C’est désormais officiel ! L’ancien ministre de l’Enseignement supérieur et président du Mouvement de la Transformation Nationale (Mtn) se lance dans la course à la prochaine présidentielle. Le professeur Mary Teuw Niane puisque c’est de lui qu’il s’agit, a annoncé hier, lundi 20 mars 2023, en marge d’une conférence de presse, sa candidature à ce scrutin prévu à la date du 25 février 2024. « Je suis le candidat du Sénégal, libre de toute tutelle, qui fait en toute circonstance confiance à ses filles et à ses fils, qui est souverain, dans ses prises de décision et profondément panafricaniste », a déclaré l’ancien recteur de l’université Gaston Berger de Saint-Louis (Ugb), lors de cette rencontre avec la presse à Dakar, en présence de plusieurs de ses partisans.
Dans la foulée de cette déclaration de candidature, mentionne-t-on dans "Sud Quotidien", le président du Mouvement de la Transformation Nationale a procédé à la présentation de son « contrat électoral » qui, selon lui, a pour socle, « l’éducation, la formation professionnelle, l’enseignement supérieur, la science, la technologie, la recherche, l’innovation, la santé, la culture, le sport, l’économie, la souveraineté agricole ». Mais aussi, «la souveraineté sur nos ressources naturelles et extractives, le renforcement des institutions, une administration moderne, transparente et efficace, mise au service de la formation d’une citoyenne et d’un citoyen nouveau, enracinés dans leurs valeurs, patriotes, ouverts aux apports positifs du monde, cultivés, créatifs et innovants ».
Loin de s’en tenir-là, le candidat Mary Teuw Niane s’est également engagé, une fois élu au soir du 25 février prochain, à réduire et à encadrer les pouvoirs du président de la République et à faire de la séparation des pouvoirs, une réalité effective. Sous ce rapport, il a indiqué que sous son régime, le procureur de la République ne pourra plus bloquer les dossiers qui lui parviennent d’institutions de contrôle comme la Cour des Comptes, l’IGE ou l’OFNAC, mais aussi de soumettre au vote des députés, certaines nominations importantes. Dans le cadre des relations de partenariat, le candidat du Mouvement de la transformation nationale a indiqué que son régime va privilégier les relations diplomatiques et commerciales avec d’autres pays africains et adopter une politique extérieure assujettie aux intérêts du Sénégal.
Toujours lors de cette rencontre avec la presse, l’ancien président du Conseil d’administration de Petrosen est revenu sur les raisons de son engagement dans la politique. C’est pour faire remarquer : « Je me suis engagé en politique, car j’ai compris qu’en ne le faisant pas, c’est la politique qui va faire de moi et de mes enfants ce que, probablement, je ne souhaite pas. Il faut faire de la politique pour avoir de la prise sur son destin, celui des siens, en pensant le bien et à le faire aussi ». Revenant sur la situation actuelle du pays, le professeur Mary Teuw Niane a dénoncé la gouvernance du régime en place qui, selon lui, a basculé le Sénégal dans « une paupérisation qu’on peine à maquiller par des statistiques, un autoritarisme devenu brutal, des scandales qui infléchissent de plus en plus les vertus qui nous sont chères, une violence de moins en moins supportable ».
Dans la foulée de cette déclaration de candidature, mentionne-t-on dans "Sud Quotidien", le président du Mouvement de la Transformation Nationale a procédé à la présentation de son « contrat électoral » qui, selon lui, a pour socle, « l’éducation, la formation professionnelle, l’enseignement supérieur, la science, la technologie, la recherche, l’innovation, la santé, la culture, le sport, l’économie, la souveraineté agricole ». Mais aussi, «la souveraineté sur nos ressources naturelles et extractives, le renforcement des institutions, une administration moderne, transparente et efficace, mise au service de la formation d’une citoyenne et d’un citoyen nouveau, enracinés dans leurs valeurs, patriotes, ouverts aux apports positifs du monde, cultivés, créatifs et innovants ».
Loin de s’en tenir-là, le candidat Mary Teuw Niane s’est également engagé, une fois élu au soir du 25 février prochain, à réduire et à encadrer les pouvoirs du président de la République et à faire de la séparation des pouvoirs, une réalité effective. Sous ce rapport, il a indiqué que sous son régime, le procureur de la République ne pourra plus bloquer les dossiers qui lui parviennent d’institutions de contrôle comme la Cour des Comptes, l’IGE ou l’OFNAC, mais aussi de soumettre au vote des députés, certaines nominations importantes. Dans le cadre des relations de partenariat, le candidat du Mouvement de la transformation nationale a indiqué que son régime va privilégier les relations diplomatiques et commerciales avec d’autres pays africains et adopter une politique extérieure assujettie aux intérêts du Sénégal.
Toujours lors de cette rencontre avec la presse, l’ancien président du Conseil d’administration de Petrosen est revenu sur les raisons de son engagement dans la politique. C’est pour faire remarquer : « Je me suis engagé en politique, car j’ai compris qu’en ne le faisant pas, c’est la politique qui va faire de moi et de mes enfants ce que, probablement, je ne souhaite pas. Il faut faire de la politique pour avoir de la prise sur son destin, celui des siens, en pensant le bien et à le faire aussi ». Revenant sur la situation actuelle du pays, le professeur Mary Teuw Niane a dénoncé la gouvernance du régime en place qui, selon lui, a basculé le Sénégal dans « une paupérisation qu’on peine à maquiller par des statistiques, un autoritarisme devenu brutal, des scandales qui infléchissent de plus en plus les vertus qui nous sont chères, une violence de moins en moins supportable ».