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Drogue dans la police : Le commissaire Boye instruit pour entendre Abdoulaye Niang


Rédigé par leral.net le Vendredi 19 Juillet 2013 à 09:21 | | 6 commentaire(s)|

Drogue dans la police : Le commissaire Boye instruit pour entendre Abdoulaye Niang
Selon le journal EnQuête, l’inspection générale des services de sécurité (Igss) a été diligentée par le ministre de l’Intérieur, le Général Pathé Seck, pour enquête sur l’affaire de collusion de hauts responsable de la police avec les narcotrafiquants. Des sources au fait de ce dossier, indiquent que le patron de Igss, le commissaire Boye, a entamé ses auditions. Les déclarations du Directeur général de la police nationale, Abdoulaye Niang seront très bientôt sur procès-verbal. Le patron de la police a été mouillé par le Directeur général de l’Ocrtis, le commissaire Cheikhna Cheikh Sadibou Keïta, qui l’accuse d’avoir été de connivence avec les narcotrafiquants au moment où il était à la tête de l’Ocrtis.



1.Posté par Citoyen le 19/07/2013 10:29 | Alerter
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La corruption a la police est général regarder la circulation les aéroports les commissariats et j'en passe

2.Posté par modou le 19/07/2013 10:43 | Alerter
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J'ai honte pour le commissaire KEITA pourquoi il a attendu qu'on le limoge pour faire certaines révélations qui devraient être top secrets, ce Mr keita ne méritait même pas sa place à notre police nationale et de renommée internationale. Mr keita: je suis civile, amis je pense que pour l’éthique et la déontologie au moins vous devrez avoir un droit de réserve... ATHIAM!!!!

QUELLE HONTE .....CHIPIRI...

3.Posté par potee le 19/07/2013 10:57 | Alerter
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Une sombre histoire d’acquisition d’une imprimerie Rotative Offset par la Direction générale de la Société sénégalaise de presse et de publications (Sspp) Le Soleil Sa, doublée d’un plan de recrutement de personnel injustifié secouent la direction du «Soleil». Après un audit mené par l’Ige et le Cabinet Ncc West Africa, plusieurs fautes qui commandent la prise de «mesures conservatoires» ont été relevées. Le Pca demande des explications au Dg et fait ampliation de ses observations salées au ministère de la Communication, des Télécommunications et de l’Economie numérique, à l’Inspection générale d’Etat du Sénégal (Ige), aux membres du Conseil d’administration et au commissaire aux comptes.

Une mission d’audit menée conjointement par l’Inspection générale d’Etat du Sénégal et le Cabinet Ncc West Africa et chargée expressément de passer aux lasers les comptes et la gestion de la Société sénégalaise de presse et de publications (Sspp) Le Soleil Sa, a exhibé au grand jour des révélations renversantes. Celles-ci ont accouché sur une interpellation par voie épistolaire de Cheikh Thiam, Directeur Général de la société éditrice du quotidien national Le Soleil par le Président du Conseil d’administration. Cette correspondance datée du 20 juin dernier porte sur des mesures conservatoires et des décisions urgentes rendues nécessaires en particulier par un projet d’acquisition d’une imprimerie Rotative Offset et le financement qui lui est associé, mais aussi par un recrutement du personnel aux contours glauques.

Acquisition d’une Rotative Offset à 1 015 000 000 Fcfa alors que l’ancienne ligne n’est pas cédée
Tout est parti d’un projet d’acquisition d’un matériel d’imprimerie, une Rotative Offset. Mais, dans la correspondance, ce projet d’envergure et d’un impact financier de 1 milliard de Francs Cfa a été initié sans avoir été profondément pensé, ni assis sur un cadre cohérent. «Aucune étude formelle démontrant sa justification économique, son opportunité et sa rentabilité globale n’a été mise à la disposition des membres du Conseil d’administration malgré les multiples demandes réitérées lors de sa dernière séance en date du 30 janvier 2013», constate le Pca. Pire encore, le financement dudit projet est conduit sans aucune information au Conseil d’administration relativement au contrat de prêt et aux garanties données, en violation des pouvoirs dudit conseil qui «délibère et confère toute autorisation préalable en matière de cautions, avals et garanties.»
Pourtant, ce projet, entré dans sa phase d’exécution doit entraîner le démantèlement de la chaîne d’imprimerie Solna D300 acquise en 2000 pour environ 1 200 000 000 Cfa dont sa composante séchoir ultra violet, un matériel de très haute technologie, n’a jamais été mise en service. Or, entre temps, la réhabilitation de la chaîne d’impression qui était à «l’arrêt technique» depuis le 13 février 2009 avait été évaluée, consécutivement à la demande du Dg par une mission des experts du constructeur Solna, com­me techniquement faisable moyennant environ 194 277 000 en 2012.
Le Pca, à la suite de l’Ige et du Cabinet Ncc West Africa n’a pas manqué de relever une flagrante incohérence : «Aucune étude sur les débouchés et les possibilités de cession de la ligne d’impression Solna après démantèlement n’a été faite alors que son démontage est prévu dans les jours à venir (03 juillet selon le Plan de passation de marchés 2013).» Il s’y ajoute que dans la procédure de passation du marché, les règles juridiques applicables à ce type de projet (équipement fabriqué hors du Sénégal) ont été méconnues. Le marché a été passé par appel d’offres restreint avec la Société Erre di Esse Africa Sarl au capital de 1 000 000 créée le 12 janvier 2011 en lieu et place d’une procédure d’appel d’offres ouvert plus indiquée pour ce type de projet. Dans le même temps, la Société Erre di Esse Africa n’avait, jusque-là démontré aucune capacité technique à exécuter ce marché au regard du dossier d’appel d’offres et qui n’avait pas encore fourni de garantie financière.
La fouille de l’Ige et du cabinet ont surtout reproché au Dg les modalités d’exécution de ce marché. Le courrier du Pca dénonce : «Par correspondance en date du 27 décembre 2012, la société attributaire du marché, Erre di Esse Africa, dans l’incapacité de fournir une garantie financière d’égale montant, a renoncé à l’avance de démarrage de 20% du prix, soit 203 millions FCfa, pour proposer que 80% du paiement du marché lui soit fait dès embarquement de la machine et que la garantie de bonne exécution de 5% qu’elle aurait dû constituer en soit retenue. Ce qui constitue des modifications des conditions de base du marché non sanctionnées par un avenant et un renoncement à la garantie obligatoire stipulée dans le contrat approuvé par la Dcmp. La société est ainsi exposée à une grave insécurité juridique et un risque financier énorme.»

Un contractuel payé mensuellement 892 674 sans avoir pris service
En amont, dans le financement de l’acquisition de la Rotative Offset, le Dg avait signé avec la Banque Diamond Bank Sénégal, un contrat de prêt dans des conditions «inhabituelles, injustifiées et onéreuses, ajoutant au risque financier global de l’opération.» Pour mener à terme son projet, le Dg avait ouvert dans les livres de Diamond Bank Sénégal un «compte séquestre» et y a domicilié des subventions de l’Etat ainsi que des recettes d’exploitation qui portent son solde à 800 millions FCfa à la date du 28 février 2013 sans aucune stipulation de rémunération de ces dépôts. Dans le même temps, la banque a débité dans un compte d’opération un prêt d’un montant de 400 millions FCfa à titre de prêt, dont les intérêts à un taux de 10% courent depuis le 28 février 2013 alors qu’elle n’avait décaissé aucun franc. Au final, en plus des intérêts, la société a supporté sur cette opération des frais de 4 914 000 FCfa en date du 31 décembre 2012 pour la mise en place du crédit.
L’audit avait aussi mis à nu une gestion des ressources humaines totalement décousue et que les besoins de la boîte ne justifiaient pas. Le reproche est lourd : «Il a été constaté qu’entre 2008 et la date d’aujourd’hui, 54 recrutements de personnel ont eu lieu, en l’absence totale de plan de recrutement justifié par des besoins réels et soumis au Conseil d’administration et au mépris des conclusions de rapports de diagnostic sur la situation de la gestion des ressources humaines de la société et aux recommandations qui en sont issues.» Pire encore, le Pca reproche au Dg d’avoir signé un contrat de travail pour un poste de «Conseiller spécial, coordonnateur général de l’administration» pour un salaire contractuel de 892 674 FCfa par mois ayant fait l’objet de bulletin de paie depuis deux mois alors que la personne concernée n’a pas encore pris service.
Ces faits justifient, selon le Pca, le sursis à tous ces projets ainsi que la prise de «toutes les mesures de sauvegarde nécessaires jusqu’à autorisation expresse du Conseil d’administration qui sera convoqué incessamment sur la situation de la société.» Le Pca conclut à l’adresse du Dg : «J’engage votre responsabilité personnelle dans l’exécution de ces directives et vous demande de me faire parvenir sans délais tous les contrats et documents relatifs à ces affaires et de préparer à l’intention du Conseil une note circonstanciée pour plus amples informations.»

4.Posté par FALL le 19/07/2013 13:36 | Alerter
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LA NATURE DU CROYANT

Abdoulaye FALL Mao, Président de l’APDR (Alliance Patriotique Diambar pour la République)
«LA FRANCHISE, D’ABORD, ENSUITE ET ENFIN»
Je me suis rendu compte que l’homme a toujours sous-estimé cette «denrée» rare ; parce que le manque de franchise serait l’un des plus gros défauts chez l’être humain.
C’est aussi une immense source de problèmes. Le manque de Franchise fait obstacle aux bonnes idées, ralenti l’action et empêche l’homme de se donner à fond. C’est mortel !
Sans la Franchise - et notez-le bien - l’homme n’obtiendra jamais ce qu’il veut car avec cette qualité intrinsèque, tout fonctionne mieux et plus vite.
Quand je dis «manque de Franchise» je ne parle pas de mauvaise foi patente mais plutôt de l’habitude très répandue qui consiste à éviter instinctivement de s’exprimer avec sincérité.
C’est donc l’attitude de l’homme qui se garde de révéler son point de vue ou d’apporter des idées qui puissent favoriser un vrai débat. Il ne se «déboutonne» pas. Il garde par-devers lui ses observations ou ses critiques. Il se tait pour que les autres se sentent bien et il leur «dore la pilule» pour sauver les apparences.
Sa stratégie consiste à dissimuler ce qu’il sait, pratiquant ainsi, une forme de rétention d’information.
Devant cette attitude peu orthodoxe, force est de constater que les hommes de bonne foi se sentent souvent mal à l’aise.
À vrai dire, il faut admettre qu’un tel comportement est très nuisible pour les sociétés humaines.
L’EFFET FRANCHISE
Voyons comment la Franchise permet de réussir. Son effet est triple :
- D’abord et avant tout, la Franchise permet d’élargir le cercle de confiance.
- Ensuite, la Franchise est une qualité qui permet à l’homme de gravir rapidement les échelons, eu égard au fait qu’il serait alors écouté et respecté ; quand toutes les idées sont sur le tapis, on peut rapidement en discuter, les développer, les améliorer et les mettre en œuvre.
- Enfin, la franchise contribue à réduire d’éventuels malentendus bien qu’il soit impossible de déterminer précisément dans quelle mesure.
POURQUOI LA FRANCHISE EST-ELLE SI RARE ?
Etant donné les avantages de la Franchise, il faut se demander pourquoi elle n’est pas plus courante.
On nous apprend dès l’enfance, à «enrober» les mauvaises nouvelles ou à éviter les sujets délicats qui pourraient choquer notre interlocuteur ; c’est une réalité pour toutes les cultures, dans la plupart des pays africains et pour toutes couches sociales.
Lorsque vous vivez, par exemple, à Ndiandiar Makha FALL - mon village natal – vous ne dites pas du mal des petits plats mitonnés par votre maman, vous ne déclarez pas du tout à votre meilleur ami qu’il est gros et, enfin, vous ne direz pas à votre vieille tante que le cadeau qu’elle vous a fait pour votre mariage était ringard.
En Afrique, ces attitudes sont souvent bannies et peuvent être interprétées comme révélatrice d’une certaine forme d’insolence.

DONC, LA FRANCHISE
On finit par se rendre compte que si l’homme n’exprime pas ce qu’il a dans «le cœur», c’est tout simplement parce qu’il pense que cette attitude «lâche» st plus sécurisante pour ne pas avoir à «blesser» certains !.
Pourquoi l’acteur hésite-il tellement à célébrer sa victoire ?
Peut-être que faire la fête ne lui semble pas très rassurante et «professionnelle», peut-être parce qu’il a peur de ne pas avoir l’air sérieux, face aux devoirs en place ou de donner l’impression qu’on est là pour s’amuser et que ce n’est plus la peine. Et si seulement il y a une recette facile pour devenir un leader ! Il n’y en a pas.
Être décideur, c’est relever des défis, assumer des responsabilités et supporter des pressions.
Malgré tout, le bon leadership existe bel et bien; et, il se présente sous des formes différentes :
- Il y a le Leader discret et le Leader tonitruant ;
- Il y a également analytique et un impulsif.
Ma question : Faites-vous suffisamment la fête ? Ne suscite pratiquement jamais de bonnes réponses.
LA DIFFERENCIATION: LE POUR ET LE CONTRE
La différenciation est injuste parce qu’elle est toujours influencée par les termes du pouvoir internes et permet au fond de départager ceux qui «lacent les bottes du Patron» et ceux qui ne le font pas.
Il est vrai, sans l’ombre d’un doute, que dans certains groupes, la différenciation est dénaturée par le copinage et le favoritisme.
Seul argument positif que j’ai en faveur d’un système qui ne fonctionne pas au mérite, c’est qu’il finit par s’autodétruire. Soit il s’effondre sous son propre poids, soit il doit évoluer. Les résultats ne sont pas suffisamment bons pour que le groupe se tienne le coup.
L’Ethique est moyen de rester dans la course.

5.Posté par BOUNKATAB le 19/07/2013 17:54 | Alerter
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Les senegalais ont la facheuse habitude de crier avec les loups sans reflechir froidement sur une affaire donnee.Cette affaire de drogue a la police, m'a tout l'air d'une tempete dans un verre d'eau.C'est pareil avec l'histoire de la fille de Aminata Tall de l'unesco avec ses bonnes.Dans moins d'une semaine, personne n'en parlera plus. Reflechissons un peu.S'il s'agissait d'une enquete simple de police suite a l'arrestation d'un trafiquant de drogue, la p[rocedure normale serait de dresser un proces verbal avec tous les elements de preuve et l'adresser au procureur de la republique. Est ce que le procureur de la republique a recu un PV impliquant le commissaire Abdoulaye Niang et d'autres cadres de la police nationale?Je suppose que non.Car , legalement, tous les auteurs et complices devaient etre sous mandat de depot.
Conclusion, le commissaire Keita n'a pas suivi la procedure normale.Alors pourquoi ameuter les journalistes et les autorites politiques pour une affaire d'etat qui n'en est pas ?

6.Posté par siss le 19/07/2013 20:26 | Alerter
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le commissaire Keita a été limogé à cause de cette affaire. Son ministre de tutelle n'a rien voulu savoir vu que c'est lui même qui a nommé Niang. Réfléchissez avant de dire pourquoi il attend jusqu'à être limogé bande de cancres!

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