Parmi les besoins sociaux les plus importants des Sénégalais figure en bonne place l’électricité, moteur de l’économie. Conscient des enjeux d’une bonne maîtrise de l’énergie et soucieux de préserver l’environnement, le Président Macky Sall a mis très tôt le Sénégal sur les rails d’une révolution solaire sans précédent. Comment produire plus d’électricité tout en respectant les conclusions tirées des Conférences des parties à la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques (CCNUCC), notamment la COP 21 ?
Le Président Macky Sall a donné une réponse claire. Il a pris, dès l’entame de son mandat, des mesures radicales et inédites, en vue de tirer profit des dons que la nature nous procure pour enclencher le développement du Sénégal. Parmi les décisions prises, figure en bonne place, la réalisation du mix énergétique. Il fallait ainsi rompre définitivement avec le « tout énergie fossile » pour développer une véritable révolution solaire. Les promesses tenues commencent à apporter leurs fruits, avec la mise en service de nombreuses centrales solaires à travers le pays.
Il en est ainsi de la centrale solaire Cheikh Anta Diop de Ten Mérina dans la commune de Mérina Dakhar (département de Tivaouane), inaugurée par le Premier ministre Mahammed Boun Abdallah Dionne le 16 janvier 2018. Ce parc, porté par la société Meridiam, associée de Solairedirect et Eiffage, va éclairer 225 000 personnes et éviter l’émission de 33 300 tonnes de CO2 par an. D’un coût de 28 milliards de FCFA et d’une puissance de 30 mégawatts, Ten Mérina est l’une des plus grandes centrales de l’Afrique subsaharienne. « Avec cette centrale, a dit le Président Macky Sall, le Sénégal renforce son programme d’énergies renouvelables, déjà très riche. »
Le développement économique de l’Afrique devrait passer par la maîtrise de l’énergie comme l’avaient théorisé les deux pionniers, le Sénégalais Cheikh Anta Diop et le Nigérien Abdou Moumouni Dioffo. A travers Ten Mérina, le chef de l’Etat leur a rendu hommage de la plus belle des manières, en donnant le nom de la centrale au premier nommé et en invitant la famille du second cité, à l’inauguration.
Ten Mérina s’ajoute à d’autres installations photovoltaïques déjà en service. C’est le cas de la centrale Senergy de Santhiou Meckhé dans la commune de Méouane, fruit d’un partenariat public-privé associant Meridiam (53 %), Solairedirect, le Fonsis (32 %), Senergy PVSA et Proparco (15 %). D’un coût de 27 milliards de FCFA, doté d’une puissance de 30 MW, installé sur une superficie de 64 ha, avec 36 onduleurs, 3 grands transformateurs et composé de 92 000 panneaux photovoltaïques, le parc solaire de Santhiou-Mékhé peut alimenter 300 000 foyers. L’entrée en production de ce parc le 29 juin 2017, suit celle de la centrale Senergy II, inaugurée à Bokhol (département de Dagana) le 22 octobre 2016 avec une puissance de 20 MW, 77 000 panneaux sur 50 ha.
Cette centrale, qui alimentera 9 000 foyers et financée par la plateforme française GreenWish Partners, a coûté 17 milliards de F CFA. La première phase du parc de Malicounda (département de Mbour) inaugurée en novembre 2016 et la seconde en juillet 2017, ont nécessité un investissement de 20 milliards de F CFA, une superficie de 100 ha, 86 000 panneaux photovoltaïques, pour une puissance installée de 22 MW et une capacité d’approvisionnement de 9 000 foyers. Et que dire de l’extension de la centrale de Kahone (département de de Kaolack) qui alimente 152 localités dont 105 par raccordement au réseau électrique et 47 par l’énergie solaire ?
Aussi le Président Macky Sall n’avait-t-il pas raison d’affirmer à Santhiou Meckhé que « nous approchons de notre objectif : porter la part des énergies propres à plus de 30 % de mix énergétique, à terme ». Avec ces nouvelles installations, non seulement le Sénégal assure mieux la couverture du pays mais aussi son potentiel d’énergie lui permet de passer du statut de pays déficitaire il y a seulement quelques années, à celui d’exportateur, vers le Mali voisin notamment.
Le coût de l’électricité s’en est trouvé réduit de 10 % soit un allègement de 30 milliards sur la facture globale, au grand bonheur des populations surtout celles du monde rural. Oui, le volet énergétique est en marche. N’en déplaise à cette horde de pourfendeurs du Gouvernement, à qui le Président avait asséné déjà à Santhiou Meckhé cette pique, qui dit tout sur son ambition énergétique : « Ndeyssane, les gens vont encore pleurer et dire que le Président est en campagne, mais je vais continuer de plus belle les inaugurations ».
En plus de ces grandes unités photovoltaïques, d’autres centrales sont en train d’être construites. Rendez-vous est donc pris pour Sakal, Diass, Kidira, Goudiry, Médina Gounass, Dionewar, Niodior, Bassoul… L’Egypte de l’époque de la XVIIIe dynastie avait sa révolution solaire atonienne sous Aménophis IV ; le Sénégal du XXIe siècle tient sa révolution énergétique solaire sous Macky Sall, l’ingénieur ingénieux.
Mamadou Moustapha FALL,
Coordonnateur de la Cellule république d’Information et de Communication (CRIC),
Coordonnateur de la Section départementale de la Fédération des Enseignants et Educateurs pour la République (FEER) de Tivaouane.
Le Président Macky Sall a donné une réponse claire. Il a pris, dès l’entame de son mandat, des mesures radicales et inédites, en vue de tirer profit des dons que la nature nous procure pour enclencher le développement du Sénégal. Parmi les décisions prises, figure en bonne place, la réalisation du mix énergétique. Il fallait ainsi rompre définitivement avec le « tout énergie fossile » pour développer une véritable révolution solaire. Les promesses tenues commencent à apporter leurs fruits, avec la mise en service de nombreuses centrales solaires à travers le pays.
Il en est ainsi de la centrale solaire Cheikh Anta Diop de Ten Mérina dans la commune de Mérina Dakhar (département de Tivaouane), inaugurée par le Premier ministre Mahammed Boun Abdallah Dionne le 16 janvier 2018. Ce parc, porté par la société Meridiam, associée de Solairedirect et Eiffage, va éclairer 225 000 personnes et éviter l’émission de 33 300 tonnes de CO2 par an. D’un coût de 28 milliards de FCFA et d’une puissance de 30 mégawatts, Ten Mérina est l’une des plus grandes centrales de l’Afrique subsaharienne. « Avec cette centrale, a dit le Président Macky Sall, le Sénégal renforce son programme d’énergies renouvelables, déjà très riche. »
Le développement économique de l’Afrique devrait passer par la maîtrise de l’énergie comme l’avaient théorisé les deux pionniers, le Sénégalais Cheikh Anta Diop et le Nigérien Abdou Moumouni Dioffo. A travers Ten Mérina, le chef de l’Etat leur a rendu hommage de la plus belle des manières, en donnant le nom de la centrale au premier nommé et en invitant la famille du second cité, à l’inauguration.
Ten Mérina s’ajoute à d’autres installations photovoltaïques déjà en service. C’est le cas de la centrale Senergy de Santhiou Meckhé dans la commune de Méouane, fruit d’un partenariat public-privé associant Meridiam (53 %), Solairedirect, le Fonsis (32 %), Senergy PVSA et Proparco (15 %). D’un coût de 27 milliards de FCFA, doté d’une puissance de 30 MW, installé sur une superficie de 64 ha, avec 36 onduleurs, 3 grands transformateurs et composé de 92 000 panneaux photovoltaïques, le parc solaire de Santhiou-Mékhé peut alimenter 300 000 foyers. L’entrée en production de ce parc le 29 juin 2017, suit celle de la centrale Senergy II, inaugurée à Bokhol (département de Dagana) le 22 octobre 2016 avec une puissance de 20 MW, 77 000 panneaux sur 50 ha.
Cette centrale, qui alimentera 9 000 foyers et financée par la plateforme française GreenWish Partners, a coûté 17 milliards de F CFA. La première phase du parc de Malicounda (département de Mbour) inaugurée en novembre 2016 et la seconde en juillet 2017, ont nécessité un investissement de 20 milliards de F CFA, une superficie de 100 ha, 86 000 panneaux photovoltaïques, pour une puissance installée de 22 MW et une capacité d’approvisionnement de 9 000 foyers. Et que dire de l’extension de la centrale de Kahone (département de de Kaolack) qui alimente 152 localités dont 105 par raccordement au réseau électrique et 47 par l’énergie solaire ?
Aussi le Président Macky Sall n’avait-t-il pas raison d’affirmer à Santhiou Meckhé que « nous approchons de notre objectif : porter la part des énergies propres à plus de 30 % de mix énergétique, à terme ». Avec ces nouvelles installations, non seulement le Sénégal assure mieux la couverture du pays mais aussi son potentiel d’énergie lui permet de passer du statut de pays déficitaire il y a seulement quelques années, à celui d’exportateur, vers le Mali voisin notamment.
Le coût de l’électricité s’en est trouvé réduit de 10 % soit un allègement de 30 milliards sur la facture globale, au grand bonheur des populations surtout celles du monde rural. Oui, le volet énergétique est en marche. N’en déplaise à cette horde de pourfendeurs du Gouvernement, à qui le Président avait asséné déjà à Santhiou Meckhé cette pique, qui dit tout sur son ambition énergétique : « Ndeyssane, les gens vont encore pleurer et dire que le Président est en campagne, mais je vais continuer de plus belle les inaugurations ».
En plus de ces grandes unités photovoltaïques, d’autres centrales sont en train d’être construites. Rendez-vous est donc pris pour Sakal, Diass, Kidira, Goudiry, Médina Gounass, Dionewar, Niodior, Bassoul… L’Egypte de l’époque de la XVIIIe dynastie avait sa révolution solaire atonienne sous Aménophis IV ; le Sénégal du XXIe siècle tient sa révolution énergétique solaire sous Macky Sall, l’ingénieur ingénieux.
Mamadou Moustapha FALL,
Coordonnateur de la Cellule république d’Information et de Communication (CRIC),
Coordonnateur de la Section départementale de la Fédération des Enseignants et Educateurs pour la République (FEER) de Tivaouane.