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Awa Guèye de l'APR : «Alioune Badara Cissé est parti trop loin dans ses sorties»

"Alioune Badara Cissé, Macky Sall et moi-même avons signé le récépissé de l’Alliance pour la République au Ministère de l’Intérieur, mais depuis quelques temps, Alioune Badara Cissé adopte des comportements qui vont à l’en contre de la discipline du parti et souvent il va même jusqu’à saper les principes républicains", a justifié Awa Guèye vice présidente l’Assemblée nationale sur les ondes de Sud Fm la suspension d’Alioune Badara Cissé de toutes les fonctions dirigeantes.


Rédigé par leral.net le Dimanche 10 Novembre 2013 à 11:42 | | 4 commentaire(s)|

Awa Guèye de l'APR : «Alioune Badara Cissé est parti trop loin dans ses sorties»
La vice présidente de l’Assemblée Nationale et membre du Secrétariat politique National (SEN) de l’Alliance pour la République, Awa Guèye a estimé que «Alioune Badara Cissé est parti trop loin dans ses positions contre les orientations et du parti (APR) et du pays ».

«A chaque fois qu’il fait une sortie c’est pour adopter une position qui va à l’encontre du parti. Et depuis quelques temps, il fait des déclarations qui sapent même les fondements de la République», soutient-elle. «C’est pourquoi une décision est prise contre lui de le suspendre de toutes ses fonctions dirigeantes», précise-t-elle, avant d’ajouter que la commission de discipline mise en place n’est pas une structure contre Alioune Badara Cissé seulement mais pour les tous militants de l’APR.

Awa Guèye a fustigé, par ailleurs, la gestion de la commune de Kaolack. Une manière pour elle de lancer le combat pour le contrôle de la mairie de la capitale du bassin arachidier entre AFP et APR. « A cause de l’obscurité et le manque des infrastructures, la ville de Kaolack fait honte aux Kaolackois. Si nous pouvons aller en coalition lors des élections locales tant mieux sinon il y aura un candidat de l’APR», laisse-elle.

La participation des candidats indépendants n’enchante pas la vice présidente de l’Assemblée nationale, Awa Guèye. « Je ne crois pas à cette histoire de société civile. Si on la prend la décision de faire de la politique, il faut avoir le courage d’intégrer dans un parti politique », martèle-t-elle.
Ferloo



1.Posté par Mina le 10/11/2013 16:17 (depuis mobile) | Alerter
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On dit : aller trop loin dans ses sorties" et non partir trop loin dans ses sorties !
Enseignante nulle ! Que sont devenus tes anciens élèves?

2.Posté par Astou le 10/11/2013 16:26 (depuis mobile) | Alerter
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Eh yaw lô done Vice-Présidente de l'Assemblée Nationale, mais ya yéye. Di lekk si ndap lii, né da ma si heup souff . Lolou foumou am. Hé mayél diam. Conspiratrice!

3.Posté par mbagnick le 10/11/2013 22:36 | Alerter
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Merci Madame Awa Gueye, vous avez lâchè le morceau: Alioune Badara Cissé est bien l'un des fondateurs de l'APR. Répétez cela à ce Saleh de Mahmout. Camarades, revenez tous sur terre et acceptez les contributions et conseils de ce grand homme d'Etat et sachez que l'erreur est humaine. Tu doit être la première à le défendre car moom rek la woon. Vive ABC! Vive le Sénégal!

4.Posté par De retour le 11/11/2013 01:48 | Alerter
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«MARY TEUW NIANE MENE LE PRESIDENT DROIT AU MUR»
SEYDI ABABACAR NDIAYE, SECRÉTAIRE GÉNÉRAL DU SAES

Oumar KANDE  |   Publication 23/08/2013
http://seneplus.com/article/«mary-teuw-niane-mene-le-president-droit-au-mur »

« Seydi Ababacar Ndiaye, continuant son interpellation, demande quelle suite sera donnée à l’audit des universités où il a été noté une mauvaise gestion généralisée, «y compris la gestion du ministre actuel quand il était recteur de l’Ugb».
«Est-ce qu’on peut continuer à faire confiance à des dirigeants qui ont été épinglés par différents rapports ? IL Y A AUSSI UN AUTRE DOCUMENT COMMANDITÉ PAR L’ACTUEL RECTEUR DE L’UGB AU NIVEAU DE LA DÉLÉGATION POUR LA RÉFORME DE L’ETAT ET DE L’ASSISTANAT TECHNIQUE (DREAT), QUI ÉPINGLE LE MÊME MINISTRE.
Ce document à montré que l’actuel ministre de l’Enseignement supérieur, quand il était recteur à l’Ugb, son jeu favori c’était de créer des postes de responsabilité, de direction. Il en avait créé dix-neuf dans une petite université comme l’Ugb et il y avait des conséquences sur la masse salariale car tous ces directeurs avaient l’équivalent d’un million d’indemnité.
Ces manquements devraient édifier qu’il faut faire les bonnes enquêtes et prendre les individus qu’il faut pour les missions importantes. Quelqu’un qui dirige une simple université et qui a ces types de comportement, on lui confie le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche. Il y a lieu de se poser des questions», a dit Seydi Ababacar Ndiaye.  »

« LA JUSTICE DOIT FAIRE LA LUMIERE SUR L’ARGENT INJECTE DANS L’ENSEIGNEMENT SUPERIEUR »
BIRAHIM SECK DU FORUM CIVIL

http://seneplus.com/article/la-justice-doit-faire-la-lumiere-sur-l%E2%80%99argent-injecte-dans-l%E2%80%99enseignement-superieur
Publication 16/09/2013

Actuellement, la polémique fait rage entre le Saes et ministère de l’Enseignement Supérieur sur l’utilisation des milliards injectés dans l’enseignement privé pour l’orientation des bacheliers. Qu’est ce que cela vous inspire ?
Le Saes a tout à fait raison de demander des comptes au gouvernement sur l’argent injecté dans l’enseignement supérieur pour la prise en charge des bacheliers orientés dans les universités privées. Les dirigeant du Saes n’ont usé que des dispositions des articles 14 et 15 de la Déclaration des droits de l’Homme et des peuples qui fait partie intégrante du préambule de notre constitution qui prône la bonne gouvernance et la transparence. Il ne devrait y avoir même pas de polémique. Les autorités devraient même rendre compte avant que le Saes ne le demande. Les étudiants également doivent demander des comptes parce que les services sont pour eux.
De plus, mon étonnement est plus grand sur le silence affiché par le gouvernement par rapport aux différents audits publiés sur l’enseignement supérieur qui intéressent les autorités de l’enseignement supérieur et au plus haut niveau. C’est grave et inquiétant au moment où nous dit que l’Etat veut injecter 302 milliards dans le domaine de l’enseignement supérieur.
La justice traque des citoyens sénégalais et quand on produit des audits qui intéressent les membres du gouvernement ou des administrateurs, l’Etat ferme les yeux. Ce sont ces pratiques que les Sénégalais ont combattues. La justice sénégalaise doit également faire la lumière sur l’argent injecté dans l’enseignement supérieur. Les rapports d’audit sont là. Cependant la Banque mondiale est également interpellée car il ne sera logique ni acceptable que de l’argent soit à nouveau injecté sans que la vérité ne soit connu sur les faits invoqués dans ces rapports d’audit sur l’enseignement supérieur. Le Saes est bien dans son rôle et il appartient à l’Etat d’éclairer les Sénégalais si on veut avoir un enseignement supérieur de qualité dans un espace de sérénité et de lumière.

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