«La crainte, c’est comment on va renouveler le contrat ? Dans quelles conditions ce contrat va être renouvelé ? Qu’est-ce que les travailleurs vont y gagner ?», s’interroge Abass Fall, Secrétaire général de Dakarnave, au cours d’une journée de réflexion organisée par les travailleurs, portant sur «la mobilisation autour de la défense de l’outil de travail et des acquis de Dakarnave».
«En tant que travailleurs, nous avons notre mot à dire. Nous sommes là pour défendre notre outil de travail», insiste Abass Fall conforté dans son argumentaire par un autre syndicaliste. «Aujourd’hui, dans le cadre du renouvellement du contrat, les travailleurs ont leur place et doivent siéger dans les organes de direction de la société qui va se charger de la concession», appuie Pape Birama Diallo, chef du département dialogue social de l’Union des syndicats autonomes du Sénégal (Unsas).
Reconnaissant avoir obtenu des acquis, les travailleurs de cette entreprise précisent que «de 1999, date de la liquidation de Dakar Marine, à nos jours, la société concessionnaire Dakarnave a remis le chantier sur la pente du progrès économique et social». «Ils étaient deux cent quarante travailleurs repris après la signature de la concession, aujourd’hui, l’entreprise compte trois cent un travailleurs permanents, dont quatre expatriés», se félicitent les travailleurs de cette entreprise, qui se réjouissent par ailleurs que «parmi ces travailleurs, une cinquantaine d’entre eux seulement sont sous contrat à durée déterminée (Cdd) et le reste avec des contrats à durée indéterminée (Cdi)».
Indiquant qu’ils doivent «la relance de l’activité de réparation navale au Sénégal aux partenaires stratégiques comme Lisnave international» et aux employés de Dakarnave, les travailleurs de cette entreprise prônent «un renforcement du dialogue social de leur entreprise, par la mise en place de mécanisme pour développer davantage l’information, la consultation et la négociation».
D’après "Le Quotidien", dénonçant l’agissement de «politiciens nostalgiques tapis dans l’ombre», «d’oiseaux de mauvaise augure» et «d’anciens travailleurs», qu’ils accusent de «vouloir déstabiliser leur entreprise», les travailleurs de Dakanave, par l’intermédiaire de Kanima Cissé, aujourd’hui retraité et secrétaire administratif à Dakarnave, souhaitent «que l’Etat et les travailleurs» ainsi que les autres partenaires, «se mettent autour d’une table pour parler le même langage».
«En tant que travailleurs, nous avons notre mot à dire. Nous sommes là pour défendre notre outil de travail», insiste Abass Fall conforté dans son argumentaire par un autre syndicaliste. «Aujourd’hui, dans le cadre du renouvellement du contrat, les travailleurs ont leur place et doivent siéger dans les organes de direction de la société qui va se charger de la concession», appuie Pape Birama Diallo, chef du département dialogue social de l’Union des syndicats autonomes du Sénégal (Unsas).
Reconnaissant avoir obtenu des acquis, les travailleurs de cette entreprise précisent que «de 1999, date de la liquidation de Dakar Marine, à nos jours, la société concessionnaire Dakarnave a remis le chantier sur la pente du progrès économique et social». «Ils étaient deux cent quarante travailleurs repris après la signature de la concession, aujourd’hui, l’entreprise compte trois cent un travailleurs permanents, dont quatre expatriés», se félicitent les travailleurs de cette entreprise, qui se réjouissent par ailleurs que «parmi ces travailleurs, une cinquantaine d’entre eux seulement sont sous contrat à durée déterminée (Cdd) et le reste avec des contrats à durée indéterminée (Cdi)».
Indiquant qu’ils doivent «la relance de l’activité de réparation navale au Sénégal aux partenaires stratégiques comme Lisnave international» et aux employés de Dakarnave, les travailleurs de cette entreprise prônent «un renforcement du dialogue social de leur entreprise, par la mise en place de mécanisme pour développer davantage l’information, la consultation et la négociation».
D’après "Le Quotidien", dénonçant l’agissement de «politiciens nostalgiques tapis dans l’ombre», «d’oiseaux de mauvaise augure» et «d’anciens travailleurs», qu’ils accusent de «vouloir déstabiliser leur entreprise», les travailleurs de Dakanave, par l’intermédiaire de Kanima Cissé, aujourd’hui retraité et secrétaire administratif à Dakarnave, souhaitent «que l’Etat et les travailleurs» ainsi que les autres partenaires, «se mettent autour d’une table pour parler le même langage».