« Le démarrage de la polyclinique de l’Ipms en 2015 et son développement rapide pendant les années qui ont suivi, avaient suscité d’immenses espoirs au sein de la communauté universitaire et de leurs familles. Celles-ci avaient été exposées pendant des décennie,s à une grave insécurité. Parce que ne bénéficiant pas d’une prise en charge médicale adéquate de la part de l’université Cheikh Anta Diop», a regretté le Secrétaire général du Sudes/Esr, Oumar Dia sur la RFM.
Les syndicalistes, constatant que l’Institution ne pouvait plus solder les dettes dues aux hôpitaux publics et privés, «les personnels de l’Ucad et leurs familles n’ont pu bénéficier d’une couverture maladie convenable qu’avec la polyclinique de l’Ipms. Le fonctionnement normal et efficace de cet important outil de prise en charge médicale des personnels de l’Ucad, a été salué par tous les membres de la communauté universitaire», a-t-il dit.
D’après lui, le bon fonctionnement de cet outil ne semble pas agréer certains d’entre eux. Et, pour le Sudes/Esr, derrière ce blocage criminel de la polyclinique de l’Ipms depuis début mai, se cache une mafia interne à l’Ucad, dont l’objectif est la disparition pure et simple de cet important outil.
Le Sudes/Esr, conscient du fait que l’institution a sorti les travailleurs de l’insécurité sanitaire, interpelle les autorités. Et menace de bloquer toutes ses activités pédagogiques et scientifiques si ses exigences ne sont pas satisfaites.
Leral
Les syndicalistes, constatant que l’Institution ne pouvait plus solder les dettes dues aux hôpitaux publics et privés, «les personnels de l’Ucad et leurs familles n’ont pu bénéficier d’une couverture maladie convenable qu’avec la polyclinique de l’Ipms. Le fonctionnement normal et efficace de cet important outil de prise en charge médicale des personnels de l’Ucad, a été salué par tous les membres de la communauté universitaire», a-t-il dit.
D’après lui, le bon fonctionnement de cet outil ne semble pas agréer certains d’entre eux. Et, pour le Sudes/Esr, derrière ce blocage criminel de la polyclinique de l’Ipms depuis début mai, se cache une mafia interne à l’Ucad, dont l’objectif est la disparition pure et simple de cet important outil.
Le Sudes/Esr, conscient du fait que l’institution a sorti les travailleurs de l’insécurité sanitaire, interpelle les autorités. Et menace de bloquer toutes ses activités pédagogiques et scientifiques si ses exigences ne sont pas satisfaites.
Leral