Binta Ndiaye a tour à tour battu une Hongroise, une Ukrainienne, une Roumaine et une Italienne. Cette dernière a été terrassée par ippon en finale. Pourtant, dès sa tendre enfance, Binta pratiquait la natation et après ses cours, elle faisait un crochet au dojo de Judo pour regarder les combattants. « C’est de cette manière que je suis tombée amoureuse de ce sport et j’ai foncé », a-t-elle dit de sa voix fluette lors de l’échange.
Exploit
« Quand j’ai terrassé mon adversaire par ippon, c’était un sentiment indescriptible qui m’animait. J’ai pensé à toutes ces personnes autour de moi, qui n’ont jamais cessé de me soutenir. J’étais fière de ce que j’ai fait car cela n’a pas été facile, mais à force de travail, tout est possible », a-t-elle dit. Tout en précisant qu’elle lui reste du chemin à parcourir d’autant que les objectifs sont nombreux.
En 2e année de gymnase, Binta Ndiaye assure « continuer à faire du judo et poursuivre ses études. Mais je ne sais pas encore quelle branche choisir », avoue-telle.
Sénégal
De père sénégalais, journaliste, Binta Ndiaye confirme ce que son père lui a dit après son sacre. « Je ne savais pas que mon titre avait eu de bons échos au Sénégal. C’est mon père qui m’a même montré des bouts d’articles qui relataient mon exploit. C’est une fierté pour moi, même si je ne combats pas pour le Sénégal, je suis très touchée par l’engouement qui a eu autour de ma victoire », se réjouit-elle.
Exploit
« Quand j’ai terrassé mon adversaire par ippon, c’était un sentiment indescriptible qui m’animait. J’ai pensé à toutes ces personnes autour de moi, qui n’ont jamais cessé de me soutenir. J’étais fière de ce que j’ai fait car cela n’a pas été facile, mais à force de travail, tout est possible », a-t-elle dit. Tout en précisant qu’elle lui reste du chemin à parcourir d’autant que les objectifs sont nombreux.
En 2e année de gymnase, Binta Ndiaye assure « continuer à faire du judo et poursuivre ses études. Mais je ne sais pas encore quelle branche choisir », avoue-telle.
Sénégal
De père sénégalais, journaliste, Binta Ndiaye confirme ce que son père lui a dit après son sacre. « Je ne savais pas que mon titre avait eu de bons échos au Sénégal. C’est mon père qui m’a même montré des bouts d’articles qui relataient mon exploit. C’est une fierté pour moi, même si je ne combats pas pour le Sénégal, je suis très touchée par l’engouement qui a eu autour de ma victoire », se réjouit-elle.