La pandémie mondiale, communément appelée coronavirus, a des conséquences diverses et variées. L’économie mondiale est frappée de plein fouet. Cependant, les États ne sont pas restés les bras croisés. À chaque fois des stratégies de riposte sont mises en place pour barrer la route à cette pandémie qui dure et perdure.
Alors que de nombreux pays se croyaient tirés d’affaire, un autre variant du nom barbare d'Omicron est découvert en Afrique du Sud. Une situation qui installe à nouveau la phobie et l'inquiétude après une période d'accalmie.
Dans ce sens, la directrice de la Fmi de faire une précision : «Omicron en se propageant rapidement peut provoquer des problèmes de révision à la baisse de nos projections pour la croissance mondiale».
Dans ce sillage, le professeur Abou Kane, assesseur à la Faseg, de faire son analyse : «Le variant Omicron peut avoir des conséquences sur l’économie, tant que les scientifiques ne maîtrisent pas l’ampleur des dégâts que le variant pourrait causer. L’économie est allergique aux périodes d’incertitudes. L'incertitude peut influer sur les décisions d’investissements et les activités économiques. Si on arrive à avoir des informations sur le variant, c’est-à-dire à quelle vitesse le variant se propage ? Si ce variant est plus contagieux que les autres etc. ? À partir de ce moment, on saura quelles solutions adopter».
Dans cette optique, le Professeur Kane de faire le constat selon lequel, certains pays ont commencé à fermer leurs frontières ; et cette fermeture ne sera pas sans conséquences, à cause d’une mobilité réduite.
À en croire ce spécialiste de l’économie, dans plusieurs pays d’Afrique les investissements sont de court terme Si on reste quelques temps sans travailler, il peut y avoir des effets néfastes sur la santé de l’ économie. Contrairement aux pays qui ont des investissements de long terme, même s’ils observent un temps d’arrêt, les investissements continuent de faire marcher leur économie
Tribune
Alors que de nombreux pays se croyaient tirés d’affaire, un autre variant du nom barbare d'Omicron est découvert en Afrique du Sud. Une situation qui installe à nouveau la phobie et l'inquiétude après une période d'accalmie.
Dans ce sens, la directrice de la Fmi de faire une précision : «Omicron en se propageant rapidement peut provoquer des problèmes de révision à la baisse de nos projections pour la croissance mondiale».
Dans ce sillage, le professeur Abou Kane, assesseur à la Faseg, de faire son analyse : «Le variant Omicron peut avoir des conséquences sur l’économie, tant que les scientifiques ne maîtrisent pas l’ampleur des dégâts que le variant pourrait causer. L’économie est allergique aux périodes d’incertitudes. L'incertitude peut influer sur les décisions d’investissements et les activités économiques. Si on arrive à avoir des informations sur le variant, c’est-à-dire à quelle vitesse le variant se propage ? Si ce variant est plus contagieux que les autres etc. ? À partir de ce moment, on saura quelles solutions adopter».
Dans cette optique, le Professeur Kane de faire le constat selon lequel, certains pays ont commencé à fermer leurs frontières ; et cette fermeture ne sera pas sans conséquences, à cause d’une mobilité réduite.
À en croire ce spécialiste de l’économie, dans plusieurs pays d’Afrique les investissements sont de court terme Si on reste quelques temps sans travailler, il peut y avoir des effets néfastes sur la santé de l’ économie. Contrairement aux pays qui ont des investissements de long terme, même s’ils observent un temps d’arrêt, les investissements continuent de faire marcher leur économie
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