Deux déclarations mais un même message : les forces vives de la nation doivent se ressaisir. La vérité des urnes doit être respectée.
« Pour qu’il y ait tranquillité, il suffit que cette vérité objective, facilement vérifiable, soit proclamée. Par contre, déclarer un échoué admis, et un admis échoué, on ensemence un venin difficilement déracinable dans le temps et l’espace », estime Monseigneur Mathieu Madéga Lebouakéhan, président de la conférence épiscopale du Gabon.
L'église fera tout pour jouer un rôle d'apaisement, assure de son côté Jean Jacques Ndong Ekouaghé, pasteur président du conseil national de l'Eglise évangélique du Gabon.
« Nous restons en contact avec les deux camps. Nous rencontrons encore certaines personnes. Mais je pense que ces démarches doivent être discrètes. Evidemment l’objectif des confessions religieuses, c’est d’amener les deux parties à se mettre ensemble pour parler. » Et le pasteur d'insister : « nous n'avons pas de pays de rechange ».
SOURCE RFI.FR
« Pour qu’il y ait tranquillité, il suffit que cette vérité objective, facilement vérifiable, soit proclamée. Par contre, déclarer un échoué admis, et un admis échoué, on ensemence un venin difficilement déracinable dans le temps et l’espace », estime Monseigneur Mathieu Madéga Lebouakéhan, président de la conférence épiscopale du Gabon.
L'église fera tout pour jouer un rôle d'apaisement, assure de son côté Jean Jacques Ndong Ekouaghé, pasteur président du conseil national de l'Eglise évangélique du Gabon.
« Nous restons en contact avec les deux camps. Nous rencontrons encore certaines personnes. Mais je pense que ces démarches doivent être discrètes. Evidemment l’objectif des confessions religieuses, c’est d’amener les deux parties à se mettre ensemble pour parler. » Et le pasteur d'insister : « nous n'avons pas de pays de rechange ».
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