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Comment l'Apr compte fêter l’an 1 de Macky Sall

Le parti au pouvoir compte célébrer l’an 1 de Macky Sall au pouvoir depuis le 25 Mars 2012 contrairement aux jeunes du M23 juin qui comptent assiéger la place de l’Obélisque pour manifester leur colère contre les promesses non tenues.


Rédigé par leral.net le Samedi 2 Mars 2013 à 18:00 | | 3 commentaire(s)|

Comment l'Apr compte fêter l’an 1 de Macky Sall
Selon L’Observateur, sur le plan purement politique, le chef de l’Etat et patron des de l’Alliance pour la république(Apr), a préféré donner carte blanche à ses responsables et militants de parti, afin qu’ils définissent les modalités d’élaboration du programme des animations politiques proprement dites. Seulement dans un souci de rupture avec le passé et, certainement avec les difficultés économique et sociales, le chef de l’Etat a exigé de ses partisans que toutes les formes de manifestations soient sobres et inscrites dans l’optique de proposer des voies et moyens susceptibles de mener à des solutions aux problèmes des Sénégalais. Officiellement, informe le journal, c’est lundi prochain que l’Apr va se pencher sur le programme, lors de la réunion de son Secrétariat politique.



1.Posté par LATIF le 02/03/2013 17:34 | Alerter
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Sénégal : Affaires Thierno Ousmane Sy Il N'y A Pas de Justice Il N'y A Que des Hommes

Le Sénégalo-américain Thierno Ousmane Sy est en prison depuis le 27 février, pour une affaire vieille de plus de six ans : la vente de la troisième licence de téléphonie mobile. On lui reproche d'avoir eu une attitude peu délicate vis-à-vis de l'argent décaissé dont une partie aurait été détournée et placée pour blanchiment. Il est donc accusé de tous les péchés d'Israël, de la conspiration (association de malfaiteurs) au crime économique, imprescriptible dans le temps et dans l'espace.
Plus prosaïquement, Thierno Ousmane Sy serait impliqué dans un échange de bons procédés dans une vente de troisième licence où l’État est seul responsable pour avoir choisi ses fournisseurs (Celtel : 105 millions de dollars Us, Bintel : 153 et Sudatel finalement choisi pour avoir proposé 200 millions de dollars, soit 100 milliards Cfa).

L'Etat a également choisi un intermédiaire (ce qui ne se dit jamais, la chose étant sous-entendue) et, le 15 novembre 2007, a eu lieu la remise des chèques à l'hôtel "Téranga". Des explications du ministre d’État, ministre de l’Économie et des Finances, les avis de crédit reçus de la Banque centrale des États de l'Afrique de l'Ouest (Bceao) renseignent que le Sénégal a reçu 44.775.208.727 francs dans ses caisses le 19 novembre 2007, et 44.306.437.817 Cfa une semaine plus tard, le 27 novembre.

La différence pour laquelle Thierno Ousmane Sy est poursuivi avait dans un premier temps trouvé une explication bizarre, la fluctuation du taux d'échange du dollar, comme si le destin de la coopération financière internationale était sujette à un serpent monétaire. C'était pur euphémisme pour expliquer l'inexplicable mais simple : les ristournes, comme en France avec l'affaire des frégates de Taïwan.
Un certain empirisme renseigne qu'en la matière, le taux du dollar est fixe et est compris à 500 francs Cfa, quelles que soient les fluctuations du marché ; durant le règne socialiste, un compte spécial était créé pour recevoir les fonds et spéculer sur la valeur de la monnaie américaine, sans jamais aller en deçà du taux retenu dans le système de coopération internationale. N'étant ni vendeur, ni acheteur, Thierno Ousmane Sy ne pouvait dès lors décider ni du montant à rétrocéder, ni des destinataires. In limine litis, il serait simple un exécutant. Pour parler le langage de la jungle des affaires, Thierno Ousmane Sy serait une simple mule chargée de ramener le bakchich à bon port.

Les rumeurs de rétrocommission soulignées par la presse ont en effet fusé et abouti au procès du 14 septembre 2010 au terme duquel la revue poursuivie pour libelle diffamatoire a été condamnée. Le procureur de la République viendra à la charge deux ans plus tard (11 décembre 2012) pour essayer d'expliquer les mouvements de fonds notés dans les comptes d'un homme d'affaires international et cet expert en la matière parut convaincu.

Ce sont pourtant les mêmes causes qui n'ont plus prospéré les 26 et 27 février avec la convocation, l'inculpation et le déferrement de Thierno Ousmane Sy. Il faut dire qu'entre-temps, des hommes dont le dossier est pendant devant la justice siègent désormais dans le pouvoir (gouvernement et Assemblée) dans un nouveau régime de rupture. La mise à l'ombre de l'incriminé dissout-elle les décisions de justice antérieures ?

Comme le souligne le sens anglais de ses initiales (Tos), son avenir tient actuellement à un coup de dé, plus exactement sur le jeu "A pile ou face". C'est dire qu'il n'y a plus de justice, il n'y a que des hommes.

2.Posté par schwarzeraal le 02/03/2013 23:27 (depuis mobile) | Alerter
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Pas de pouthe pathe avec l'argent de l'etat.

3.Posté par babel le 03/03/2013 08:01 | Alerter
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Depuis un certain temps nous sommes l’objet d’attaques tous azimuts dans la presse de la part d’une dizaine de commerçants établis irrégulièrement sur le site ayant abrité le Camp des gardiens de prison à Louga et dont nous Coopérative d’Habitat de MAC Louga sommes attributaire de la part de la Commission de Contrôle des Opérations Domaniales à Dakar.
Ces commerçants dont la plus part ne sont que des locataires des cantines qu’ils occupent, sont manipulés par les vrais propriétaires des locaux qu’ils occupent.
C’est pourquoi pour éclairer l’opinion, nous tenons à faire ces quelques précisions :
Premièrement : la durée dans un local où on est installé irrégulièrement depuis 30 ans, 40 ans voire plus, ne donne pas droit de propriété.
Deuxièmement : La mise en location d’un local installé irrégulièrement dans le site d’autrui ou percevoir des taxes y affairant ne donne pas droit de propriété
Troisièmement : Maitre Samba Lawbé DIOP était commis simplement pour constater le la réunion avec les commerçant et dresser procès verbal. Il servi aucun acte à un commerçant.
Quatrièmes : l’instruction de notre dossier par la CCOD (Commission de Contrôle des Opérations Domaniales) a duré un peu plus de 03 ans, de 2010 à 2013
Cinquièmement : Nous sous sommes constitués en Coopérative d’Habitat réf : Récépissé n°007040 du 26/08/2004, affiliée à la Fédération Régionale des Coopératives d’Habitat de Louga
Sixièmement : Nous sommes des Sénégalais. Que ceux qui nous traitent d’étranger venus d’ailleurs voulant s’accaparer du poumon de Louga se taisent. Leur argumentaire n’a pas sa place dans ce débat. Nous avons servi et continuons de servir l’Etat du Sénégal à Louga et partout où le devoir nous appellera
Septièmement : pour les hommes et femmes politique qui n’ont de soucis que la quête de voix en vue des élections locales de 2014, sachent cette dizaine de locataires commerçants ne pèse pas plus lourds que nous sur l’échiquier électoral
LES ABOIEMENTS NE PEUVENT EMPÊCHER LE TROUPEAU D'AVANCER.

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