En rapport avec la brûlante actualité, le Secrétariat exécutif national de BBY qui ne pouvait passer sous silence le rapport de la Cour des Comptes sur la gestion des fonds Force Covid-19.
Selon l’instance, l’exploitation qui doit être faite par la justice de ce rapport, se fera en toute indépendance et des sanctions idoines seront prises à l’encontre des personnes impliquées. « Les réformes les plus importantes qui concernent la Cour des Comptes, ont été faites par le Président Macky Sall en 2012. C’est lui qui a donné l’essentiel des moyens de contrôle, aussi bien en moyens humains qu’en dispositif règlementaire et législatif, pour permettre à la Cour des Comptes de faire son travail.
Aujourd’hui, la Cour a sorti un rapport qui est public et ce rapport a désigné des personnes qui étaient chargées de gérer des fonds publics, l’exploitation qui doit être faite par la justice, le sera de façon à ce que, si une personne est entachée dans sa gestion, on puisse normalement prendre les sanctions idoines qui doivent prévaloir », a indiqué Aymérou Gningue.
Toutefois, souligne "Le Témoin", le Secrétaire exécutif national de BBY invite au respect de la présomption d’innocence des personnes citées et à l’ouverture d’une information judiciaire. « La première mission de la Cour, à travers ces rapports, c’est de faire des recommandations. Il se peut que la Cour rencontre, au cours de son travail, des soupçons de détournement de derniers publics. Parce que, sur la base du rapport seulement, on ne peut pas indexer quelqu’un pour dire qu’il est coupable ou qu’il a détourné. C’est pourquoi, la Cour préconise l’ouverture d’une information judiciaire, parce que les gens bénéficient de la présomption d’innocence », a expliqué l’avocat Me Ousmane Sèye, membre du SEN de BBY.
Selon l’instance, l’exploitation qui doit être faite par la justice de ce rapport, se fera en toute indépendance et des sanctions idoines seront prises à l’encontre des personnes impliquées. « Les réformes les plus importantes qui concernent la Cour des Comptes, ont été faites par le Président Macky Sall en 2012. C’est lui qui a donné l’essentiel des moyens de contrôle, aussi bien en moyens humains qu’en dispositif règlementaire et législatif, pour permettre à la Cour des Comptes de faire son travail.
Aujourd’hui, la Cour a sorti un rapport qui est public et ce rapport a désigné des personnes qui étaient chargées de gérer des fonds publics, l’exploitation qui doit être faite par la justice, le sera de façon à ce que, si une personne est entachée dans sa gestion, on puisse normalement prendre les sanctions idoines qui doivent prévaloir », a indiqué Aymérou Gningue.
Toutefois, souligne "Le Témoin", le Secrétaire exécutif national de BBY invite au respect de la présomption d’innocence des personnes citées et à l’ouverture d’une information judiciaire. « La première mission de la Cour, à travers ces rapports, c’est de faire des recommandations. Il se peut que la Cour rencontre, au cours de son travail, des soupçons de détournement de derniers publics. Parce que, sur la base du rapport seulement, on ne peut pas indexer quelqu’un pour dire qu’il est coupable ou qu’il a détourné. C’est pourquoi, la Cour préconise l’ouverture d’une information judiciaire, parce que les gens bénéficient de la présomption d’innocence », a expliqué l’avocat Me Ousmane Sèye, membre du SEN de BBY.