À la demande du gouvernement d’Ali Bongo, la Cour pénale internationale a ouvert une enquête préliminaire pour examiner les informations fournies par Libreville, qui rapporte des faits relevant de « l’incitation à commettre le crime de génocide ».
Dans un communiqué, la procureure Fatou Bensouda indique qu’elle examinera les informations disponibles avant de décider s’il y a lieu d’ouvrir une enquête formelle. Elle explique que la demande émane du gouvernement gabonais, qui fait part de « faits relevant de l’incitation à commettre le crime de génocide » et de « crimes contre l’humanité », qu’il attribue aux militants favorables au candidat d’opposition Jean Ping.
Ali Bongo, dont la famille dirige le Gabon depuis près de cinquante ans, a été déclaré vainqueur de l’élection présidentielle du 27 août 2016 avec moins de 6 000 voix d’avance sur son adversaire Jean Ping. Ce dernier conteste toujours ce résultat.
Sa courte victoire a provoqué des émeutes début septembre, qui ont fait six morts selon un bilan officiel.
France24.com
Dans un communiqué, la procureure Fatou Bensouda indique qu’elle examinera les informations disponibles avant de décider s’il y a lieu d’ouvrir une enquête formelle. Elle explique que la demande émane du gouvernement gabonais, qui fait part de « faits relevant de l’incitation à commettre le crime de génocide » et de « crimes contre l’humanité », qu’il attribue aux militants favorables au candidat d’opposition Jean Ping.
Ali Bongo, dont la famille dirige le Gabon depuis près de cinquante ans, a été déclaré vainqueur de l’élection présidentielle du 27 août 2016 avec moins de 6 000 voix d’avance sur son adversaire Jean Ping. Ce dernier conteste toujours ce résultat.
Sa courte victoire a provoqué des émeutes début septembre, qui ont fait six morts selon un bilan officiel.
France24.com