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IMAM MBAYE NIANG : « Abdoulaye Wade est fatigué, il faut l’amener à démissionner »

Seneweb.com - Le Mrds de l’Imam Mbaye Niang qui a tenu une Convention Nationale de deux jours (samedi et dimanche : Ndlr) engage ses membres à travailler à une candidature consensuelle qui porte les conclusions des assises nationales, avec comme mission principale la mise en ouvre des réformes prévues. Toutefois, Imam Mbaye Niang a, lors d’une conférence de presse tenue ce dimanche souligné que le président de la République est trop fatigué. Pour M. Niang, il faut discuter calmement avec Me Wade pour qu’il puisse démissionner.


Rédigé par leral.net le Lundi 5 Octobre 2009 à 11:25 | | 3 commentaire(s)|

IMAM MBAYE NIANG : « Abdoulaye Wade est fatigué, il faut l’amener à démissionner »
La Convention Nationale engage également le Mrds à s’investir auprès de toutes les forces patriotiques de ce pays pour arrêter la descente aux enfers des populations en abrégeant de façon pacifique «le régime de malgouvernance». Ainsi, Imam Mbaye Niang invite le gouvernement à prendre en charge correctement les besoins du monde rural pour une bonne campagne agricole. Il déplore la recrudescence de la violence en Casamance et engage le gouvernement à ouvrir des discussions sérieuses avec les populations concernées.

Considérant les importantes conclusions des Assises nationales du Sénégal du Sénégal auxquelles ont participé l’essentiel des partis patriotes sénégalais, la Convention Nationale du Mouvement de la Réforme pour le développement social (Mrds) en appelle à la vigilance de tous les citoyens : refuser de se faire distraire par des ballons de sondes et autres rumeurs du genre suppression du second tour de l’élection présidentielle de 2012.

Elle engage son bureau exécutif national à travailler à une candidature consensuelle qui porte les conclusions des assises nationales. Le Mrds estime que Bennoo Siggil Senegaal doit s’ouvrir à toutes les forces vives de la nation, notamment les organisations les organisations de la société civile, les syndicats, les associations, pour la mise en place d’une transition.

Pape Alé Niang


1.Posté par Le Piment le 05/10/2009 12:24 | Alerter
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Chers lecteur de cette rubrique de l'excelllent site Leral.net.

Faut-il s'appitoyer plus qu'il n'en faut,sur le sort de plus en plus tragique qui attend cet homme prétendument omniscient et omnipotent comme le bon Dieu, qui finit ainsi en catastrophe, une carrière politique qui aurait pu être l'une des plus belles, à cause de l'enthousiasme délirant des élcteurs, l'ayant unanimement porté au pouvoir ? Il faut ajouter pour être juste, que la fin quasiment catastrophique du Parti Socialiste (PS) dont l'usure constaté et les luttes de positionnement avaient finalement assassiné les quelques bons points de son long règne jonché de réalisations certes mais aussi de manquements, y aura été pour quelque chose.

Faut-il s'attarder plus qu'il n'est permis, sur le sort de cet homme qui a sciemment et volontairement confonu les connaissances livresques à l'humble sagesse d'écouter plus souvent et beaucoup plus attentivement qu'il ne l'a fait, l'opinion des autres, ne serait-ce que pour sauver la face et pouvoir un jour dire pour se dédouaner des aléas parfois inattendus de la vie: " je les ai pourtant suivis" , pour dire qu'à un certain niveau, les responsabilités peuvent et doivent être partagées ?

Faut-il avoir forcément pitié d'un homme singulièrement nombriliste et férocement égoïste, qui malgré sa propension à partager gracieusement l'argent du peuple entre lui, sa famille et ses amis, n'a pas su trouver la moindre parcelle de différence, entre sa "sainte" famille et la chose gouvernementale, plus que jamais singularisée par son mépris de l'autre, des règles et des convenences, pour avoir géré le Sénégal comme un roi sa cour et un chef sa sa propre famille ou son arrière-cour, tout le long de ses deux mandats à la tête de ce pays ?

Faut-il ne pas se souvenir de celui-là qui, dès le tout premier jour de son investiture, pardon, de son couronnement au méidien Présient, osa humilier comme cela n'avait jamais été vu avant lui dans les annales diplomatiques, ses roitelets pairs chefs d'Etat africains venus assister aux cérémonies de son sacre, en ces termes : ''c'est fini, l'Afrique des dictateurs, des règnes interminables et des présidents à vie, des républiques bananières qui sont au juste des royaumes déguisés" ? Comme témoins de l'histoire, nous étions heureusement présents ce jour-là et avons vu honteux, feu Omar Bongo du Gabon entrer dans ses petits souliers, feu Robert Gueye de Côte d'Ivoire se retourner nerveusement pour regarder autour de lui, tout come Blaise Campaoré l'assassin de Thomas Sankara, balayer la salle de son regard de sanguinaire, pour savoir si ne n'était pas à lui personnellement, que s'adressait le nouveau Président sénégalais, etc..etc.

Faut-il enfin ne pas se souvenir de cet homme providentiel qui souleva tellement d'espoir partout en Afrique et plus singulèrement ici au Sénégal après le long règne du PS, qu'il ne trouva rien de mieux tout au début de son mandat, que de descendre personnellement dans les rues comme jamais personne ne l'aurait cru, pour se faire photographier par la presse nationale et internationale, entouré des fameux enfants de la rue objets à tant de controverses, à qui il promit: "plus jamais ça", en parlant de leurs inqualifiables conditions de vie ?

(....)

Naturellement, ma réponse à tous ces "faut-il " est NON.

Non, parce que cet homme a entre temps, fait exactement ce qu'il n'a pas dit et dit ce qu'il n'a pas fait. Il n'a pas tenu compte des nombreux talents que son pays regorge, pour prendre des décisions idoines ou pour agir chaque jour, ne serait-ce qu'en pensant à cette majoritté silencieuse qui l'a élue. Roi comme Nebucanesor ou tout autre, il n'a pensé qu'à ses douze travaux d'Hercules et à ses réalisations pharaoniques, dans le seul but d'asseoir une prétendue postérité historique de bonne facture, tout en oubliant que pendant ce temps, le peuple qui l'avait élu souffrait de tous les maux du monde.

Magicien du verbe, des formules incendiaires et des mots à l'emporte-pièce, il n'y a eu aucune tribune officielle ou officieuse nulle part dans monde tout le long de son règne, où le faiseur de miracles ne se soit présenté, pour exiber ses vrais et faux diplômes aux yeux ébahis ou admiratifs des autres, afin d'avoir le plaisir sadique d'exposer ses points de vues irréalistes et/ou alors, pour montrer qu'au Sénégal, après lui c'est son fils ou le déluge, sa famille étant la seule variable sûre qui a existé, existe et existera pour la postérité.

Et comment pourrait-on avoir pitié, même en rêve, de la fin aussi triste et funèbre d'un type aussi à la fois arrogant et imprévisible, qui sait tout dire et se croit le nombrile du monde? Ce matin le voici au nord de son pays, pour éteindre un prétendu feu dans un désert et dont l'empleur n'aurait enflammer que du sable déjà chaud ,à brûles ses mains mégalomanes. Ce midi, il est au sud pour embrasser "paternellement" un fou que tout le monde évite, à qui il tend les bras pour encourager ses fantasmes et ses crimes planifiés. Ce soir, il viendra sans doute éteindre un autre drôle d'incendie, pour la première fois dans son propre pays, mais au juste, c'est pour orchestrer quelque chose de plus que louche, qui pourrait avoir de liens avec les sales draps dans lesquels son fils chéri se serait empestré, avec les affaires de détournements des déniers publics relatifs à l'Anoci... Autant on ne l'a vu se précipiter ainsi dans son propre pays pour éteindre aucun des feux comme celui plus que catastrohique des innondations, autant son hardiesse pour éteindre celui-là sucite des soupçons parfois fondés....Et dire qu'il avait promis de règler le conflit casamançais en 100 jours et que, pas plus tard qu'avant hier, 6 de nos braves soldats sont encore tombés au champ d'honneur !

On passerait volontiers des jours et des jours, des semaines voire des années, rien qu'à dire que personne ne versera une seule petite larme, le jour où l'histoire et le temps l'emporteront comme ils ont emmporté plus d'un terrible avant lui.

Personne, peut-être même son propre fils chéri, tellement il l'aura préparé à lui succéder, que la longivité légendaire du père finira par poser d'énormes problèmes au fils, si tout fils de son père qu'il est, il n'avait point de limite à ses ambitions ni de bornes morales à construire pour encadrer le possible en ce qui les concerne, lui ,sa mère, son père et sa soeur, qui règnent en maîtres sur le pays de la téranga en ce moment précis de son histoire.

Wassalam


2.Posté par Attention au syndrome bourguiba le 05/10/2009 14:28 | Alerter
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3.Posté par samba kethio mbondo le 05/10/2009 14:55 | Alerter
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WADE AURAIT DIT A SON MAJORDOME,QUAND CELUI CI L`A APPELE EXCELLENCE MR LE PRESIDENT,QUI VOUS A DIT QUE JE SUIS PRESIDENT. LA TETE DE NOTRE PERE DE LA NATION COMMENCE A AVOIR DES FUITES DE MEMOIRE LIES A SON AGE. CEUX QUI LE SAVENT EN PROFITENT, POUR SE FAIRE LES POCHES. IL EST TEMPS DE L`AMENER EN MAISON DE REPOS. VOUS ETES AVERTIS.

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