottes. C’est seulement au sud de l’Europe vers les mers chaudes, vers la Crimée, le sud de la France, le sud de l’Espagne. Des régions habitables d’alors où était concentrée la première humanité négroïde, il y’a 40mille ans .Déposant dans le même sens l’égyptologue déduit : « Autant il était nécessaire d’être noir pour survivre en Afrique, autant sur les climats froids tempérés où il n’y a pas des flux de radiation ultra-violets la peau claire y survivait. Et l’homme noir s’est dépigmenté. C’est une loi de la nature. Sa morphologie a également changé à la suite de l’adaptation aux conditions de respirations dans le froid. Le premier type blanc est apparu, toute idéologie mis à part, il y’a 20 mille ans et c’est l’homme de Cro-Magnon. Le premier habitant de l’Europe est un négroïde qui est l’homme de Grimaldi ».
Par ce processus l’homme blanc est sorti du noir par filiation indirecte. L’extension de ces recherches nous mènerait à des détails plus amples afin de savoir comment cette humanité est sortie par le détroit de Béring pour aller peupler l’Amérique, de l’isthme à l’Océanie. Alors donc cet humanité qui est né en Afrique qui était nécessairement négroïde et qui apparait précisément aux sources du Nil, a en croire le professeur Cheikh Anta Diop, « était noir foncée et a colonisé progressivement la vallée, avait devant elle 120 mille ans pour descendre de la région de l’Ouganda au Delta du Nil. »
« Cet humanité est née sous l’Equateur sur la latitude du Kenya, c’est-à-dire sous une latitude le où flux de radiation ultra –violet est tel que tout organisme humain né de cette latitude est nécessairement pigmenté et noir. Il n’aurait pas été possible à la première humanité de survivre, si elle n’était pas pigmenté. La nature ne créant rien au hasard, donc la pigmentation à une fonction protectrice de l’organisme et protège l’organisme contre les radiations ultra-violet qui auraient détruit complètement toutes les cellules de l’organisme », démontre l’anthropologue.
L’homo sapiens-sapiens qui s’est développée en Afrique de 120 mille ans, à moins 40 mille ans est sortie du continent par deux voies : D’abord par l’isthme Suez et c’est d’ailleurs pour cela qu’on trouve des spécimens en Palestine mais qui sont plus récents que le spécimen Africain. « Je connais ceux qui font ces fouilles dans cette région, en particulier le professeur Vander mer .Mais lorsqu’on sert la chronologie de près, on voit que tous les spécimens trouvés en Palestine sont plus récent que le spécimen Africain .C’était la voie de sortie de l’homme africain, non pas seulement de l’homo sapiens-sapiens mais aussi des spécimens fossiles qui n’ont pas survécu », en atteste le professeur Cheikh Anta Diop lors d’une conférence en 1974.
L’autre voie de sortie c’est le détroit de Gibraltar, c’est par là que les hommes sont passés, ils ont laissé des traces, de la peinture rupestre dans les grottes. C’est seulement au sud de l’Europe vers les mers chaudes, vers la Crimée, le sud de la France, le sud de l’Espagne. Des régions habitables d’alors où était concentrée la première humanité négroïde, il y’a 40mille ans .Déposant dans le même sens l’égyptologue déduit : « Autant il était nécessaire d’être noir pour survivre en Afrique, autant sur les climats froids tempérés où il n’y a pas des flux de radiation ultra-violets la peau claire y survivait. Et l’homme noir s’est dépigmenté. C’est une loi de la nature. Sa morphologie a également changé à la suite de l’adaptation aux conditions de respirations dans le froid. Le premier type blanc est apparu, toute idéologie mis à part, il y’a 20 mille ans et c’est l’homme de Cro-Magnon. Le premier habitant de l’Europe est un négroïde qui est l’homme de Grimaldi ».
Par ce processus l’homme blanc est sorti du noir par filiation indirecte. L’extension de ces recherches nous mènerait à des détails plus amples afin de savoir comment cette humanité est sortie par le détroit de Béring pour aller peupler l’Amérique, de l’isthme à l’Océanie. Alors donc cet humanité qui est né en Afrique qui était nécessairement négroïde et qui apparait précisément aux sources du Nil, a en croire le professeur Cheikh Anta Diop, « était noir foncée et a colonisé progressivement la vallée, avait devant elle 120 mille ans pour descendre de la région de l’Ouganda au Delta du Nil. »